Comment dominer son soumis
Le matériel d'éducation conseillé par MaîtresseM
Madame, prenez le pouvoir en vous équipant sans attendre !
A la base c’est une volonté et un moral de fer de parvenir à vos fins et c’est « le fouet » qui va devenir votre bras droit dans votre maison et qui sera craint d’autant qu’il servira souvent et systématiquement à la moindre faute jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de travers à corriger. Il faut donc du bon matériel pour faire du beau travail qui de plus se voit !
Il serait idéal de vous équiper ainsi :
Un martinet de correction : à mille lieux des articles de bazar vendus dans les grandes surfaces, il faut le choisir avec attention ou le fabriquer soi-même. C’est l’outil de base toujours à portée de main et bien visible au foyer, qui va vite faire comprendre à votre soumis que les choses ont changé.
Quelques exemples de matériels certainement efficaces, caractérisés par des lanières de corde ou cuir souples, lourdes et résistantes.
Mais tout cela n’est rien : Je vous conseille de fabriquer aisément un martinet absolument redoutable à partir d’un manche de martinet de bazar ou d’un morceau de manche à balais sur lequel vous clouez 5 ou 6 fils électriques souples plats à 2 brins de 0,5mm2 de soixante centimètres de long, avec un double noeud a chaque bout, le cloutage étant enrubanné dans du chatterton pour une jolie finition.
C’est essentiellement grâce à ce "très méchant" martinet que le dressage de G réussit et c'est ce fouet qui n'a jamais le temps de vraiment refroidir complètement qui l’a totalement dompté et soumis à maitresseM, maîtresse très autoritaire et inflexible dès les premières sessions ! Surnommé « Monsieur Plus » c’est lui qui fait mal pour apporter le bien au foyer, il est vraiment idéal et absolument parfait pour punir, faire obéir immédiatement ou (re)dresser un homme soumis !.
Ce fouet aux lanières lourdes et très souples zèbre méchamment les fesses de G et les marque au sang tout de suite par l'extrémité de ses lanières à chaque coup reçu . Les résultats visibles sont immédiats et les marques du fouet sont garanties pour au moins 10 jours a minima et les fesses de G brûlent et le piquent durant 3 ou 4 jours avec pas plus de 50 coups minimum syndical de la maison ! G craint beaucoup ce fouet "de tous les jours" qui n'en finit pas de servir et dès que MaitresseM prend ce fouet à la main, G n'en mène pas large à la peur de la méchante fou imminente et des heures qui vont suivre avec les fesses "en feu" et méchamment boursouflées qui vont le piquer ! C'est ce fouet qui a la préférence de M non seulement pour l'effet immédiat sur G pendant la correction ce qui la ravit et aussi pour les belles et très sévères marques que le fouet laisse sur les fesses pour longtemps qu'elle adore admirer ou faire admirer en public, par une promenade sur la plage naturiste de Cap d’Agde, par exemple, les jours qui suivent et lui permettent de juger de la vraie qualité d'une correction administrée ce qui l'excite au plus haut point et lui donne à nouveau très envie de recommencer à fouetter G .
Ce martinet maison apporte de très grandes satisfactions à MaitresseM qui le considère comme un trésor de bienfaits au foyer et qui veut toujours l'avoir sous la main.
Il est d'ailleurs très pratique à emporter partout et G doit veiller à toujours le prendre à chaque sortie !. « Monsieur Plus » est toujours le compagnon de route de tous les voyages et petits déplacements même locaux et souvent il n’est pas trimballé pour rien !
Il est rare qu’il ne soit pas reproché à G quelque faute immédiatement punie, à la sortie d'un magasin, à l’hôtel ou même en pleine nature, notamment « lorsqu’il y a urgence » comme dit maitresseM : Aussitôt dit, aussitôt G doit s’exécuter : Si elle ne peut procéder sur site, elle monte avec G dans la voiture en direction d’un endroit tranquille, et aussitôt le soumis doit sortir le martinet et l’offrir à sa Maîtresse, se déshabiller entièrement d’initiative et se pencher sur le capot de la voiture jambes bien écartées et supplier de recevoir "une sévère flagellation bien méritée" (sic). Ni une ni deux, le martinet se met à cingler à tout va pendant que Maîtresse M « en colère » lui rappelle la faute et les règles et fait danser les fesses et les zèbre les sans jamais aucun répit pour vite en finir. A l’extérieur les fouettées sont souvent réglées en 5 minutes chrono "tout compris" mais fort intenses avec toujours un minimum garanti de 50 coups de ce martinet providentiel toujours dispo « qui règle tous les problèmes au foyer et a toujours le dernier mot à la maison». Il n'est d'ailleurs pas rare que voyant les bons effets sur G de ce martinet (belles marques immédiates du fouet au sang, gémissements obligatoirement contenus, et soumission absolue obligatoire), elle continue "à se faire plaisir" bien au delà du nécessaire et G n’a pas d'autre choix que de subir, même si la flagellation devient totalement disproportionnée à la "petite faute".
Comme adjuvant, à l’extérieur au printemps et en été avant de s’arrêter pour la raclée, G doit souvent « rapidement » trouver, cueillir et préparer des orties (sans aucun gant !!! cela fait très mal aux mains !!), les préparer en bouquets pour lui être appliquées juste avant le fouet sur les fesses, et le sexe . Ensuite le martinet prend le relais sur les fesses brûlantes et fait "éclater" les petites cloques des orties et bien pénétrer leurs petits dards dans la peau. C'est très efficace pour renforcer les effets de la raclée au moins jusqu'au lendemain et MaitresseM le sait bien !
Le martinet de correction, son frère jumeau pendu à la cuisine* à la vue quotidienne de G et depuis décembre 2013 le nouveau qui reste en permanence dans la voiture, fait partie de la vie de tous les jours du foyer et sitôt que MaitresseM l'ordonne, G doit lui "offrir immédiatement" et depuis peu "réclamer voire supplier une fouettée » immédiatement servie, c'est la règle. Autant dire que G doit s’assurer qu'il est toujours à portée de sa main partout où ils vont ensemble et depuis peu G doit même l'emporter sur lui dans un petit sac à dos partout à l'extérieur. Ainsi, tout le temps, jour ou nuit, à la maison ou à l'extérieur G doit craindre qu'il soit mis en action et ne peux se permettre aucun écart. Il n'y a ainsi jamais de délai entre un reproche et une correction et G ne peut donc jamais y échapper. C'est très efficace pour le dressage et le faire obéir ! G a, à force, la peau des fesses tannées et presque tout le temps boursouflées par ce fouet car il ne compte plus les corrections qui pleuvent très (trop) facilement et qu’il doit prendre très docilement jusqu'à la fin malgré la douleur infligée par ce martinet "très professionnel" qui l’amène au bord des larmes à chaque fois.
- Toutes les personnes qui entrent à la cuisine remarquent le martinet pendu avec évidence qui attire leur regard comme un aimant toujours... et lorsque MaitresseM est là, elle explique avec moult détails à qui il est destiné et la dernière raclée administrée du style "pas plus tard qu'hier...". Pour illustrer ses propos, la plupart du temps elle exige que G se mette entièrement nu et montre les marques du fouet... y compris à des inconnus, comme preuve de ses dires. Et pour couronner le tout, G doit publiquement remercier M et exprimer sa « vraie" satisfaction à être fouetté "pour son bien et pour ses fautes" avant de se rhabiller . Plus humiliant et honteux pour G il n'y a pas et quelle réputation à l'extérieur !
LES BONS RESULTATS OBTENUS PAR LE MARTINET MAISON:
Un dimanche en fin d'après-midi, G reçoit une méchante fouettée au martinet de correction "maison" de 80 sévères coups pour ne pas avoir pu honorer MaitressM d’un sexe assez raide et dur lorsqu’elle a voulu se satisfaire dessus:
Une cravache de dressage d’équitation semi-rigide d’1m10 à 1m25 pour un maniement aisé et des résultats admirables bien enveloppants
Pour un homme "toujours aux ordres" avant et après le fouet ! et pour un résultat "qui laisse des traces" ! :
sur les bons effets et les excellents résultats obtenus de cette correction de 50 coups dont la maîtresse qui sait y faire est manifestement adroite . Cette cravache redoutable et extrêmement efficace fait très mal et G la craint beaucoup, autant que le martinet de correction mais elle cingle véritablement plus ! C'est un fouet idéal pour les corrections d'exception les plus sévères à la maison que prodigue M pour les fautes les plus graves et qu'elle manie à toute volée sans répit et de plus en plus fort jusqu'à la fin de la correction pour amener G non pas au bord des larmes, mais à une erection bien tendue à chaque fois (ce qu'elle recherche véritablement d'autant que G n’a pas le droit de bouger !), G le reconnait humblement ! G à toujours droit à une correction à ce régime spécial avec ce fouet pour bien marquer qu'elle n'est pas sortie du placard pour rien !
Sitôt que M décroche cette cravache ou même seulement donne l'ordre de la lui apporter G a déjà peur mais se montre très excité par une erection bien tendue et se montre tout servile prêt à obéir à tout à accepter n'importe quoi car il sait que la méchante fouettée qu’il va recevoir , M adore voir ça et abuse de l'instant avec délectation ! Avant même que ses fesses goûtent à la première cinglée, les seuls sifflements aigus caractéristiques de ce fouet réduisent G à l'état de victime totalement soumise à sa maîtresse inflexible qui de toutes façons déjà s'excite à l'idée de le corriger très sévèrement. Comme pour le martinet, G est fouetté au sang à chaque fois et méchamment marqué pour plus de quinze jours et jusqu'à 1 mois de longues et fines traces visibles ! Essayez là vite à la maison elle va vous enchanter pour les excellents et immédiats résultats que vous allez obtenir sur votre soumis !
Un fouet à lanière unique pas trop long pour un usage précis. Le fouet à brin unique est traditionnellement associé à la dominatrice et fait peur. Il faut en tirer profit ! la simple vue du fouet et la simple menace d’en faire usage doivent transformer votre mari en doux agneau à votre botte sitôt qu’il y aura goûté au moins une fois ! Pour G, il n’y en a pas (encore...), c’est le martinet de correction qui fait le bonheur de Madame et plus facile à utiliser partout où il convient.
Des badines badines fines mais lourdes, très souples, toujours fraîchement cueillies. Préférez les longues tiges fines de noisetier des nouvelles pousses (lourdeur et souplesse), et mieux encore, le forsythia est absolument idéal : très souple et lourd pour bien envelopper. Les fines tiges de bambou restant très souples sont intéressantes. N’hésitez pas à tester les modèles pour obtenir les meilleurs résultats souhaités il y a beaucoup de différence quant à l’efficacité’. !
A JONCOUS, lieu de villégiature et de repose de MaitresseM, dans la Montagne Noire, il y en a toujours 3 ou 4 de prêtes que G doit rafraîchir et changer « le kit » une fois par semaine pour conserver une bonne souplesse. G doit aussi en lier 3 ensemble pour en faire « un birch » . G a souvent droit aux badines pour les petites fautes commises.
Une canne longue et souple. Il n’y en a pas à JONCOUS et MaitresseM utilise les badines du jardin qui s'en rapprochent.
Des orties, beaucoup d’orties jeunes et fraîchement cueillies ! Un grand nombre de variétés existent, et seules certaines qu’il faut apprendre à reconnaître vous apporteront entière satisfaction. Certaines sont très méchantes et brûlantes d’autres « bien trop gentillettes »
Il faut choisir l’ortie courte, cueillie jeune d’une hauteur de 25 à 30 cm environ. Choisir les variétés dont les feuilles sont en « v » bien rigides et plutôt épaisses (et non plates, larges et molles comme de nombreuses variétés) avec des tiges rigides presque autant que des petites baguettes, de préférence veinées de rouge et sombres. Il y a aussi une variété avec de grosses tiges formant des tubes et dont les feuilles sont très rigides, épaisses, bien en "v" et couvertes de gros poils urticants partout au dessous et sur la tige que l’on trouve quelquefois sur les berges des ruisseaux, une variété redoutable qui brûle la peau.Vérifiez la présence de nombreux « poils » sur la tige et le dessous des feuilles. Plus ils sont nombreux grands et drus et plus votre kit va être efficace et véritablement méchant !
Le terrain sur lesquelles elles poussent semble également modifier leurs vertus cuisantes. C'est tout un art de trouver les bonnes zones de pousse qui peuvent être très limitées. Généralement vous trouverez ces redoutables orties sur les zones de décomposition végétales, les fumiers anciens, des décharges et au bord des ruisseau par endroits etc.. Une chose est certaine : si vous trouvez les bonnes variétés brûlantes et méchantes, un pantalon ne suffira pas à vous protéger les jambes, alors imaginez l'effet sur les fesses et le sexe de votre soumis ! Résultats garantis ! Une bonne fessée aux orties brûlantes prépare à merveille votre soumis à une volée au fouet par dessus pour achever la correction qui va se faire sentir au moins 48 heures.
A JONCOUS, G à la charge de récolter les méchantes orties et de bien les préparer pour que MaitresseM ne se pique pas les mains en les lui administrant. La plupart du temps cela commence par une sévère fessée aux orties sur le sexe et le gland bien décalotté pour provoquer une erection et jusqu'à ce que le gland et la queue soient sévèrement piqués d'orties partout (points rouges partout voire petites traces de sang !) et finissent par doubler de diamètre. Ensuite les fesses et le sillon qui les sépare sont fessées jusqu'à être couvertes de piqûres.
Dès le mois d’avril, lors des séjours à JONCOUS, G est chargé de récolter tous les jours trois jolis bouquets d’orties méchantes que MaitresseM place dans un vase en cas de besoin. En principe, G a droit à déguster une fessée aux orties sur le sexe avant chaque correction au fouet sauf si M est très énervée contre lui et ne veut pas attendre un instant pour le fouetter tout de suite.
Un banc de punition pour attacher votre soumis et l’immobiliser durant les corrections pour ne pas perdre en efficacité et pouvoir achever la punition sans qu’il ne puisse se débattre ou esquiver le fouet et en retarder ainsi les bons effets attendus. A JONCOUS, le banc est fait d’un tronc de bois monté sur quatre pieds métalliques, plus haut derrière et plus bas devant, avec des sangles d’attache aux chevilles, genoux hanche, poignets. Indispensable, pour les corrections longues . Le soumis à la tête en bas et les fesses en l’air, bien exposées .
Egalement,la grande table de bois de la terrasse est mise à contribution. G doit y monter dessus et se mettre à genoux. Maîtresse M attache ses deux coudes dans le dos à la barre d'écartement, fabriquée avec un manche à balai. Sur ce manche à balai deux crochetsronds ont été posés aux deux extrémités et un crochet rond au centre de la barre. Les deux coudes sont serrés avec un lien au crochet rond du milieu. Bien entendu, G a été prenablement équipé d'un collier à mousqueton, deux bracelets à mousqueton aux poignets et de Chevillère à mousqueton aux chevilles. Les deux bracelets à mousquetons sont reliés aux crochets fixés aux extrémités de la barre. G se met ensuite en position de prosternation de manière à ce que sa tete soit dans le vide, a l'une des extrémités de la table, le mousqueton de son collier est alors attaché au crocher rond fixé sur le côté de l'extrémité de la table, une cordelette est ensuite reliée à l'une des chevillères, puis elle le passe dans les deux crochets fixés aux deux extrémités de la barre pour revenir être attachée à l'autre chevillère . Afin d'écarter au maximum les fesses de G, celui-ci doit relever ses pieds et ses tibias pour rester sur ses genoux. La cordelette est alors tirée au maximum entre la barre et les chevillères. Lorsque G repose ses pieds sur la table, il est obligé de se cambrer énormément, ce qui le fait s'écarter au maximum pour recevoir le martinet ou le fouet non seulement sur les fesses mais aussi sur ses parties les plus intimes
Bien entendu, l’entière nudité de G et son erection sont de règle quel que soit le temps et l’humeur . Aucun bijou, aucune sandale, aucune chose qui pourrait masquer la nudité n’est autorisée . G doit être nu même en présence de l’employée de maison qui est complice de sa maitresse et qui n’hésite pas à fouetter G même si elle n’en a pas reçu l’ordre .
Pour que G se voit rappeler en permanence sa condition de soumis, MaîtresseM utilise des pinces métalliques à galets (pour maintenir les nappes de table) qu’elle pose tout au bout des tétons de G ainsi que sur le frein de son sexe . Cet équipement permet à G de sentir le triangle de douleur mélée d’excitation qui lui rappelle sa condition de soumis . Il porte ces pinces toute la journée et les sent se balancer lors de la marche ou lors de ses activités dans le jardin . A intervalles réguliers, MaîtresseM les lui enlève pour rétablir la circulation sanguine . Elle en profite alors pour les triturer pour augmenter l’érection qui est rendue elle aussi par des dents de Kali à dents acérées, posées juste sous le gland du sexe .