Par
une
belle matinée d'été, je reçois un coup de fil de Dany.
Elle
me dit qu'elle sera libre, pour faire une petite promenade,
l'après-midi même.
En
début d'après-midi, je rends
le petit chemin et passe
devant chez elle avec ma petite voiture et avance
quelques centaines de mètres, jusqu'à un petit croisement des
chemins de terre. Bientôt, la belle apparaît
au loin,
se rapproche et
me
rejoint
Nous
faisons
quelques pas, jusqu'à
une zone plus
boisée. Finalement, nous nous asseyons dans une sorte de petite
clairière. Nous
sommes à moins
de cinq mètres
du Cher, mais caché du chemin de terre, qui passe un peu pus loin,
et invisible depuis l’autre rive, car des branches bien pourvues
en feuilles,
nous font de l’ombre.
La
belle est
vêtue d'une robe, qui
se boutonne devant,
et les petites chaussures, en
cuir,
d'été, les jambes nues et très vite, je m'aperçois, qu'elle n'a
pas de soutien-gorge non plus.
Après
s'être tendrement embrassé, je dégage ses
seins
en déboutonnant sa petite robe. Quand
la robe est totalement ouverte, je descends
pour embrasser son ventre. Ensuite
sa
chatte, je passe ma langue dans toute la vulve,
jusqu’à passer
ma langue sur son anus.
À
ce moment-là,
elle me repousse et
me dit :
-
Ah non, pas ça…
Alors,
évitant
les explications,
je reviens sur la vulve, m'attarde bien longuement
sur le clitoris, et,
enfin,
plonge ma
langue dans
son vagin.
La
belle prend ma tête entre ses mains, la
maintient quelques instants contre son bas-ventre et, finalement,
m’oblige à revenir à son niveau. Là, nous nous
embrassons longuement.
Je
sens sa main dans mon short, moi non plus, je n'ai pas de caleçon.
Elle
me caresse puis, me repoussant légèrement, elle plonge sa tête, à
son tour, vers mon pubis. Là, elle happe mon sexe et me
suce la queue, comme
elle sait si bien faire.
Quand
je bande, plus que de nature, je m'allonge sur le dos et demande à
ma complice de venir s'empaler sur ma pine.
Elle
vient, place
les pieds à la hauteur de mes hanches et s’assoit
sur
ma queue, prenant appuie
avec ses mains, sur ma poitrine. Elle monte et
descend sur ma queue, à
son rythme,
et très vite, elle jouit bruyamment.
Comme
tout à chaque fois, quand elle a un
orgasme, elle me pisse sur la bite
et son urine coule sur mon ventre, sur mes hanches et entre mes
fesses. Une fois qu'elle reprend son souffle, parce que l'orgasme a
été violent, sauvage et inattendu, elle replonge sa tête sur ma
queue, me suce et me branle en même temps.
L'idée,
qu'elle suce ma bite
qui sent sa chatte et sa pisse, m'excite au plus haut point.
Et assez vite j’éjacule
en
lui tenant la tête fermement sur ma queue, pour qu'elle n'en perde
pas
une goutte.
Elle
avale, foutre en levant les yeux vers moi et en me regardant. Ce
regard, je m'en souviendrai toute ma vie. Ensuite,
elle se jette littéralement sur ma bouche pour un long baiser aux
saveurs si particulières.
Après,
nous décidons de faire quelque pas.
Sa robe à la main et moi, retirant
mon t-shirt,
je
le prends, avec mon
short, à la main. Et nous nous promenons tout nu, à l'exception de
nos chaussures, le long du Cher. Pas très loin de chez elle, disons
pas
plus
d’un
kilomètre.
Nous
revenons jusqu'à
la hauteur de ma voiture.
Là,
Dany
se
rhabille, moi, je remets mon short et mon t-shirt. Nous nous
embrassons encore longuement, puis elle me dit qu'il faut qu'elle
rentre,
elle a encore pas mal de choses à faire cet après-midi. Je la
regarde partir puis, monte
en voiture
et rentre chez moi.
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