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    Erik43100's profile
    Les gros nibards

    Les gros nibards...



    Des gros nibards pendant dans le vide,

    Une laisse qui pend,

    Une femelle brune au cheveux courts, tête basse

    et ses seins qui balottent entre ses bras.


    C'est beau, une vraie chienne,

    Une salope intégrale...


    Des chiennes comme ça,

    Il faut les promener en laisse,

    Les baiser,

    Les enculer,

    les faire pomper.


    Celle-ci a une bouche de pompe à bite,

    Un cul à fist,

    Une moule à blacks,

    Et des nibards...


    Des nibards à attacher,

    Des nibards à compresser.

    Des nibards à fouetter,

    Des nibards à cravacher,

    Des nibards à pincer,

    Des nibards à griffer,

    Des nibards à lècher,

    Des nibards à têter,

    Des nibards à traire,

    Des nibards à mordre,

    Des nibards pour branler,

    Des nibards pour éjaculer,


    Des nibards de chienne,

    Des nibards de Reine,

    Des nibards pour hommes.


    Je l'ai attachée sur une simple chaise,

    Bras tirés en arrière,

    Liens aux coudes,

    Liens aux poignets,

    Cuisses écartées,

    Liens aux genoux,

    Liens aux chevilles.


    J'ai pris mes pinces crocos,

    J'ai tiré le téton gauche, et clic!

    J'ai tiré le téton droit, et clac!

    J'ai pris ma cravache et

    slak, et slak, et slak, et slak.


    J'ai enlevé mon froc,

    J'ai baissé mon slip,

    Elle a ouvert sa pompe,

    et j'ai enfilé ma queue.

    Elle m'a bouffé la bite

    jusqu'à la racine.

    C'était long, et c'était bon...


    Je me suis empoigné,

    et ses nibards, je les ai arrosés...



    Erik

     
      Posted on : Sep 13, 2012 | Comments (0)
     
    Une envie d'homme

    Une envie d'homme...



    Voyons, voyons de quoi puis-je avoir envie?



    J'ai beaucoup d'envies, mais une revient toujours.

    Me faire sucer.

    Pas mal de raisons à cela.



    D'abord je considère que dans la fellation il y a autre chose qu'un simple acte sexuel.

    La fellation, c'est de l'art érotique, c'est beau, et puis c'est un travail d'artiste.

    Et l'artiste, c'est celle qui suce, c'est la femme. Elle sait faire monter le désir, elle sait faire durcir un truc qui était mou, elle sait faire monter la pression, la faire descendre, elle sait faire ce qu'il faut faire au moment ou cela doit être fait, elle sait faire le truc que l'homme n'attend pas, elle sait le meilleur moment ou le faire jouir.

    Et puis, c'est un cadeau, un acte de pure générosité.

    Cadeau, quand elle s'agenouille devant l'homme, apparemment soumise, en réalité pas du tout.

    Cadeau, quand elle se fait douce autour de ce sexe qui semble si important pour l'homme.

    Moi je me dis, qu'un jour si je dois mourir, ce sera en me faisant sucer. Même si je n'ai jamais joui lors d'une fellation, c'est quand même le plus grand plaisir qu'on ait jamais pu me donner.

    Il y a des tas d'endroits ou j'aimerai me faire sucer, par exemple, dans l'eau, dans une cabine d'essayage, à un bureau, suspendu à une poutre, dans la vitrine d'un magasin, dans une salle de cinéma, en parlant au téléphone à quelqu'un, sur un ban public, dans un parking, dans un musée, à la lumière de la lune dans un jardin extraordinaire. C'est possible partout, du moment que l'on en a envie!



    Erik

    Maintenant mesdames, a vous de donner votre avis,

    et, bien sur vous pouvez me faire toutes les propositions fellationantes que vous jugerez intéressantes!


     
      Posted on : Sep 13, 2012 | Comments (0)
     
    La Reine des salopes avait perdu....

    Chapitre premier


    Perdu quoi ? Un pari…


    C’était une très belle femme d’une quarantaine d’années. En dehors de quelques ridules autour de ses yeux bleus, rien ne trahissait son âge. Et, ces rides ne traduisaient pas son âge, mais les conséquences d’un vécu impressionnant. La fête, des hommes par milliers, des milieux fréquentés par toujours très sains, des frasques sexuelles multiples ou les aventures les plus simples, côtoyaient les actes que les moralistes bien pensant, les grenouilles de bénitiers qualifieraient d’odieux. Partouzeuse, dominatrice, sado, soumise, bisexuelle, exhibitionniste, certains la qualifieraient de salope, et c’était vrai. La Reine des Salopes était une salope, et elle en était fière. Moi j’ajouterai qu’avant tout la Reine des Salopes était une femme libre.

     

     

    Son passé, son expérience ne l’a rendait que plus intéressante à mes yeux. Moi je ne suis pas hypocrite, j’aime ces femmes qu’on appelle des salopes, ce sont elles qui me font bander, et la Reine des Salopes, dès que je l’ai aperçue marchant sur une place ensoleillée, elle m’a fait un drôle d’effet côté slip. Ceux qui les méprisent, c’est parce qu’ils ont honte d’eux-mêmes, et qu’ils se jugent au regard d’une morale rigoriste et stupide… Dans la bouche de ces personnages, salope est un insulte, mais entre la bouche, le cerveau et la bite les avis divergent :

    • Salope, dit là bouche !

    • Je bande, fait la bite !

    • Je me la taperai bien, pense le cerveau !


    A ceux qui la traite de salope ,alors qu’ils ont les yeux vissés sur son cul qui roule quand elle arpente la rue, moi je dis, que s’ils traitent une telle femme comme ça, c’est qu’ils savent qu’ils n’auront jamais l’honneur et le bonheur, de remplir de leur queue, un de ses trous.


    Et pourtant, qui n’a pas connu le sexe avec une salope ne peut définir le mot plaisir !

    Une salope est en réalité une femme qui aime le sexe, et qui n’en a pas honte. C’est la nature. Une salope aime donner et recevoir du plaisir, c’est quelqu’un qui partage !

    Et c’est bon de partager avec elle ! Encore, encore ! Oh, oui, oh oui !


    Là voyant se diriger d’un pas décider sur la place, vers nous, j’ai senti remuer dans mon slip… Effet immédiat, et c’est normal.


    Plutôt petite, cheveux mi-long, tenue très hot, escarpins, jupe cuir raz le bonbon, petit bustier noir qui dissimulait bien mal une poitrine ronde et avenante, peau très blanche, yeux cachés par des lunettes noires… Superbe, sexy, bandante…


    Moi pas beau, elle divine !


    Durant toute la conversation, je n’ai accordé aucune attention à mon voisin Paul. Toute mon attention était à celle que j’avais en face de moi et à ses paroles. Je souriais du petit étonnement de mon jeune voisin. Elle évoquait son passé avec simplicité et naturel. 400 personnes, le dernier étage réservé au Sm, un château, un milieu friqué, cela évoquait pour moi le récit que m’avait fait, il y a quelques années, une de mes ex soumises , que nous baptiserons Brocéliande. la seule différence, c’est que son banquier de premier maître, à qui elle me comparait, l’avait emmené directement au dernier étage pendant quelques jours.


    Bref, c’était un récit qui datait des années avant le sida, un récit qui datait d’une époque révolue, ou tout était permis, du moins pour ceux qui pensaient appartenir à une certaine élite…


    C’était une survivante, quelqu’un qui avait un vrai vécu, des tripes…

    Une femme dont on avait envie…

    Envie de suite, envie à en crever…

    Oui c’est cela, mourir de plaisir dans ses bras !


    J’ai connu déjà des salopes, mais pas aussi salopes qu’elle, je pense.


    Enfin, bref, j’espérais très bientôt, avoir l’honneur de ses trous. Je parle d’honneur car un honneur, d’être l’ami ou l’amant d’une femme comme elle.


    Discussions avec elle, sur le net, texto, et l’envie qui monte, monte…Envie qui semble monter chez elle aussi… Hum c’est bon ça…


    Des idées de jeux qui montent, ça vient comme ça, c’est naturel…


    Moi - « Remarque... j'adore me faire sucer....et suis résistant à la pipe. »

    Elle– « Pffff, on verra ».


    Et c’est là que, j’appris que grâce à son talent et à son amour de la pipe, aidée par le petit piercing qui ornait sa langue, les mecs ne duraient pas plus de 5 minutes dans sa bouche… Et que même le Rocco Siffredi, il serait pas capable de faire mieux ! Nah !

    Moi je me dis qu’avec tous ces éjaculateurs précoces, une telle salope, doit être frustrée !

    J’avoue que zézette, elle marche pas tout le temps, c’est pas une machine, mais quand elle marche, elle marche au super ! Genre béton insensible, je sens rien, mais j’ai la gaule,

     

     

    sans me doper, et pendant des heures… C’est d’ailleurs encore plus pénible peut être… Une femme qui ne te sent pas jouir, elle croit des fois, que c’est parce que tu n’as pas assez envie d’elle.


    Et toi, t’y peux rien, c’est comme ça… Le seul moyen souvent c’est de se terminer à la main sur son visage, ses seins, son ventre. Peut être qu’elle, enfin arriverait à me faire jouir dans sa bouche, par le seul savoir faire des ses mains, de sa langue, de ses lèvres.


    Et là, provoc, j’aime me la jouer bravache des fois, j’aime les défis.


    Défi à la Reine des Salopes, me faire jouir avec sa bouche en moins de 10 minutes.

    Et elle, qui me dit quand elle parie, elle gagne toujours… Comme c’est bizarre moi aussi !



    A tout pari, il faut un enjeu.

    Ceux qui me connaissent, peuvent aisément deviner quel à été mon choix si je gagne. Une nuit dans un bel hôtel à faire ce que je veux d’elle !

    Devinez quel a été le sien ?

    N’oubliez pas que c’est une salope, et qu’elle a un côté dominatrice sado…


    Eh oui, celui qui perd se retrouve l’esclave de l’autre pendant toute une nuit.


    Moi je rigole devant son assurance, car je sais que je vais gagner.


    L’excitation du risque, du défi, l’idée de dominer cette femme superbe, ou d’être dominer par elle…


    Dominer, soumettre une femme, qu’elle importance, car en fait, en matière de sexe, c’est toujours la femme qui commande dès que le mec bande. ..


    Et puis, si je perds, serai-je vraiment perdant ? Moi qui en suis pas soumis, moi qui n’ait jamais été dominé, si elle a envie de me soumettre, ce sera le plus beau cadeau que je puisse lui faire…


    Si je gagne, sera-t-elle vraiment perdante ? Je ne pense pas et en tous cas, en acceptant d’être mon esclave toute une nuit, elle me fera un cadeau dont tous les hommes rêvent, mais qu’ils n’obtiennent jamais. Le plus beau cadeau qu’on m’ait jamais fait.


    Rendez-vous avait été pris sur la place de son village.

    Provoc, provoc, elle devait arriver avec une carotte bien enfoncée dans le cul, et moi dans la voiture bite en érection à l’air, porte passager ouverte.


    20 heures, elle était là, juste à l’heure, rapidement dans l’habitacle… Moi, l’ayant vu arrivé de loin, j’avais même plus besoin de m’astiquer. C’était tout dur, et tout rouge…


    Un piou, et puis l’on s’empoigne mutuellement par la nuque. Des langues qui roulent.

    Une main qui s’abat sur ma queue…


    Un désemmelage , une bouche qui plonge, qui lèche…

    - « Bonsoir toi, dit-elle en regardant mon gland, t’as l’air bien grosse et bien dure, t’es sure que tu vas tenir dix minutes »?

    - « Dis mon chien, t’es sure qu’elle va tenir plus d’une minute ! Rires ! Tu devrais abandonner comme ça je gagne tout de suite, et c’est le collier direct dans la caisse » !

    • « C’est cela compte là dessus, ma chienne, j’ai un beau collier rouge qui t’ira très bien » !



    Et voilà qu’elle se redresse, et moi qui ouvre son corsage, qui lui lèche les tétons, slurp, slurp, c’est bon…

    - « Mes fesses sont jalouses mon petit loup » !


    Et la voilà qui se retourne tant bien que mal sur le petit siège, qui relève sa jupe… Hum, c’est beau deux fesses bien rondes… Et un coup de langue à droite, et un coup de langue à gauche, et encore, encore…


    C’est bon à lécher des seins et un cul de salope.



    Et c’est tout aussi agréable de conduire une Twingo un soir d’été avec une salope qui s’exhibe sur la route à vos côtés. Les seins sortis du corsage, la jupe relevée, les escarpins noirs sur le tableau de bord, gambettes écartées, caressant son minou annelé…


    Bref, avec cette salope de luxe, moi dans ma Twingo bordeaux, je me croyais au volant d’un Porsche 911 noire… Un bolide que je n’aurais jamais, faut pas rêver, mais la salope de rêve, je l’avais à mes côtés !


    Et l’autoradio qui hurle un vieux tube… Je me souviens ,j’avais 15 ans, premiers émois, c’était l’époque de Téléphone, de Trust, d’Ange, de Thiéfaine, d’Odeurs… Et là dans le poste, c’était leur tube «  Que c’est bon, que c’est bon quand tu me déshabilles » !


    Un coin de campagne désert, un champ, des haies, des phares que je laisse allumés, Madame la Reine des Salopes qui se dépoile en deux temps trois mouvements, une couverture que j’étends et elle s’étend dessus. Royale on vous dit !


    Moi, je cherche la bouteille de champ que j’avais mis au frais dans un sac isotherme, et sors deux vraies flûtes pas cassées dans le voyage… Par contre le champ, bien secoué !

    Bouchon qui pète, champ qui mousse, et dégueule de la bouteille… Et à la tienne ma chienne, et à la tienne mon chien ! Ca fait du bien de boire, une petite boisson couleur dorée. Tiens ça me fait penser à … mais non y a des bulles !


    Oh, mais voilà de la mousse à raser, et un rasoir… C’est mieux une bite toute propre pour faire joujou avec ! Et me voilà, moi debout devant la Reine des Salopes à genoux en train de me raser le minou ! Pourvu qu’elle me la coupe pas, j’y tiens quand même à mon truc qui bande… Parce que moi, je suis aussi à poil et je bande toujours.


    A poil, mais j’ai plus un poil sur le pubis !


    On lave à l’eau froide, mais je bande toujours…


    Et là, le vrai pari commence. Voyons ce que ça va donner la Reine des Salopes déchaînée !


    Déjà, rien que la voir à poil, ça donne envie de décharger, en plus à genoux, langue sortie, avec son petit piercing…


    Bon promis, j’allais pas chercher à en faire des tonnes, résister, ça giclera, quand ça giclera ! Point barre ! Et en plus, j’avoue, j’ai envie de gicler dans sa bouche…


    Ca donne envie de jouir de voir ces seins ronds, ces tatouages et ces piercings.


    Ca y est la Reine des Salopes se prépare à l’attaque, langue humectant ses lèvres, tigresse prête à me dévorer le saucisson tout cru… Elle ronronne, me lance des regards dans le genre « toi mon salaud, je vais t’avoir en deux minutes, hein mon chien » !


    Et moi je la provoque du regard, je vois déjà le cou ou je mettrai une belle laisse !


    Et la voilà qui lèche les couilles titille le gland, et le truc en ferraille qui soi disant fait de l’effet je demande à voir. Moi je sens la langue chaude d’une femme qui aime sucer, qui aime les hommes, qui aime sentir son pouvoir sur eux… Un pouvoir qui se matérialise par leur érection dans sa bouche !


    Et là, le pouvoir elle l’avait sacrément sur moi la garce, elle m’avalait presque toute la bite, empalant sa bouche, et là on sentait, on le sentait le frottement du piercing, c’est pas désagréable, même plutôt bon. Moi le chrono était bien parti. Déjà deux minutes que la garce s’acharnait, elle me pelotait les couilles, me les léchaient de temps à autre, me branlait un peu, léchait replongeait… Une vraie tigresse qui malgré sa position ne cessait de me provoquer du regard.


    Moi je pensais aux milliers de bites qu’elle avait sucer au cours de sa carrière de salope.

    Expérience, savoir faire, un vrai amour de la queue, c’était bon ça. Moi j’offrais mon modeste engin à sa gourmandise, il était moyen de longueur mais large, et remplissait bien sa bouche.

    Et surtout comme d’habitude, quand c’était raide, je sentais à peine des sensations, c’était le bout de bois habituel… Elle avait déjà perdu mais elle le savait pas ! Comme moi, c’est ou tout ou rien, là c’était tout.

    La fillotte , elle pouvait déjà préparer son cul car dans deux minutes…


    Quand je lui ait annoncé une minute au chrono, elle s’est jeté sur ma queue avec une science et une avidité jamais vue… J’en avais déjà vu des salopes, mais des comme ça !

    Moi, je fermais les yeux, je savourais, j’aurais donner n’importe quoi pour être là à ce moment là…

    Quand j’ouvrais les yeux, je la voyais belle, je la voyais qui me bouffait ma queue à moi… Que demandez d’autres dans la vie !

    Trop tard, dix minutes étaient passées, je la voyais dégrisée, déconfite… Elle avait perdu, elle était restée à genoux, et moi doucement je lui caressais la nuque…


    Elle était toujours aussi belle, moi toujours aussi pas beau, mais toujours la queue raide.

    Maintenant, je l’avais positionnée, mains sur le capot, cul tendu vers moi, chevilles écartées.


    Doucement, longuement, j’ai caressé ses fesses… De belles fesses, pleines, bien rondes, des fesses à fessées, des fesses à lécher, des fesses à enculer. Un anus rose pale, souple, qui palpite quand une langue le caresse, s’ouvre quand un index pousse, un beau cul de Reine des Salopes, à cul à enculer…



    Et j’allais l’enculer…



    Je m’étais agenouiller derrière elle, doucement j’avais léché ces belles fesses, je les avais embrassées, puis écartées pour titillé de la langue ce chaud petit trou qui m’appelait. Dans ce chaud orifice, je coulais ma langue, et je sentais la Reine des Salopes sortir de son abattement, presque prête à rugir…


    Une capote qu’on enfile, une salope qu’on enfile.


    Bien à fond, bien au fond…

    Plus c’est long, plus c’est bon…


    Et la Reine des Salopes qui gémit !



    Bien à fond, bien au fond…

    Plus c’est long, plus c’est bon…

    Et la Reine des Salopes qui jouit !


    Et la voilà, qui réclame :

    « Encore » !


    Et là voilà qui jouit encore !

    Et de plus en plus fort !


    Et moi, j’ai envie de jouir… J’ai envie de gicler dans sa bouche… Arrachage de capote fébrile…


    Gland dans sa bouche, je me branle violemment , une main lui bloquant la nuque, l’autre astiquant violemment le gourdin ! Et là Reine des Salopes qui se tord sous ses propres caresses…


    Le film se ralentit, on passe du 24 images secondes à 1 image seconde, impression de coton, semence lourde qui glisse vers la glotte de la Reine des Salopes.


    Plaisir absolu…


    Bonheur.


    Moi qui ne suis pas beau, j’aurais cette femme sublime comme esclave pour une nuit.
























    Chapitre second


    Toujours une soirée, toujours la même place de village. La même voiture aussi. Tout de même une Twingo, ça craint pour transporter la Reine de Salopes.


    D’ailleurs la Reine des Salopes se pointait déjà, pile à l’heure, conforme aux ordres de celui qui pour cette nuit aurait l’honneur d’être son maître.


    Sur le trottoir, je l’apercevais vêtue d’une simple cape noire en coton, serrée autour du cou. Elle ne devait rien à voir dessous, juste au pied des escarpins rouges. Elle avait pas besoin d’autre chose, de toute façon, pour moi sa plus belle tenue, c’était à poil, vêtue simplement de ses tatouages et piercings. Pour être bandante, elle avait pas besoin d’en faire des tonnes.


    Sans un mot, elle s’assied, relevant sa cape, l’ouvrant largement, dévoilant ses seins, son sexe, son ventre, ses cuisses. Des cuisses qu’elle ouvre à l’équerre reposant ses chevilles sur le tableau de bord.


    Evidemment, j’aurais pu la mettre dans le coffre, comme une vulgaire valise, mais quel en aurait été l’intérêt ? L’humilier, quel plaisir cela m’aurait-il apporté !

    Alors que la voir, déjà rien que la voir, se soumettre, apparemment docile, elle la rebelle, la tigresse, c’était pur plaisir.

    Autre pur plaisir, dont je n’aurais pu me priver, c’était celui de la toucher. Merde, avoir la Reine des Salopes dans sa voiture, et ne pas pouvoir la toucher, non merci ! Je suis pas maso !


    C’est d’ailleurs à cause de cela, que sans que nous ayons échangé un seul mot que je me suis permis de lui sucer les tétons, de caresser sa fente si douce, et annelée. Bon signe, elle était déjà toute trempée… Salope, jusqu’au bout !


    Et un foulard de satin noir autour de ses yeux… Et des mains qu’elle place sur sa tête sur mon ordre, après que j’ai bouclé cette stupide ceinture de sécurité. Ce faisant d’ailleurs, je n’ai pu m’empêcher de caresser longuement le haut de sa cuisse, puis ses deux piercings, surtout celui du capuchon.


    Clic. Quelques petites routes, puis l’A43… Des camions, des camions que l’on double, en prenant soin de rester à la hauteur de la cabine, histoire que je ne sois pas le seul à profiter de Reine des Salopes se masturbant doucement.



    Et puis le péage et la gueule du péagiste… La Reine des Salopes qui jouissait, en plein péage, et comme elle n’est pas très silencieuse, imaginez le spectacle ! Quand elle jouit on dirait la Callas ou la Tebaldi ! Quelle puissance !


    La Reine des Salopes ne savait pas ou nous allions, et je m’étais bien gardé de lui dire.

    Crissement du gravillon sous les pneus, sous les phares un beau monument construit aux alentours du XIVème ou du XV ème siècle.


    Ma Twingo entre une Mercedes classe S et une 91 noire, ça à de la gueule !

    Mon sac à l’épaule gauche, main serrée autour de sa taille, histoire de la guider, mais aussi fierté de montrer aux autres, que ce soir la Reine des Salopes, était à moi, rien qu’à moi.

    Et une Reine des Salopes dont la cape s’entrouvre sous effet du vent, et qui rit, rougit en butant sur une marche du perron de pierre.


    La réception :

    - « Bonsoir, j’ai réservé  une de vos chambres avec lit à baldaquin» !

    • « Bonsoir, monsieur, je vais vous faire conduire, le champagne vous attends dans la suite. Bonne soirée»


    J’augmente la pression autour de la taille de ma Reine. Excitation, émotion sont à leurs combles.


    Un chasseur prend mon sac, et nous le suivons lentement, toujours enlacés, on pourrait presque dire tendrement enlacés, car j’avais les cheveux et la joue de la Reine des Salopes collés contre mon torse.


    Et le chasseur qui ouvre la porte, et moi qui roule une galoche à la Reine des Salopes. Pas un petit bisou, non le truc à nous faire figurer dans le « Livre des records ».


    Seuls sur le pas de la porte, enfin seuls ! je dégrafe sa cape, enlève le foulard. Elle est nue, elle est belle ! Elle fixe mes yeux, et les miens sont plongés dans les siens.

    Jamais ce soir, elle ne baissera le regard, ça je le sais, et cela ne la rends que plus belle.


    Très belle !


    Belle quand elle obtempère à mon ordre de s’agenouiller.


    Belle quand je lui serre le collier de cuir rouge autour du cou.


    Belle en chienne, sur le pas de la porte.


    Belle quand elle franchit la porte en tirant sur sa laisse.


    Belle quand elle stoppa sur le tapis.


    Belle quand du regard elle me lança, qu’elle est ma chienne et que je suis une grosse fiote , si je ne la baise pas toute de suite en levrette sur le tapis, attachée par la laisse au pied du lit.


    Salope !


    Moi ça faisait, une bonne heure que j’avais la barre dans le slip. Alors de toute façon, il était facile de deviner qu’elle serait mon intention une fois dans la chambre.


    Il y avait à peine une minute que la porte avait été fermée, et déjà, je me préparais à l’assaut. Bon sang, merde, les capotes !


    Bien au fond du sac comme d’hab ! Et la Reine des Salopes qui me l’enfile avec la bouche bien sur… Bonne chienne, belle chienne, que je remercie avec un gros poutou sur la nuque. Et puis un gros calin sur ses nichons, les deux en même temps bien sur comme ça y a pas de jaloux, pendant qu’elle en profite, pour me bouffer la saucisse… Oh que c’est bon !


    Je veux la baiser ma chienne ! Elle est belle, elle a la peau douce… Une vraie peau de bébé… humm, je lui caresse les reins, les fesses… c’est doux.


    La Reine des Salopes mouille tellement, que ça goutte, ça tache le tapis. Je me place derrière, je la doigte, elle gémit, trempée, je vous dis pas… Une femme fontaine ! Et je goutte mon doigt. Pas mauvais, moi qui d’habitude aime pas ! Plutôt bon même !


    Et maintenant vas y ma Reine des Salopes, gueule, je veux t’entendre crier, encore, encore Mon Loup, je veux que tes cris fasse trembler les murs de la vieille forteresse, je vais et je viens, toujours plus loin, plus fort. Tu es Ma Louve, et je suis Ton Loup.



    Ce soir, tu m’appartiens, mais ma queue et mon âme t’appartiennent.


    Tu as bien compris qu’en fait, que c’est toujours la femme qui commande, même quand elle paraît soumise. Ceci n’est qu’une apparence. Quand Monsieur bande, si Madame sait y faire, c’est elle qui commande. Et toi, Reine des Salopes, tu sais y faire !


    Et je me rue, bite en avant dans ton sexe avide… Rut animal, bestial un Loup et sa Louve Alpha. Et tu cries encore, encore Mon Loup, et tu jouis, et je jouis.

    Je m’affale à tes côtés, m’évanouit sous la violence du plaisir. Quand je sors de l’ombre, c’est toi qui me réveille en me nettoyant la bite. Toujours aussi belle ! Royale !


    Un peu de champagne. Elle est toujours à quatre pattes sur le tapis, et moi je sors une écuelle, que je remplis à moitié… Bois ma chienne, tu es belle… Et je la cajole ! Cette douce peau m’inspire. Elle lape mon champagne, elle se lèche les babines, me provoque.

    Toujours regard direct, dans mes yeux… Reine des Salopes, on vous dit !


    Et une tape sur ses fesses.


    Tape ou caresse ?


    Et je détache la laisse.


    • « Grimpe ma chienne » !


    Et la voilà, attachée, écartelée au montant du lit à Baldaquin, visage écrasé contre les coussins… Il est moelleux le lit. Je la laisse trente secondes, histoire d’aller prendre un petit paquet dans mon sac, et là voilà qui fait semblant de ronfler ! Clac ! Tiens voilà pour ton cul ! A peine un grognement !


    Et moi je m’assois à cheval sur ton royal séant. C’est le siège le plus confortable de la chambre. Le plus beau aussi. Rien que de faire ça, je recommence à bander pour la Reine des Salopes.


    Voilà, le flacon… Huile de massage Lancôme ! Mazette, rien que ça !

    Le creux des reins, les omoplates, le nuque, puis le cul, soyons généreux ! Moi maintenant, je place à sa droite, je fais chauffer l’huile entre mes mains.


    Par la nuque je commence, en la frôlant ne faisant des petits cercles, puis je descends, m’attarde sur ses omoplates, le creux de ses reins, puis son cul bien rond que j’embrasse et lèche.


    Et les cuisses, juste ce qu’il faut de muscle, pas de graisse, pas de cellulite, rien…


    A mes yeux, son corps est parfait, parfait !


    Et même chacun de ses pieds je masse…


    Je remets de l’huile… Et maintenant, c’est avec mon corps que je la masse…


    Je sais, je suis lourd, mais j’essaie tant bien que mal, j’essaie de bien frotter mon corps contre son dos… Bon je débute, je débute, je suis pas un pro.


    Ce corps chaud, contre moi, c’est du bonheur. Elle a l’air d’aimer, même si je suis un débutant. Je passe mes mains sous ses gros seins ronds. Ils sont écrasés comme ma queue entre le sillon de ses fesses. Que du bonheur on vous dit ! Et j’embrasse sa nuque, descend par mes baisers, jusqu’au creux de ses reins, puis ses fesses, et le trou de balle… Un gros smack pour lui ! Il le mérite bien, il est si agréable, il sait si bien donner du plaisir à un homme.


    Impression que toute la nuit passe…


    Toujours attachée mais de l’autre côté. Maintenant, je vais manger !


    Au menu Nichons de Salope au Miel et dessert surprise !


    J’ai les nichons ( y en a un qui est annelé ,c’est lequel ?), je j’ai le miel liquide…

    Quelques gouttes sur chaque téton.


    C’est un prétexte pour lécher, tordre, mordiller, téter, sucer… Je suis un gros bébé qui tête… J’adore ça, les minutes passent, les heures passent, je m’en fous, je lèche cette peau si douce, je suce cet anneau, je mors les tétons qui bandent.


    ( question de l’auteur, fais tu partie de cette rare catégorie de femme qui peut jouir quand on joue avec ses seins ?)


    J’adore tes seins ma chienne !


    Ma Reine des Salopes…


    Et voilà un dessert. Il y a quelques heures ce petit pot était a u congélateur. C’est le résultat de toutes les bandaisons causées chez moi par la Reine des Salopes…


    Une crème de massage spécial pour les seins !


    J’y trempe mon doigt.


    • « Donne moi ton avis ? Il est encore bon ? ».

    • « Bien frais », slurp, fit la salope, après m’avoir sucé le doigt longuement.


    Et j’en verse une bonne rasade, sur les deux grosses boules que je masse, presse… C’est gluant mais c’est bon… Terrible des nichons pareils !


    Et je pétris les miches de la Reine des Salopes ! Je tire les tétons qui bandent, elle crie, je les tords, elle crie…


    Et je nettoie lentement avec ma langue les traces de mon foutre sur ses seins…


    Et j’ai soif. Y a le champagne, et comme coupe j’ai son sexe.


    Une bonne occasion de lècher… Trier sur ses anneaux… C’est bon…


    Et je la branle, et je la branle encore. Je glisse deux doigts, trois doigts (combien on peut t’en mettre ?), quatre doigts, je fouille je cherche, il est ou se point sensible….


    Nouveau rôle pour la Reine des Salopes, machine à jouir… J’adore voir une femme se tordre, jouir pendant des heures sous l’effet de mes mains, je fouille, j’ai trouvé le point, je caresse, je frôle, je pince… Je relâche, elle jouit à la commande… Encore, encore, elle hurle, mais je n’arrête pas au contraire … Elle crie , toujours. Pauvres voisins !

    Le concert a bien du durer une heure !


    J’ai envie de pisser, elle aussi, ça tombe bien. Il est déjà deux heures du matin, tout le monde dort. Je la détache, la tire par le collier, elle descend difficilement du lit douillet.

    On sort, l’air frais, nous réveille… Je l’emmène au jardin à quatre pattes et lui fais choisir un bel arbre. Elle est nue, moi aussi !


    Elle lève la patte, et pisse du mieux qu’elle peut sur l’arbre. Je la redresse, et c’est à mon tour, mais moi je vise ses seins.


    Et elle me nettoie avec la langue.


    Et pas besoin d’un ordre, elle a compris ce que je veux. Moi debout contre l’arbre, elle a genoux entre mes cuisses.


    Et elle m’a fait explosé dans sa bouche comme, ça une nuit d’été dans un jardin, à l’ombre d’un château. Pas besoin de me branler, juste sa bouche de Reine des Salopes qui m’offrait le plus noble des cadeaux.


    Je la relève, je la serre contre moi, et je l’embrasse… Elle viole ma bouche, je viole la sienne. Eternité.


    Je la prends dans mes bras, la porte, jusqu’à la baignoire, l’y dépose, enlève son collier et sa laisse lui fait couler son bain. Je shampooine sa blonde chevelure doucement, je savonne ses seins, son dos, ses aisselles, son sexe. Je me glisse à mon tour dans l’eau, c’est elle qui me lave. Elle se lève, je me lève, je la rince, elle me rince, je l’essuie, elle m’essuie, je l’embrasse.


    Je la pousse sur le lit, lui remets le collier de chienne… On s’allonge, elle se blottit cul contre ma bite, se trémousse, je bande, elle me branle avec ses fesses. Quelle garce ! Une capote par ici, et j’encule…


    Et voilà comment nous avons révisé le kamasutra jusqu’a six plombes du mat. La Reine des Salopes le connaît par cœur, ça tombe bien !


    Maintenant elle dort contre moi.


    Moi je mate, je la sens… C’est bon.


    Elle est vraiment belle… Je profite d’un moment rare. Du bonheur concentré, un rêve éveillé.



    Fin du second chapitre


     

    Epilogue



    Ce soir dans lieu inconnu, qu’elle aura choisi, pour une nuit, je serai son chien, son esclave.

    Ce soir, je m’offrirai à elle.

    Ce soir, moi qui ne suis pas soumis, je serai à ses ordres.

    Ce soir, moi qui ne suis pas maso, je souffrirai si elle en a envie.


    Peut être ai je envie qu’elle me mette le corps en sang, qu’elle me couvre de bleus, qu’elle me fouette, qu’elle m’encule… Que sais je encore !


    Du moment qu’elle aime ça , je lui offre ce cadeau !


    Je vais encore partager un moment unique avec elle.


    Je suis en type qui a vu la mort en face. Les coups ne me feront pas peur, et je sais qu’elle saura quand s’arrêter.


    La seule chose qui m’effraie, c’est après cette nuit là, elle ne me regarde plus comme une homme, juste comme un chien qui porte son collier, qu’elle ne vienne pas se blottir contre moi… Et cela je ne le supporterai pas !


    Au fait, ma Reine des Salopes, elle un nom : Brigitte




    Fin

     













     

     
      Posted on : Sep 13, 2012 | Comments (0)
     



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