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    Valérie se donne à elle-même – sous les yeux d’AlainnJe commençai par le fixer. Oui, je plongeai mes yeux dans les siens comme on jette un défi, comme pour dire : “Ne détourne pas ton regard, tu ne pourras pas y échapper.” Et il comprit. Il resta là, immobile, brûlant, captif déjà sans que je l’aie encore touché. Alors j’ai décidé : ce soir, ce serait moi, moi seule, qui guiderais la scène. Moi seule, qui écrirais sur mes draps le théâtre de mes ardeurs. Alain serait spectateur et prisonnier, spectateur muet mais dévoré de fièvre. Je me suis allongée, volontairement, dans toute la générosité de ma chair. Mes seins lourds roulèrent à gauche, à droite, comme deux offrandes débordantes. Mes cuisses s’écartèrent lentement, imposantes, vivantes, lourdes de sang et de désir. Mon ventre se souleva dans un soupir, et déjà j’entendais Alain respirer plus fort, témoin interdit et fasciné. Je lui dis, d’une voix basse qui vibrait : — Regarde. Regarde tout. Tu ne verras jamais assez. Alors mes mains ont commencé leur voyage. J’ai voulu qu’il voie. Sur ma poitrine d’abord : mes doigts s’enfonçant, pétrissant, pinçant mes tétons gonflés, leur donnant l’éclat brutal de la fièvre. Oui, mes seins vibraient, tressautaient entre mes paumes, et je regardais Alain les contempler avec cette avidité muette qui m’exaltait davantage. Puis mes mains sont descendues, lentement — mon ventre bombé, mes flancs larges, mes hanches qui s’agitaient déjà comme sous un rythme invisible. Chaque fois que mes doigts glissaient, je voyais ses yeux s’y accrocher, incapables de se détacher du spectacle que je lui offrais. Je n’étais plus une femme qui se caresse seule ; j’étais prêtresse, je m’offrais à lui par mon propre abandon. Et quand enfin mes doigts sont allés plus bas, quand ils ont trouvé ma chaleur, quand ils ont plongé dans l’opulence humide qui s’ouvrait déjà, j’ai crié. Non pas un cri de surprise, mais un cri d’aveu : oui, je déborde, oui, je m’ouvre, et tu le vois, et je t’en fais don. Alain haletait, à deux pas, sans pouvoir me toucher. Sa proximité enflammée excitait mon exhibition. Chaque gémissement que je laissais éclater venait se heurter à son souffle contenu. Je savais qu’il me buvait des yeux, qu’il me possédait à travers son regard. Mes cuisses épaisses battaient lentement, s’ouvraient, se fermaient, comme deux piliers en transe. Mes fesses écrasaient le drap, mes reins se soulevaient sans répit. Mes mains, elles, appuyaient, frottaient, pénétraient, pétrissaient ma propre volupté. J’ondulais dans mes propres bras, je me perdais dans moi-même — mais le savoir là, témoin brûlant, me donnait un plaisir redoublé. — Tu vois, Alain… je n’ai pas besoin d’attendre. Je n’ai pas besoin qu’on m’accorde la permission. Mon corps est une machine de jouissance, et tu n’as qu’à regarder. Regarde-moi exploser. Et l’explosion vint. Comme une marée, comme une tempête qui m’a roulée de l’intérieur. Tout se cambra : mes seins roulèrent hors de mes mains, mes jambes se crispèrent autour du vide, mes lèvres laissèrent sortir un hurlement. La vague monta, gonfla, céda — et soudain j’ai jailli. Oui, j’ai jailli. Mon sexe inonda mes cuisses, les draps se tachèrent, ma cyprine coula en torrent. Et je riais, et je pleurais presque, en laissant mon corps verser toute son eau devant lui. Alain, face à moi, devint mon esclave muet. Il n’osait plus respirer. La vue de mon débordement l’avait aspiré tout entier. Et moi, dans ma transe, je continuais à frotter, à ouvrir, à verser, jusqu’à n’avoir plus une goutte à offrir. Quand enfin je tombai en arrière, haletante, inondée, mes draps collés à mes cuisses ruisselantes, je tournai la tête vers lui. Je le regardai droit. — Voilà. Tu as vu. Regarde encore : c’est ça, mon corps. C’est ça, ma vérité. Ce geyser, c’est ma victoire. Et toi, garde-le en mémoire : je suis reine de ma jouissance, et tu n’y peux rien. Il ne parlait pas. Mais ses yeux disaient tout : il était consumé par ma démesure, pétrifié par la furie d’un plaisir dont il venait d’être le spectateur absolu. Et moi, calmée, baignée dans mes liquides et dans mon triomphe, j’ai souri. Parce que j’avais compris : me donner à voir était plus glorieux encore que me donner à lui.
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