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    Chapitre 1 : Le Velours et le Feu. La maison de Valérie Lefrère, au bout d’une impasse tranquille, semblait flotter dans le silence du début de soirée. Une légère brise agitait les rideaux blancs de la baie vitrée, laissant filtrer l’odeur du chèvrefeuille qui bordait la terrasse. À l’intérieur, les lumières étaient tamisées, baignées de reflets orangés, comme un prolongement du crépuscule.Valérie, quarante-cinq ans, silhouette plantureuse et assumée, arpentait le parquet nu de son salon. Ses hanches se balançaient dans une lente chorégraphie instinctive, presque animale. Elle portait un body résille à mailles très larges orange vif, si audacieux qu’il semblait dessiné sur sa peau. Comme un hommage effronté aux années 80, comme un clin d’œil à Samantha Fox, mais avec cette maturité brûlante que seule une femme sûre d’elle peut offrir.Ses seins lourds, pendants, volumineux, dessinaient des courbes nettes sous le tissu tendu, ses aréoles se découvrant à travers les ouvertures, ses tétons passant à travers également, et le moindre mouvement faisait frémir la matière. Le bas du body, échancré au point d’en devenir indécent, laissait deviner sans pudeur la naissance de son pubis, un sexe touffu, hyper garni de poils châtains foncés, tout ébouriffés, implantés jusqu’à son anus. Elle s’aimait comme ça, nue presque, mais vêtue du désir de se faire enculer dans cette lingerie ultra bandante qu’elle cultivait sans honte.Elle faisait les cent pas entre sa chambre et le salon, ses talons résonnant doucement sur le sol. Elle ne portait rien d’autre, que sa chaleur et ses pensées. Son regard croisait parfois son reflet dans les miroirs anciens du couloir — elle se fixait sans baisser les yeux, caressant du bout des doigts la ligne de sa hanche, s’éprouvant elle-même. Ce soir, elle n’attendait personne. Pas officiellement. Mais quelque chose flottait dans l’air. Une tension. Une idée.Chapitre 3 : Paola Une heure plus tard, on frappa à la porte. Trois coups secs. Aucun mot. Valérie n’attendit pas. Elle ouvrit, le sourire complice aux lèvres, nue sous sa résille, les cheveux en désordre, le regard brûlant. Sur le seuil, Paola. Brune, intense, vêtue d’un long manteau noir qu’elle ouvrit sans cérémonie, révélant dessous une simple chemise blanche ouverte jusqu’au nombril, et rien d’autre. Ses cheveux noirs ondulaient sur ses épaules comme une vague sauvage. Ses yeux, sombres, brillants d’un désir contenu, ne se posèrent pas sur le visage de Valérie. Non. Directement sur sa gorge, ses seins, son ventre. Elle entra, sans un mot, sans demander.— J’ai senti que tu m’appelais, dit-elle enfin, la voix grave, presque rauque.Elle s’approcha presque collée sur Valérie, fit glisser une main sur sa taille, caressa du bout des doigts la résille tendue sur ses hanches, écartât un bout de cette toile pour laisser respirer sa toison abondante, son manteau de poils extraordinaire. Puis, lentement, comme une panthère traquant sa proie, elle la fit reculer jusqu’au mur, sans la lâcher du regard. Le premier baiser fut mordant. Sans douceur. Une collision de lèvres, de souffles courts, de mains impatientes. Les doigts de Paola glissèrent sous le tissu orange, cherchant la chaleur, l’humidité du sexe déjà présente, la vulve de Valérie déjà coulante de cyprine. Valérie se cambra, soupira, cherchant plus, cherchant tout. La résille glissa sur ses épaules, découvrant ses seins lourds que Paola prit dans ses paumes comme un trésor retrouvé. Elle les caressa avec une lenteur qui contrastait avec la violence de son regard. Puis elle les embrassa, les mordilla, les vénéra presque.— Tu n’as pas changé, souffla-t-elle entre deux souffles.— Toi non plus, répondit Valérie, haletante. Toujours aussi sauvage. Paola la fit tourner, l’adossa contre le mur, sa bouche glissant le long de sa nuque, de son dos, jusqu’à la chute de ses reins. Elle s’agenouilla lentement, glissant la résille sur les cuisses de Valérie, dévoilant enfin ce qu’elle était venue chercher. Elle l’embrassa là, sans attendre, d’un baiser profond et humide, explorateur, caressant. La langue de Paola était douce et ferme à la fois, précise comme une caresse qui connaît déjà chaque frémissement. Valérie, les yeux fermés, la tête renversée, se perdit dans cette sensation — le mur froid dans son dos, la bouche brûlante entre ses jambes, les doigts qui l’ouvraient comme un fruit mûr. Elle n’était plus seule. Elle n’était plus qu’un corps en feu, prête à s’offrir, à jouir comme une salope. Chapitre 4 : La Chair et le Souffle Valérie se laissa glisser au sol, rejoignant Paola à genoux. Leurs bouches se retrouvèrent avec une soif neuve, comme si chaque baiser était le premier. Les mains de Valérie s’aventurèrent sous la chemise blanche entrouverte, effleurant les flancs chauds de Paola, la cambrure de son dos, jusqu’à l’arrondi somptueux de ses seins, sa superbe paire de seins tombants, ronds, fermes et aux aréoles larges et colorées, ses tétons pointant outrageusement. Et là, elle s’arrêta. Elle les regarda, longuement. Paola n’avait jamais porté de soutien-gorge, elle n’en avait jamais eu besoin. Sa poitrine, ferme, généreuse, semblait avoir été sculptée pour le plaisir, pour le sexe humide. Chaque mouvement faisait onduler cette masse vivante de chair comme une offrande. Valérie les caressa d’abord du regard, puis de la paume, lentement, comme on redécouvre un secret.n— Ta superbe paire de mamelles… murmura-t-elle, presque dans un souffle, presque dans une prière.nPaola sourit, féline, glissant ses mains dans les cheveux de Valérie pour la guider jusqu’à elles. — Prends-les. Valérie s’exécuta. Sa langue traça un cercle sur l’aréole sombre, large et tendue, avant de refermer sa bouche dessus. Elle suçait lentement, profondément, avec une lenteur calculée, pendant que ses mains jouaient avec l’autre sein, le malaxant, le pinçant doucement, jusqu’à arracher un soupir rauque à Paola. Le corps de la brune se tendit sous la caresse, ses hanches cherchant le contact, frottant contre la cuisse de Valérie dans une danse ancienne, animale.n— Continue… gémit Paola, les yeux clos, les lèvres entrouvertes. Lèche moi, fais de moi ta salope. Alors Valérie redoubla de tendresse, puis de mordant. Elle lécha, mordilla, suçota chaque courbe, chaque frémissement. Les seins de Paola semblaient faits pour être adorés, et elle le savait. Elle se laissait faire, se donnait entièrement, tout en gardant ce contrôle félin dans sa posture, comme si elle dictait encore la suite des événements — même à genoux, même offerte. Bientôt, Valérie la bascula au sol, plaquant ses épaules contre le parquet chaud, et laissa sa bouche glisser plus bas, vers ce triangle sombre et parfumé qui l’attendait déjà, frémissant d’envie. Chapitre 5 : Entre les lèvres, le feu Paola était allongée, ses longs cheveux noirs éparpillés comme une mer d’encre autour de son visage. Son souffle était court, sa peau chaude, trempée de désir. Valérie se tenait au-dessus d’elle, entre ses cuisses largement ouvertes, le regard planté dans le sien. — Tu te souviens de la première fois que je t’ai goûtée, léchée, sucée ton cul touffu, mangée la chatte, chuchota-t-elle en frôlant du bout de la langue l’intérieur d’une cuisse. — J’étais venue pour boire un verre, répondit Paola avec un demi-sourire. Je suis repartie en rampant.nValérie rit doucement, rauque. Puis elle descendit d’un coup, plongeant la bouche dans l’intimité offerte, sans prévenir. Paola se cambra aussitôt, les jambes tremblantes, les mains dans les cheveux de Valérie pour la retenir là, exactement là. — Putain, oui… souffle-t-elle. Ne t’arrête pas. Mais Valérie s’arrêta. Juste un instant. Elle leva les yeux, la bouche luisante, un filet de cyprine perla sur ses lèvres rouges comme le péché. — Dis-moi ce que tu veux, Paola. — Toi. — Tu m’as. — Non… je te veux là. Profonde. Lente. Que tu me déchires de plaisir. Que tu me fasses crier ton nom. Valérie mordit l’intérieur de la cuisse, doucement, puis reprit sa lente caresse, alternant langue et lèvres, pression et douceur. Paola haletait, gémissait, perdue dans ce tourbillon de sensations. Son corps entier vibrait. Et soudain, elle explosa. Un cri rauque, les reins arqués, les doigts crispés dans les draps. Valérie se redressa, les jambes ouvertes de part et d’autre des hanches de Paola, son propre sexe brillant de désir, trempé de mouille, non encore assouvi. — À ton tour, dit Paola, la voix rauque, les yeux noirs de promesse. Elle se redressa, attrapa Valérie par les hanches, la fit basculer en arrière, et lui lécha le sein d’un seul trait, du bas jusqu’au téton, en murmurant : — Tu m’as bien fait jouir. Maintenant, laisse-moi te renvoyer l’ascenseur. Chapitre 6 : L’Ascension Valérie s’était laissée faire, le dos contre le sol, les seins dressés, sa peau parcourue de frissons. Paola, au-dessus d’elle, était redevenue reine. Une louve. Une amante puissante qui ne quémandait rien, qui prenait. Elle l’embrassa d’abord doucement, les lèvres sur les lèvres, goûtant encore sa propre jouissance sur la bouche de Valérie. Puis elle descendit lentement, embrassant la gorge, le ventre brulant, la courbe douce des seins, léchant chaque centimètre de peau offerte. — Tu es magnifique… souffla-t-elle entre deux baisers. Tellement vivante. Chaude comme une braise. Valérie frissonna, les yeux mi-clos. — J’ai envie que tu me dévore, Paola. Que tu fasses de moi ta chose… rien qu’un instant. Paola leva les yeux vers elle, un sourire en coin, avant de s’attaquer à sa poitrine. Sa bouche prit un sein, le suçotant avec une ferveur presque religieuse, tandis que ses doigts se glissaient plus bas, effleurant le sexe gonflé et ruisselant de Valérie. — Tu veux être à moi ? chuchota-t-elle, la voix grave, autoritaire. — Je suis déjà à toi… gémit Valérie. Alors Paola s’agenouilla, écarta encore un peu plus ses cuisses, planta son regard dans le sien et s’y engouffra. Sa langue n’était pas pressée. Elle explorait, caressait, goûtait, enfonçait la pointe doucement entre les lèvres intimes, remontant pour titiller le bouton de chair, le massant avec une précision de funambule. Valérie se cambrait, l’implorait sans un mot, juste des soupirs, des cris étouffés, le ventre secoué de spasmes. — Paola… plus fort… reste là, supplia-t-elle, le souffle haché. Et Paola obéit. Elle accéléra, suçant, avalant, pressant sa langue contre le clitoris gonflé de Valérie jusqu’à la faire exploser dans un orgasme long, profond, viscéral. Le cri de Valérie résonna dans toute la maison, animal, vrai, brut. Elle s’écroula, tremblante, le souffle court. Paola remonta lentement contre elle, s’allongea à ses côtés, la cuisse posée sur son ventre, la bouche au creux de son cou. Le silence revint, chaud, intime. — Tu vois, murmura Paola. Je te retrouve toujours. Où que tu sois. Valérie sourit, les yeux fermés. — Reste. Toute la nuit. — Je ne comptais pas partir.
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