C'est
sur le coup de neuf
heures
que Dany sonne à ma porte, pour me dire qu'elle m'attend en bas.
Nous partons pour le Cantal. Dany a une coccinelle bleu clair,
qui date tout de même un peu, qui ne roule pas très vite et qui est
un peu bruyante, bref une coccinelle.
Nous
parlons de tout, de théâtre bien sûr, mais aussi de
littérature.
Au
bout d'une heure, alors que nous longeons la Vienne, le
sujet de discussion arrive sur la masturbation. Je sais qu’elle
aime se masturber, mais,
à
ma grande surprise, elle accepte d’aller
plus loin sur le sujet. Elle
m’avoue
se masturber
régulièrement, souvent en pensant à moi, qu'elle se masturbe le
soir, dans son lit, avant de s'endormir, le matin parfois, mais même
aussi dans la journée, par exemple quand elle va aux toilettes. Elle
aime
se
bricoler
le clitoris et quand elle a un orgasme, elle pisse de bonheur.
La
route se passe bien, nous passons devant de très jolis paysages,
comme à
bort
les
orgues, où,
depuis la route, on peut voir les tuyaux d'orgues,
qui sont en fait un bouchon de lave, qui est sorti de terre. C'est
vraiment magnifique.
Finalement,
nous arrivons à destination. Là, nous sommes attendus par le
président, de l'association de théâtre amateur du patelin. La
présidente de l'association, de Saint-Martin-le-Beau, est
déjà présente et comme nous arrivons sur le coup de midi et demi,
nous nous retrouvons au restaurant pour casser la croûte.
Après
le repas, la présidente nous emmène au
gite,
où nous pouvons déposer nos affaires, puis nous retournons à la
salle, où il y aura le
spectacle du
lendemain l’après-midi et du soir,
pour répéter.
Étant
présent, je me vois confier la gestion de la lumière, réellement
rien de compliqué.
Le
soir, petit repas avec les deux troupes amateur, ensuite,
tout le monde au lit pour
être en forme le lendemain.
Nous
nous retrouvons dans notre chambre de bonne heure, il n’est pas
vingt-trois heures. Sans laisser le temps à Dany de se déshabiller,
je la prends dans mes
bras et l’embrasse. Ensuite, très vite, mes mains explorent ce
corps encore emballé de tissu divers et variés.
-
J’avoue que je suis fatiguée, la route a été éprouvante.
M’annonce
la belle dans un souffle.
Finalement,
nous nous déshabillons
et nous nous glissons sous les draps.
En
guise de berceuse, ma compagne me branle, et comme j’ai une
érection splendide très vite, elle en profite pour venir me
chevaucher.
Je
dois être fatigué aussi, car j’ai du mal à tenir la distance, et
très vite, je remplis le vagin de
e
cassée en deux, c'est très sympa. Bon repas le midi, visiblement,
il faut que les acteurs aient le ventre bien plein. On traîne à
table, puis direction la salle de spectacles.
La
représentation de l'après-midi, qui commence à seize
heures,
est
très sympa. Après, il
y a un
petit débriefing et
on
prend un pot. Puis, finalement, on se retrouve tous au restaurant,
invités
par la commune.
Après
le repas, sur le coup de vingt-et-une
heures, c'est la deuxième représentation de la journée, qui
se termine aux
alentours
de vingt-trois
heures trente.
Ensuite,
nous
allons tous au camping, nous
passons au gite pour prendre un gilet, car la nuit est fraîche et on
finit la soirée, devant un feu de camp avec guitare et chants.
Sur
le coup de deux
heures
du matin, tout le monde va se coucher.
Dany
et moi, nous retournons
dans le gîte. Quand elle se déshabille, je la caresse, ne lui
laissant pas vraiment le temps de se déshabiller totalement.
Je
suis toujours en train de jouer avec son corps. Toutes
ses agapes durent
un bon
petit
moment. Puis, nous finissons tout de même au lit. Là, elle me
demande de m’étendre :
-
Allonge-toi
et ferme
les yeux, mon Chéri.
Ensuite,
elle vient me faire une pipe en se mettant à
genoux
à côté du lit. Finalement, quand
j’ai une belle érection, bien droite, elle
vient s'emballer sur ma queue.
Je
malaxe ses gros nichons
avec bonheur
et la baise ardemment.
La
belle roule des hanches et fait en sorte que mon
gland aille visiter tous les petits recoins de son vagin. Très
vite, elle commence à râler, d’abord doucement, et
après,
de plus en plus fort.
Comme
je jouis, elle jouit en même temps que moi et comme d'habitude, elle
pisse de joie.
Dormir
finalement, avec cette
sensation de dormir dans la baignoire.
Le
lendemain
matin, dès le réveil, nous remettons le couvert.
J‘adore
faire crier ma compagne, et j’aime le matin, car j’ai
l’impression que sa chatte est plus serrée.
De
plus, nous
pataugeons joyeusement dans les draps mouillés. Et
cela, si ça excite la jolie
blonde, ça commence aussi à m’exciter.
Comme
j’ai ma pine bien enfichée dans ce con serré, j’ordonne alors :
-
Allez,
ma pisseuse, branle-toi comme une gamine.
Il
semble que ces mots touchent Dany, et elle se met à s’astiquer
frénétiquement le démarreur d’amour,
en respirant fort de plus en plus vite.
-
T’aimes
ça, te vautrer
dans ta pisse, hein salope !
-
Oui…
Je
suis une grosse cochonne…
S’il
est rare que je la traite de salope, je sens, aux contractions de son
vagin, que mes mots portent et bientôt, dans une
longue plainte, elle jouit.
Pour
ma part, je ne tiens pas plus longtemps que ça, et lui inonde la
matrice dans un grognement
digne
d’un grizzli.
Ensuite,
nous nous retrouvons
pour le petit déjeune, et, pour finir, chacun
se sépare et nous prenons la route pour rentrer.
Lors
du retour, nous discutons de
sexe. Je cherche à en savoir toujours plus, sur la vie de ma bonne
amie.
Et, à
un
moment, Dany m'explique, je ne sais plus à quelle occasion, qu'elle
a vécu un truc assez difficile. Je ne saurais
jamais, si c'était son mari ou
un de ses amants. Elle
était allongée sur le dos, l'homme assis sur sa poitrine, les
genoux sur ses biceps, à
lui donner des gifles
avec sa bite.
Elle
en avait gardé un très, très mauvais souvenir.
En
montant la Vienne, nous repassons à
Chauvigny. Cet endroit-là me
rappelle ce que nous avons fait dans l’abbatiale.
Finalement,
nous arrivons à Tours.
Elle me dépose en bas de chez moi et
je lui
propose de venir boire un café. Elle accepte et dans l'appartement,
je lui fais l'amour un peu bestialement,
en la prenant sur la table de la cuisine, la jupe relevée, avec ses
bas qui
glissent.
C'est
un
bonheur, mais malheureusement, elle ne peut pas rester plus
longtemps, donc
elle prend congé.
Mais
elle ne repart pas, sans un petit quelque chose de chaud, dans le
ventre.
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