J'ai
beaucoup d'envies, mais une revient toujours.
Me
faire sucer.
Pas
mal de raisons à cela.
D'abord
je considère que dans la fellation il y a autre chose qu'un simple
acte sexuel.
La
fellation, c'est de l'art érotique, c'est beau, et puis c'est un
travail d'artiste.
Et
l'artiste, c'est celle qui suce, c'est la femme. Elle sait faire
monter le désir, elle sait faire durcir un truc qui était mou, elle
sait faire monter la pression, la faire descendre, elle sait faire ce
qu'il faut faire au moment ou cela doit être fait, elle sait faire
le truc que l'homme n'attend pas, elle sait le meilleur moment ou le
faire jouir.
Et
puis, c'est un cadeau, un acte de pure générosité.
Cadeau,
quand elle s'agenouille devant l'homme, apparemment soumise, en
réalité pas du tout.
Cadeau,
quand elle se fait douce autour de ce sexe qui semble si important
pour l'homme.
Moi
je me dis, qu'un jour si je dois mourir, ce sera en me faisant sucer.
Même si je n'ai jamais joui lors d'une fellation, c'est quand même
le plus grand plaisir qu'on ait jamais pu me donner.
Il
y a des tas d'endroits ou j'aimerai me faire sucer, par exemple, dans
l'eau, dans une cabine d'essayage, à un bureau, suspendu à une
poutre, dans la vitrine d'un magasin, dans une salle de cinéma, en
parlant au téléphone à quelqu'un, sur un ban public, dans un
parking, dans un musée, à la lumière de la lune dans un jardin
extraordinaire. C'est possible partout, du moment que l'on en a
envie!
Erik
Maintenant
mesdames, a vous de donner votre avis,
et,
bien sur vous pouvez me faire toutes les propositions fellationantes
que vous jugerez intéressantes!
C’était une très belle femme d’une
quarantaine d’années. En dehors de quelques ridules autour de ses
yeux bleus, rien ne trahissait son âge. Et, ces rides ne
traduisaient pas son âge, mais les conséquences d’un vécu
impressionnant. La fête, des hommes par milliers, des milieux
fréquentés par toujours très sains, des frasques sexuelles
multiples ou les aventures les plus simples, côtoyaient les actes
que les moralistes bien pensant, les grenouilles de bénitiers
qualifieraient d’odieux. Partouzeuse, dominatrice, sado, soumise,
bisexuelle, exhibitionniste, certains la qualifieraient de salope, et
c’était vrai. La Reine des Salopes était une salope, et elle en
était fière. Moi j’ajouterai qu’avant tout la Reine des Salopes
était une femme libre.
Son passé, son expérience ne l’a
rendait que plus intéressante à mes yeux. Moi je ne suis pas
hypocrite, j’aime ces femmes qu’on appelle des salopes, ce sont
elles qui me font bander, et la Reine des Salopes, dès que je l’ai
aperçue marchant sur une place ensoleillée, elle m’a fait un
drôle d’effet côté slip. Ceux qui les méprisent, c’est parce
qu’ils ont honte d’eux-mêmes, et qu’ils se jugent au regard
d’une morale rigoriste et stupide… Dans la bouche de ces
personnages, salope est un insulte, mais entre la bouche, le cerveau
et la bite les avis divergent :
Salope,
dit là bouche !
Je
bande, fait la bite !
Je
me la taperai bien, pense le cerveau !
A ceux qui la traite de salope ,alors
qu’ils ont les yeux vissés sur son cul qui roule quand elle
arpente la rue, moi je dis, que s’ils traitent une telle femme
comme ça, c’est qu’ils savent qu’ils n’auront jamais
l’honneur et le bonheur, de remplir de leur queue, un de ses
trous.
Et pourtant, qui n’a pas connu le
sexe avec une salope ne peut définir le mot plaisir !
Une salope est en réalité une femme
qui aime le sexe, et qui n’en a pas honte. C’est la nature. Une
salope aime donner et recevoir du plaisir, c’est quelqu’un qui
partage !
Et c’est bon de partager avec elle !
Encore, encore ! Oh, oui, oh oui !
Là voyant se diriger d’un pas
décider sur la place, vers nous, j’ai senti remuer dans mon slip…
Effet immédiat, et c’est normal.
Plutôt petite, cheveux mi-long, tenue
très hot, escarpins, jupe cuir raz le bonbon, petit bustier noir qui
dissimulait bien mal une poitrine ronde et avenante, peau très
blanche, yeux cachés par des lunettes noires… Superbe, sexy,
bandante…
Moi pas beau, elle divine !
Durant toute la conversation, je n’ai
accordé aucune attention à mon voisin Paul. Toute mon attention
était à celle que j’avais en face de moi et à ses paroles. Je
souriais du petit étonnement de mon jeune voisin. Elle évoquait son
passé avec simplicité et naturel. 400 personnes, le dernier étage
réservé au Sm, un château, un milieu friqué, cela évoquait pour
moi le récit que m’avait fait, il y a quelques années, une de
mes ex soumises , que nous baptiserons Brocéliande. la seule
différence, c’est que son banquier de premier maître, à qui elle
me comparait, l’avait emmené directement au dernier étage pendant
quelques jours.
Bref, c’était un récit qui datait
des années avant le sida, un récit qui datait d’une époque
révolue, ou tout était permis, du moins pour ceux qui pensaient
appartenir à une certaine élite…
C’était une survivante, quelqu’un
qui avait un vrai vécu, des tripes…
Une femme dont on avait envie…
Envie de suite, envie à en crever…
Oui c’est cela, mourir de plaisir
dans ses bras !
J’ai connu déjà des salopes, mais
pas aussi salopes qu’elle, je pense.
Enfin, bref, j’espérais très
bientôt, avoir l’honneur de ses trous. Je parle d’honneur car un
honneur, d’être l’ami ou l’amant d’une femme comme elle.
Discussions avec elle, sur le net,
texto, et l’envie qui monte, monte…Envie qui semble monter chez
elle aussi… Hum c’est bon ça…
Des idées de jeux qui montent, ça
vient comme ça, c’est naturel…
Moi - « Remarque... j'adore me
faire sucer....et suis résistant à la pipe. »
Elle– « Pffff, on verra ».
Et c’est là que, j’appris que
grâce à son talent et à son amour de la pipe, aidée par le petit
piercing qui ornait sa langue, les mecs ne duraient pas plus de 5
minutes dans sa bouche… Et que même le Rocco Siffredi, il serait
pas capable de faire mieux ! Nah !
Moi je me dis qu’avec tous ces
éjaculateurs précoces, une telle salope, doit être frustrée !
J’avoue que zézette, elle marche pas
tout le temps, c’est pas une machine, mais quand elle marche, elle
marche au super ! Genre béton insensible, je sens rien, mais
j’ai la gaule,
sans me doper, et pendant des heures…
C’est d’ailleurs encore plus pénible peut être… Une femme qui
ne te sent pas jouir, elle croit des fois, que c’est parce que tu
n’as pas assez envie d’elle.
Et toi, t’y peux rien, c’est comme
ça… Le seul moyen souvent c’est de se terminer à la main sur
son visage, ses seins, son ventre. Peut être qu’elle, enfin
arriverait à me faire jouir dans sa bouche, par le seul savoir faire
des ses mains, de sa langue, de ses lèvres.
Et là, provoc, j’aime me la jouer
bravache des fois, j’aime les défis.
Défi à la Reine des Salopes, me faire
jouir avec sa bouche en moins de 10 minutes.
Et elle, qui me dit quand elle parie,
elle gagne toujours… Comme c’est bizarre moi aussi !
A tout pari, il faut un enjeu.
Ceux qui me connaissent, peuvent
aisément deviner quel à été mon choix si je gagne. Une nuit dans
un bel hôtel à faire ce que je veux d’elle !
Devinez quel a été le sien ?
N’oubliez pas que c’est une salope,
et qu’elle a un côté dominatrice sado…
Eh oui, celui qui perd se retrouve
l’esclave de l’autre pendant toute une nuit.
Moi je rigole devant son assurance, car
je sais que je vais gagner.
L’excitation du risque, du défi,
l’idée de dominer cette femme superbe, ou d’être dominer par
elle…
Dominer, soumettre une femme, qu’elle
importance, car en fait, en matière de sexe, c’est toujours la
femme qui commande dès que le mec bande. ..
Et puis, si je perds, serai-je vraiment
perdant ? Moi qui en suis pas soumis, moi qui n’ait jamais été
dominé, si elle a envie de me soumettre, ce sera le plus beau cadeau
que je puisse lui faire…
Si je gagne, sera-t-elle vraiment
perdante ? Je ne pense pas et en tous cas, en acceptant d’être
mon esclave toute une nuit, elle me fera un cadeau dont tous les
hommes rêvent, mais qu’ils n’obtiennent jamais. Le plus beau
cadeau qu’on m’ait jamais fait.
Rendez-vous avait été pris sur la
place de son village.
Provoc, provoc, elle devait arriver
avec une carotte bien enfoncée dans le cul, et moi dans la voiture
bite en érection à l’air, porte passager ouverte.
20 heures, elle était là, juste à
l’heure, rapidement dans l’habitacle… Moi, l’ayant vu arrivé
de loin, j’avais même plus besoin de m’astiquer. C’était tout
dur, et tout rouge…
Un piou, et puis l’on s’empoigne
mutuellement par la nuque. Des langues qui roulent.
Une main qui s’abat sur ma queue…
Un désemmelage , une bouche qui
plonge, qui lèche…
- « Bonsoir toi, dit-elle
en regardant mon gland, t’as l’air bien grosse et bien dure, t’es
sure que tu vas tenir dix minutes »?
- « Dis mon chien, t’es
sure qu’elle va tenir plus d’une minute ! Rires ! Tu
devrais abandonner comme ça je gagne tout de suite, et c’est le
collier direct dans la caisse » !
« C’est
cela compte là dessus, ma chienne, j’ai un beau collier rouge qui
t’ira très bien » !
Et voilà qu’elle se redresse, et moi
qui ouvre son corsage, qui lui lèche les tétons, slurp, slurp,
c’est bon…
- « Mes fesses sont
jalouses mon petit loup » !
Et la voilà qui se retourne tant bien
que mal sur le petit siège, qui relève sa jupe… Hum, c’est beau
deux fesses bien rondes… Et un coup de langue à droite, et un coup
de langue à gauche, et encore, encore…
C’est bon à lécher des seins et un
cul de salope.
Et c’est tout aussi agréable de
conduire une Twingo un soir d’été avec une salope qui s’exhibe
sur la route à vos côtés. Les seins sortis du corsage, la jupe
relevée, les escarpins noirs sur le tableau de bord, gambettes
écartées, caressant son minou annelé…
Bref, avec cette salope de luxe, moi
dans ma Twingo bordeaux, je me croyais au volant d’un Porsche 911
noire… Un bolide que je n’aurais jamais, faut pas rêver, mais la
salope de rêve, je l’avais à mes côtés !
Et l’autoradio qui hurle un vieux
tube… Je me souviens ,j’avais 15 ans, premiers émois, c’était
l’époque de Téléphone, de Trust, d’Ange, de Thiéfaine,
d’Odeurs… Et là dans le poste, c’était leur tube « Que
c’est bon, que c’est bon quand tu me déshabilles » !
Un coin de campagne désert, un champ,
des haies, des phares que je laisse allumés, Madame la Reine des
Salopes qui se dépoile en deux temps trois mouvements, une
couverture que j’étends et elle s’étend dessus. Royale on vous
dit !
Moi, je cherche la bouteille de champ
que j’avais mis au frais dans un sac isotherme, et sors deux vraies
flûtes pas cassées dans le voyage… Par contre le champ, bien
secoué !
Bouchon qui pète, champ qui mousse, et
dégueule de la bouteille… Et à la tienne ma chienne, et à la
tienne mon chien ! Ca fait du bien de boire, une petite boisson
couleur dorée. Tiens ça me fait penser à … mais non y a des
bulles !
Oh, mais voilà de la mousse à raser,
et un rasoir… C’est mieux une bite toute propre pour faire joujou
avec ! Et me voilà, moi debout devant la Reine des Salopes à
genoux en train de me raser le minou ! Pourvu qu’elle me la
coupe pas, j’y tiens quand même à mon truc qui bande… Parce que
moi, je suis aussi à poil et je bande toujours.
A poil, mais j’ai plus un poil sur le
pubis !
On lave à l’eau froide, mais je
bande toujours…
Et là, le vrai pari commence. Voyons
ce que ça va donner la Reine des Salopes déchaînée !
Déjà, rien que la voir à poil, ça
donne envie de décharger, en plus à genoux, langue sortie, avec son
petit piercing…
Bon promis, j’allais pas chercher à
en faire des tonnes, résister, ça giclera, quand ça giclera !
Point barre ! Et en plus, j’avoue, j’ai envie de gicler dans
sa bouche…
Ca donne envie de jouir de voir ces
seins ronds, ces tatouages et ces piercings.
Ca y est la Reine des Salopes se
prépare à l’attaque, langue humectant ses lèvres, tigresse prête
à me dévorer le saucisson tout cru… Elle ronronne, me lance des
regards dans le genre « toi mon salaud, je vais t’avoir en
deux minutes, hein mon chien » !
Et moi je la provoque du regard, je
vois déjà le cou ou je mettrai une belle laisse !
Et la voilà qui lèche les couilles
titille le gland, et le truc en ferraille qui soi disant fait de
l’effet je demande à voir. Moi je sens la langue chaude d’une
femme qui aime sucer, qui aime les hommes, qui aime sentir son
pouvoir sur eux… Un pouvoir qui se matérialise par leur érection
dans sa bouche !
Et là, le pouvoir elle l’avait
sacrément sur moi la garce, elle m’avalait presque toute la bite,
empalant sa bouche, et là on sentait, on le sentait le frottement du
piercing, c’est pas désagréable, même plutôt bon. Moi le chrono
était bien parti. Déjà deux minutes que la garce s’acharnait,
elle me pelotait les couilles, me les léchaient de temps à autre,
me branlait un peu, léchait replongeait… Une vraie tigresse qui
malgré sa position ne cessait de me provoquer du regard.
Moi je pensais aux milliers de bites
qu’elle avait sucer au cours de sa carrière de salope.
Expérience, savoir faire, un vrai
amour de la queue, c’était bon ça. Moi j’offrais mon modeste
engin à sa gourmandise, il était moyen de longueur mais large, et
remplissait bien sa bouche.
Et surtout comme d’habitude, quand
c’était raide, je sentais à peine des sensations, c’était le
bout de bois habituel… Elle avait déjà perdu mais elle le savait
pas ! Comme moi, c’est ou tout ou rien, là c’était tout.
La fillotte , elle pouvait déjà
préparer son cul car dans deux minutes…
Quand je lui ait annoncé une minute au
chrono, elle s’est jeté sur ma queue avec une science et une
avidité jamais vue… J’en avais déjà vu des salopes, mais des
comme ça !
Moi, je fermais les yeux, je savourais,
j’aurais donner n’importe quoi pour être là à ce moment là…
Quand j’ouvrais les yeux, je la
voyais belle, je la voyais qui me bouffait ma queue à moi… Que
demandez d’autres dans la vie !
Trop tard, dix minutes étaient
passées, je la voyais dégrisée, déconfite… Elle avait perdu,
elle était restée à genoux, et moi doucement je lui caressais la
nuque…
Elle était toujours aussi belle, moi
toujours aussi pas beau, mais toujours la queue raide.
Maintenant, je l’avais positionnée,
mains sur le capot, cul tendu vers moi, chevilles écartées.
Doucement, longuement, j’ai caressé
ses fesses… De belles fesses, pleines, bien rondes, des fesses à
fessées, des fesses à lécher, des fesses à enculer. Un anus rose
pale, souple, qui palpite quand une langue le caresse, s’ouvre
quand un index pousse, un beau cul de Reine des Salopes, à cul à
enculer…
Et j’allais l’enculer…
Je m’étais agenouiller derrière
elle, doucement j’avais léché ces belles fesses, je les avais
embrassées, puis écartées pour titillé de la langue ce chaud
petit trou qui m’appelait. Dans ce chaud orifice, je coulais ma
langue, et je sentais la Reine des Salopes sortir de son abattement,
presque prête à rugir…
Une capote qu’on enfile, une salope
qu’on enfile.
Bien à fond, bien au fond…
Plus c’est long, plus c’est bon…
Et la Reine des Salopes qui gémit !
Bien à fond, bien au fond…
Plus c’est long, plus c’est bon…
Et la Reine des Salopes qui jouit !
Et la voilà, qui réclame :
« Encore » !
Et là voilà qui jouit encore !
Et de plus en plus fort !
Et moi, j’ai envie de jouir… J’ai
envie de gicler dans sa bouche… Arrachage de capote fébrile…
Gland dans sa bouche, je me branle
violemment , une main lui bloquant la nuque, l’autre astiquant
violemment le gourdin ! Et là Reine des Salopes qui se tord
sous ses propres caresses…
Le film se ralentit, on passe du 24
images secondes à 1 image seconde, impression de coton, semence
lourde qui glisse vers la glotte de la Reine des Salopes.
Plaisir absolu…
Bonheur.
Moi qui ne suis pas beau, j’aurais
cette femme sublime comme esclave pour une nuit.
Chapitre second
Toujours une soirée, toujours la même
place de village. La même voiture aussi. Tout de même une Twingo,
ça craint pour transporter la Reine de Salopes.
D’ailleurs la Reine des Salopes se
pointait déjà, pile à l’heure, conforme aux ordres de celui qui
pour cette nuit aurait l’honneur d’être son maître.
Sur le trottoir, je l’apercevais
vêtue d’une simple cape noire en coton, serrée autour du cou.
Elle ne devait rien à voir dessous, juste au pied des escarpins
rouges. Elle avait pas besoin d’autre chose, de toute façon, pour
moi sa plus belle tenue, c’était à poil, vêtue simplement de ses
tatouages et piercings. Pour être bandante, elle avait pas besoin
d’en faire des tonnes.
Sans un mot, elle s’assied, relevant
sa cape, l’ouvrant largement, dévoilant ses seins, son sexe, son
ventre, ses cuisses. Des cuisses qu’elle ouvre à l’équerre
reposant ses chevilles sur le tableau de bord.
Evidemment, j’aurais pu la mettre
dans le coffre, comme une vulgaire valise, mais quel en aurait été
l’intérêt ? L’humilier, quel plaisir cela m’aurait-il
apporté !
Alors que la voir, déjà rien que la
voir, se soumettre, apparemment docile, elle la rebelle, la tigresse,
c’était pur plaisir.
Autre pur plaisir, dont je n’aurais
pu me priver, c’était celui de la toucher. Merde, avoir la Reine
des Salopes dans sa voiture, et ne pas pouvoir la toucher, non
merci ! Je suis pas maso !
C’est d’ailleurs à cause de cela,
que sans que nous ayons échangé un seul mot que je me suis permis
de lui sucer les tétons, de caresser sa fente si douce, et annelée.
Bon signe, elle était déjà toute trempée… Salope, jusqu’au
bout !
Et un foulard de satin noir autour de
ses yeux… Et des mains qu’elle place sur sa tête sur mon ordre,
après que j’ai bouclé cette stupide ceinture de sécurité. Ce
faisant d’ailleurs, je n’ai pu m’empêcher de caresser
longuement le haut de sa cuisse, puis ses deux piercings, surtout
celui du capuchon.
Clic. Quelques petites routes, puis
l’A43… Des camions, des camions que l’on double, en prenant
soin de rester à la hauteur de la cabine, histoire que je ne sois
pas le seul à profiter de Reine des Salopes se masturbant doucement.
Et puis le péage et la gueule du
péagiste… La Reine des Salopes qui jouissait, en plein péage, et
comme elle n’est pas très silencieuse, imaginez le spectacle !
Quand elle jouit on dirait la Callas ou la Tebaldi ! Quelle
puissance !
La Reine des Salopes ne savait pas ou
nous allions, et je m’étais bien gardé de lui dire.
Crissement du gravillon sous les pneus,
sous les phares un beau monument construit aux alentours du XIVème
ou du XV ème siècle.
Ma Twingo entre une Mercedes classe S
et une 91 noire, ça à de la gueule !
Mon sac à l’épaule gauche, main
serrée autour de sa taille, histoire de la guider, mais aussi fierté
de montrer aux autres, que ce soir la Reine des Salopes, était à
moi, rien qu’à moi.
Et une Reine des Salopes dont la cape
s’entrouvre sous effet du vent, et qui rit, rougit en butant sur
une marche du perron de pierre.
La réception :
- « Bonsoir, j’ai
réservé une de vos chambres avec lit à baldaquin» !
« Bonsoir,
monsieur, je vais vous faire conduire, le champagne vous attends
dans la suite. Bonne soirée»
J’augmente la pression autour de la
taille de ma Reine. Excitation, émotion sont à leurs combles.
Un chasseur prend mon sac, et nous le
suivons lentement, toujours enlacés, on pourrait presque dire
tendrement enlacés, car j’avais les cheveux et la joue de la Reine
des Salopes collés contre mon torse.
Et le chasseur qui ouvre la porte, et
moi qui roule une galoche à la Reine des Salopes. Pas un petit
bisou, non le truc à nous faire figurer dans le « Livre des
records ».
Seuls sur le pas de la porte, enfin
seuls ! je dégrafe sa cape, enlève le foulard. Elle est nue,
elle est belle ! Elle fixe mes yeux, et les miens sont plongés
dans les siens.
Jamais ce soir, elle ne baissera le
regard, ça je le sais, et cela ne la rends que plus belle.
Très belle !
Belle quand elle obtempère à mon
ordre de s’agenouiller.
Belle quand je lui serre le collier de
cuir rouge autour du cou.
Belle en chienne, sur le pas de la
porte.
Belle quand elle franchit la porte en
tirant sur sa laisse.
Belle quand elle stoppa sur le tapis.
Belle quand du regard elle me lança,
qu’elle est ma chienne et que je suis une grosse fiote , si je ne
la baise pas toute de suite en levrette sur le tapis, attachée par
la laisse au pied du lit.
Salope !
Moi ça faisait, une bonne heure que
j’avais la barre dans le slip. Alors de toute façon, il était
facile de deviner qu’elle serait mon intention une fois dans la
chambre.
Il y avait à peine une minute que la
porte avait été fermée, et déjà, je me préparais à l’assaut.
Bon sang, merde, les capotes !
Bien au fond du sac comme d’hab !
Et la Reine des Salopes qui me l’enfile avec la bouche bien sur…
Bonne chienne, belle chienne, que je remercie avec un gros poutou sur
la nuque. Et puis un gros calin sur ses nichons, les deux en même
temps bien sur comme ça y a pas de jaloux, pendant qu’elle en
profite, pour me bouffer la saucisse… Oh que c’est bon !
Je veux la baiser ma chienne !
Elle est belle, elle a la peau douce… Une vraie peau de bébé…
humm, je lui caresse les reins, les fesses… c’est doux.
La Reine des Salopes mouille tellement,
que ça goutte, ça tache le tapis. Je me place derrière, je la
doigte, elle gémit, trempée, je vous dis pas… Une femme
fontaine ! Et je goutte mon doigt. Pas mauvais, moi qui
d’habitude aime pas ! Plutôt bon même !
Et maintenant vas y ma Reine des
Salopes, gueule, je veux t’entendre crier, encore, encore Mon Loup,
je veux que tes cris fasse trembler les murs de la vieille
forteresse, je vais et je viens, toujours plus loin, plus fort. Tu es
Ma Louve, et je suis Ton Loup.
Ce soir, tu m’appartiens, mais ma
queue et mon âme t’appartiennent.
Tu as bien compris qu’en fait, que
c’est toujours la femme qui commande, même quand elle paraît
soumise. Ceci n’est qu’une apparence. Quand Monsieur bande, si
Madame sait y faire, c’est elle qui commande. Et toi, Reine des
Salopes, tu sais y faire !
Et je me rue, bite en avant dans ton
sexe avide… Rut animal, bestial un Loup et sa Louve Alpha. Et tu
cries encore, encore Mon Loup, et tu jouis, et je jouis.
Je m’affale à tes côtés,
m’évanouit sous la violence du plaisir. Quand je sors de l’ombre,
c’est toi qui me réveille en me nettoyant la bite. Toujours aussi
belle ! Royale !
Un peu de champagne. Elle est toujours
à quatre pattes sur le tapis, et moi je sors une écuelle, que je
remplis à moitié… Bois ma chienne, tu es belle… Et je la
cajole ! Cette douce peau m’inspire. Elle lape mon champagne,
elle se lèche les babines, me provoque.
Toujours regard direct, dans mes yeux…
Reine des Salopes, on vous dit !
Et une tape sur ses fesses.
Tape ou caresse ?
Et je détache la laisse.
« Grimpe
ma chienne » !
Et la voilà, attachée, écartelée au
montant du lit à Baldaquin, visage écrasé contre les coussins…
Il est moelleux le lit. Je la laisse trente secondes, histoire
d’aller prendre un petit paquet dans mon sac, et là voilà qui
fait semblant de ronfler ! Clac ! Tiens voilà pour ton
cul ! A peine un grognement !
Et moi je m’assois à cheval sur ton
royal séant. C’est le siège le plus confortable de la chambre. Le
plus beau aussi. Rien que de faire ça, je recommence à bander pour
la Reine des Salopes.
Voilà, le flacon… Huile de massage
Lancôme ! Mazette, rien que ça !
Le creux des reins, les omoplates, le
nuque, puis le cul, soyons généreux ! Moi maintenant, je place
à sa droite, je fais chauffer l’huile entre mes mains.
Par la nuque je commence, en la frôlant
ne faisant des petits cercles, puis je descends, m’attarde sur ses
omoplates, le creux de ses reins, puis son cul bien rond que
j’embrasse et lèche.
Et les cuisses, juste ce qu’il faut
de muscle, pas de graisse, pas de cellulite, rien…
A mes yeux, son corps est parfait,
parfait !
Et même chacun de ses pieds je masse…
Je remets de l’huile… Et
maintenant, c’est avec mon corps que je la masse…
Je sais, je suis lourd, mais j’essaie
tant bien que mal, j’essaie de bien frotter mon corps contre son
dos… Bon je débute, je débute, je suis pas un pro.
Ce corps chaud, contre moi, c’est du
bonheur. Elle a l’air d’aimer, même si je suis un débutant. Je
passe mes mains sous ses gros seins ronds. Ils sont écrasés comme
ma queue entre le sillon de ses fesses. Que du bonheur on vous dit !
Et j’embrasse sa nuque, descend par mes baisers, jusqu’au creux
de ses reins, puis ses fesses, et le trou de balle… Un gros smack
pour lui ! Il le mérite bien, il est si agréable, il sait si
bien donner du plaisir à un homme.
Impression que toute la nuit passe…
Toujours attachée mais de l’autre
côté. Maintenant, je vais manger !
Au menu Nichons de Salope au Miel et
dessert surprise !
J’ai les nichons ( y en a un qui est
annelé ,c’est lequel ?), je j’ai le miel liquide…
Quelques gouttes sur chaque téton.
C’est un prétexte pour lécher,
tordre, mordiller, téter, sucer… Je suis un gros bébé qui tête…
J’adore ça, les minutes passent, les heures passent, je m’en
fous, je lèche cette peau si douce, je suce cet anneau, je mors les
tétons qui bandent.
( question de l’auteur, fais tu
partie de cette rare catégorie de femme qui peut jouir quand on joue
avec ses seins ?)
J’adore tes seins ma chienne !
Ma Reine des Salopes…
Et voilà un dessert. Il y a quelques
heures ce petit pot était a u congélateur. C’est le résultat de
toutes les bandaisons causées chez moi par la Reine des Salopes…
Une crème de massage spécial pour les
seins !
J’y trempe mon doigt.
« Donne
moi ton avis ? Il est encore bon ? ».
« Bien
frais », slurp, fit la salope, après m’avoir sucé le doigt
longuement.
Et j’en verse une bonne rasade, sur
les deux grosses boules que je masse, presse… C’est gluant mais
c’est bon… Terrible des nichons pareils !
Et je pétris les miches de la Reine
des Salopes ! Je tire les tétons qui bandent, elle crie, je les
tords, elle crie…
Et je nettoie lentement avec ma langue
les traces de mon foutre sur ses seins…
Et j’ai soif. Y a le champagne, et
comme coupe j’ai son sexe.
Une bonne occasion de lècher… Trier
sur ses anneaux… C’est bon…
Et je la branle, et je la branle
encore. Je glisse deux doigts, trois doigts (combien on peut t’en
mettre ?), quatre doigts, je fouille je cherche, il est ou se
point sensible….
Nouveau rôle pour la Reine des
Salopes, machine à jouir… J’adore voir une femme se tordre,
jouir pendant des heures sous l’effet de mes mains, je fouille,
j’ai trouvé le point, je caresse, je frôle, je pince… Je
relâche, elle jouit à la commande… Encore, encore, elle hurle,
mais je n’arrête pas au contraire … Elle crie , toujours.
Pauvres voisins !
Le concert a bien du durer une heure !
J’ai envie de pisser, elle aussi, ça
tombe bien. Il est déjà deux heures du matin, tout le monde dort.
Je la détache, la tire par le collier, elle descend difficilement du
lit douillet.
On sort, l’air frais, nous réveille…
Je l’emmène au jardin à quatre pattes et lui fais choisir un bel
arbre. Elle est nue, moi aussi !
Elle lève la patte, et pisse du mieux
qu’elle peut sur l’arbre. Je la redresse, et c’est à mon tour,
mais moi je vise ses seins.
Et elle me nettoie avec la langue.
Et pas besoin d’un ordre, elle a
compris ce que je veux. Moi debout contre l’arbre, elle a genoux
entre mes cuisses.
Et elle m’a fait explosé dans sa
bouche comme, ça une nuit d’été dans un jardin, à l’ombre
d’un château. Pas besoin de me branler, juste sa bouche de Reine
des Salopes qui m’offrait le plus noble des cadeaux.
Je la relève, je la serre contre moi,
et je l’embrasse… Elle viole ma bouche, je viole la sienne.
Eternité.
Je la prends dans mes bras, la porte,
jusqu’à la baignoire, l’y dépose, enlève son collier et sa
laisse lui fait couler son bain. Je shampooine sa blonde chevelure
doucement, je savonne ses seins, son dos, ses aisselles, son sexe.
Je me glisse à mon tour dans l’eau, c’est elle qui me lave. Elle
se lève, je me lève, je la rince, elle me rince, je l’essuie,
elle m’essuie, je l’embrasse.
Je la pousse sur le lit, lui remets le
collier de chienne… On s’allonge, elle se blottit cul contre ma
bite, se trémousse, je bande, elle me branle avec ses fesses. Quelle
garce ! Une capote par ici, et j’encule…
Et voilà comment nous avons révisé
le kamasutra jusqu’a six plombes du mat. La Reine des Salopes le
connaît par cœur, ça tombe bien !
Maintenant elle dort contre moi.
Moi je mate, je la sens… C’est bon.
Elle est vraiment belle… Je profite
d’un moment rare. Du bonheur concentré, un rêve éveillé.
Fin du second chapitre
Epilogue
Ce soir dans lieu inconnu, qu’elle
aura choisi, pour une nuit, je serai son chien, son esclave.
Ce soir, je m’offrirai à elle.
Ce soir, moi qui ne suis pas soumis, je
serai à ses ordres.
Ce soir, moi qui ne suis pas maso, je
souffrirai si elle en a envie.
Peut être ai je envie qu’elle me
mette le corps en sang, qu’elle me couvre de bleus, qu’elle me
fouette, qu’elle m’encule… Que sais je encore !
Du moment qu’elle aime ça , je lui
offre ce cadeau !
Je vais encore partager un moment
unique avec elle.
Je suis en type qui a vu la mort en
face. Les coups ne me feront pas peur, et je sais qu’elle saura
quand s’arrêter.
La seule chose qui m’effraie, c’est
après cette nuit là, elle ne me regarde plus comme une homme, juste
comme un chien qui porte son collier, qu’elle ne vienne pas se
blottir contre moi… Et cela je ne le supporterai pas !
Au fait, ma Reine des Salopes, elle un
nom : Brigitte