G découvre l’éducation anglaise.
Cet été là, G tout juste majeur avait été envoyé en Angleterre pour renforcer son anglais. Il devait en effet passer son bac l’année d’après, et les résultats n’avaient pas été à la hauteur des attentes de sa mère.
Celle-ci avait donc décidé de l’envoyer prendre des cours particuliers d’anglais, en qualité de garçon au pair chez une dame d’une cinquantaine d’années qui était professeur de français en Angleterre, et plus exactement à Aylesbury . Elle avait réussi à avoir cette adresse par le biais de la lectrice d’anglais du lycée dans lequel G suivait les cours.
A l’époque, il avait fallu que G prenne l’avion de Toulouse à Londres Gatwick Il avait ensuite pris le train jusqu’à AYLESBURY où l’attendait. Madame Jennifer Wilson. sa maison était située à l’extérieur de la petite ville, dans une allée très champêtre, au milieu d’un grand terrain arboré et entouré d’une grande haie. G ce présenta au portail et activa à la sonnette.
Il attendit quelques minutes que Madame Wilson vienne lui ouvrir. Elle lui fit un accueil très chaleureux, lui parlant d’abord en français pour lui expliquer comment allait se dérouler les cours et sa vie de garçon au pair.
« Bonjour G, je suis ravie de vous rencontrer. Venez donc, entrez dans la maison.
G suivit Mme WILSON jusqu’à l’intérieur de la maison et posa ses bagages dans le couloir. Madame WILSON l’invita à le suivre, dans le salon ou l’attendait, une petite collation et tous deux S’assirent pour converser au sujet des cours de soutien et de l’activité de G.
« Le programme est très simple, dit-elle, le matin je fais cours de 8h30 à 12h30 avec une pause à 10h. L’après-midi sera consacrée à l’entretien de la maison et du jardin. Je me permets de vous avertir que j’applique toujours pour bien faire rentrer la matière dans la mémoire de mes élèves. Les châtiments corporels à l’anglaise. Ainsi toute faute sera notée et sanctionnée; vous aurez le choix, dans l’instrument de la sanction qui pourra être soit cinq coups de canne par faute, soit 10 coups de martinet, soit deux coups de fouet. La punition interviendra tous les soirs dans la petite salle réservée à cet effet, vous devrez vous y présenter à 17h3 . Acceptez vous qu’il en soit ainsi ? Demanda t elle . « Oui Madame, je l’accepte bien volontiers » répondit G, quand même un peu surpris de cette façon d’enseigner » « Je vous prie de m’appeler Mistress JENNY de manière systématique, s’il vous plait » rajouta Mme WILSON .
la première journée fut consacrée à la visite de la maison et au début de l’entretien courant. Le lendemain commencèrent les cours. Il y avait une petite pièce réservée avec un grand tableau noir. Deux petites tables d’élèves et un petit bureau sur une estrade pour la maîtresse . G s’installa l’un des petits bureaux d’élèves et Madame Wilson prit place sur le bureau de l’estrade
Au fur et à mesure que le cours se déroulait que ce soit par écrit ou de manière verbale Madame Wilson notait les fautes, surtout la diphtongue « th » que G prononçait systématiquement Zeu . À la fin de la journée, G avait accumulé pas moins de 30 fautes, soit de prononciation, soit de version soit de thème. Après un repas de midi pris dans la cuisine, un peu de ménage et de nettoyage de la maison et du jardin, Mme Wilson dit à G que c’était l’heure de la punition et l’invita à le suivre dans la salle de gymnastique pour la recevoir. Quand il furent dans la salle, Madame Wilson invita G à se pencher sur le chevalet qui y était installé, de manière appliquer les la punition.
« Que choisissez-vous demanda-t-elle, la cane, le martinet ou le fouet ? » « Je voudrais recevoir le martinet » répondit G . « Très bien, vous vous allez donc recevoir pour 30 fautes, 10 coups de martinet, par faute, soit 300 coups. »
Elle revint aussitôt avec le martinet qu’elle était allée récupérer dans le placard de la salle de gymnastique; C’était un martinet à longues lanières de cuir avec des petits nœuds. Jenny commença par une série de 100 coups appliqués sur le bermuda . Elle demanda âgé de se redresser après la première série de sang. Le faite de recevoir le martinet avait excité G au plus haut, point, ce que remarqua madame Wilson, par le renflement de l’entrejambe du bermuda de G.
« Je vois que vous vous aimez ça, dit-elle Désignant le gonflement de devant son bermuda. Ce serait peut-être mieux de recevoir la série suivante de 100 si vous en êtes d’accord, le bermuda baissé «
G acquiesça .
« Très bien, reprit Mme, Wilson. Veuillez baisser votre bermuda, je vous prie » .
Bien qu’il ne portât ni slip ni caleçon sous son bermuda, G s’exécuta et une fois, le bermuda baissé, apparut son sexe tendu à l’extrême par l’excitation.
« Ah oui, dit la maîtresse, vous êtes bien excité. Allez reprenez la position. On va appliquer la deuxième série de 100 coups, et effectivement elle appliqua consciencieusement, en appuyant, les 100 coups de martinet, sur les fesses qui étaient devenues rouge vif .
« Redressez vous maintenant, G, que je voie si la punition vous fait toujours autant d’effet »
G obtempéra ; son sexe avait encore grossi et était encore plus tendu qu’il ne l’avait lors de la première séance .
« Je vois que vous êtes toujours aussi tendu et excité, constata Mme WILSON, je pense que ça serait encore mieux pour vous, si vous ne portiez aucun vêtement, pour recevoir la dernière série de cent, si vous êtes d’accord, bien entendu. »
G répondit qu’il était d’accord.
« Très bien, dit madame Wilson, je vous prie de vouloir bien ôter tous vos vêtements, de les plier et de les poser sur la chaise voisine «
Docilement, G s’exécuta pour se retrouver entièrement nu devant Mme WILSON, tentant de cacher de ses mains, son sexe en érection .
« Inutile de dissimuler votre bel appareil tendu, dit la maîtresse, je veux profiter du spectacle complètement . Veuillez mettre vos mains derrière votre tête pour que je puisse vous admirer . »
Et effectivement, Mme WILSON balaya G du regard, de haut en bas, s’arrêtant avec insistance sur la verge érigée qu’elle effleura du bout des doigts .
« Veuillez vous en position maintenant sur le chevalet. » ordonna t elle .
Ce que fit G, montant à califourchon et posant son ventre sur l’appareil . Mme WILSON l’immobilisa avec des bracelets et des chevilleres relies par des mousquetons aux anneaux installés au bas des quatre pieds du chevalet ; elle passa ensuite sa main sous le ventre de G, attrapa son sexe turgescent à pleine main pour le dégager vers l’arrière .
« Vous voilà bien installé et offert G, dit elle, ainsi installé vous allez recevoir le martinet non seulement sur les fesses mais aussi sur votre sexe bien tendu et bien exposé aux lanières . Je vais frapper encore plus fort que la précédente série, prévint elle « .
Les fesses rouges vif de G étaient bien offertes pour continuer la punition . Mme WILSON les caressa en rond pour accentuer le plaisir de G qui transparaissait dans la grosseur et la raideur de sa verge, gonflée par le plaisir, et au bout de laquelle suintait abondamment du liquide pré-séminal .
« Je vois que vous mouillez bien, dit elle, . Pour les cent derniers coups je vais vous demander de les compter à voix haute . Aucun cri ne sera toléré et si vous veniez à crier, je me verrais contrainte de reprendre la séance de martinet à zéro , avertit elle « « Vous pouvez y aller Maitresse, j’accepte bien volontiers d’être puni de la façon que vous souhaitez » répondit G .
Mme WILSON reprit la flagellation de plus belle en appuyant ses coups, tantôt sur la fesse droite, tantôt sur la fesse gauche . Au 5ème coup, elle frappa le sexe de G dans son entier, lequel ne put retenir un petit cri d surprise mélée de douleur .
« Ah, dit Mme WILSON, je suis contrainte de revenir à zéro; allez on reprend »
Et d’appliquer de plus belle les coups de martinet, en visant vicieusement le sexe de G, de temps en temps , pour le faire crier . G n’avait pas compté, mais la dernière séance de punition était plus près de 300 que de 100 coups de martinet . Mme WILSON détacha G et le fit descendre du chevalet, ce qu’il fit en se frottant les fesses qui étaient devenues écarlates et très dures . Mme WILSON lui avait littéralement tanné la peau . Des petits gouttes de sang perlaient le long des stries rouges qui ornaient les fesses de G . On voyait très bien qu’il avait été fouetté à l’envi par la maitresse . G était toujours terriblement excité par cette punition et Mme Wilson, l’envoya se doucher .
« Allez-vous doucher maintenant, lui intima-t-elle et revenez dans la salle, car il va falloir que vous me remerciez pour la punition. »
G obtempéra et alla se doucher dans la salle d’eau voisine puis revint dans la salle de gym où l’attendait Mme Wilson.
« G, je vous prie de vous mettre à genoux devant moi s’il vous plaît, « dit-elle, ce que fit G immédiatement. Son sexe était toujours aussi tendu .
Mme Wilson, qui était assise sur le fauteuil semis à son tour, à genoux dessus, appuyée sur le dossier, ses fesses dirigées vers le visage de G. Elle souleva sa jupe bleue pour laisser apparaître une petite culotte blanche, de laquelle débordaient des fesses d’une blancheur virginale. Elle baissa sa culotte puis cambra son dos, pour que ses fesses s’écartent légèrement, laissant apparaître un petit œillet rose pale .
« Pour me remercier, dit elle, vous allez devoir me lécher jusqu’à me faire jouir et vous allez me lécher mon petit œillet .
G s’exécuta avec application et délectation, commençant par apposer ses lèvres pour déposer sur l’œillet de Mme WILSON une série de doux baisers qui la firent glousser bruyamment . Puis il lécha le petit œillet avec tout autant d’application et de délectation, humant avec plaisir le doux parfum poivré et musqué qui se dégageait de l’endroit où il passait sa langue . Mme WILSON était proche de la jouissance . Elle manifestait son plaisir en poussant des petits cris à chaque coup de langue . Elle avait attrapé à deux mains la tête de G pour maintenir sa langue en place entre ses deux fesses .