Putain, Joe cocker est mort.... J'ai fais craquer des tas de filles en t'imitant chanter Dont chain my heart ou you can leave you hat on. Merci vieux, et bonne route.
cOn s'est déjà plusieurs fois masturbé ensemble sur skype, ou au téléphone. On s'est échangé des photos ou vidéos porno. Elle aime les trucs hard, Tres hard, et comme toutes les filles de son genre, je me doute que c'est un fantasme dont elle ne réaliserait même pas le dixième en réel. "Pas cours cet aprem", ok, viens chez moi. la troisième fois qu'on se voyait IRL, et la première chez moi. On glande sur l'ordi, on remate des trucs x qu'on s'est balancé. j'aime bien, moi moins, si ça oué, etc. La discussion tourne en rond, j'en ai marre, je me met des trucs que j'aime bien et commence à me branler devant elle ; j'ai pas l'envie de l'initier, ni spécialement de la garder comme contact, donc si elle est choquée elle disparaitra en se promettant de plus parler de cul avec un mec pour faire son intéressante... elle me dit "te gêne pas", je lui dis qu'elle me connait depuis le temps, et qu'effectivement, je suis chez moi.
Et là... bordel de merde, elle se transforme en super sayen. Le temps que je comprenne qu'il y a trop de doigts dans ma main sur ma queue, elle s'est déjà mise à genou en soulevant son pull. Quand je me concentre sur la sensation de sa langue sur ma queue, elle a déjà ouvert son jean. Je la laisse faire, curieux, me contentant de lui offrir ma queue dressée, le bassin en avant, et bordel....
Le temps qu'elle m’amène la capote dans mon sac, par terre, là, que je l'enfile, et boum, elle s’assied sur ma queue le plus naturellement du monde, de dos. quelques aller retours pendant lesquels j'ai l'impression d’être dans une motte de beurre, et boum, elle se coule le cul sur ma bite (plus lentement, quand même).
Et je regarde, fasciné.
Elle s'enfile sur ma queue de dos, puis a cheval sur moi (je suis toujours assis sur ma chaise, hein). Elle s'empale comme si chacun de ses trous étaient un billet que que ma bite était une machine à poinçonner. Comme dans un concours de vitesse. Elle se ramone un peu la chatte, le cul, elle se retourne, elle recommence...
Et elle jouit. Je sais foutrement pas comment elle a fait son compte (ou alors elle simule divinement bien les contractions). Elle se laisse aller un peu sur moi, souffle, respire, puis dit qu'elle dois rentrer, qu'il est déjà 17h30 etc.
Elle me demande si j'ai aimé. Je rigole et lui sort ma queue de l’intérieur pour lui montrer le réservoir de la capote toujours vide. elle se renfonce mon gland dans le vagin, en me branlant de sa main. je jouis ( plus mécaniquement qu'autre chose)...
J'ai encore la capote sur la queue quand elle ouvre la porte pour sortir de chez moi, en me glissant un "bisou" un "salut" et un" samedi matin je suis libre si tu veux".
ET voila. C'est pas une anecdote géniale ni passionnante, mais ça a été tellement surréaliste qu'il fallait que je l'écrive. Et j'hésite encore a savoir si je vais par curiosité lui servir une nouvelle fois de godemichet vivant (puisque manifestement, ça a été ça) ou si je vais lui faire à mon tour un combo sexuel; Si toutefois il y a un nouveau round demain.