Dany
faisait partie d'une troupe de théâtre amateur. Elle
répétait
tous les mardis
après-midi,
dans une salle avec une estrade, à Saint-Martin-le-Beau, derrière
la mairie.
Quand
elle me l'a annoncé,
ça me permit
d'avoir une deuxième journée pour
la voir. Donc,
je m'y rendais toutes
les
semaines.
C'est
aussi là, que je l’ai vu, pour la première fois, avec une
cravache. Une cravache, courte, rigide, terminé par une petite main
en cuir, dont on se doute instantanément, qu’elle n’est pas
faite pour l’équitation !
Un
mardi, après la répétition, elle vient m’expliquer
qu'elle doit passer chez la présidente de l'association. Moi,
du moment que ça nous laisse du temps pour être ensuite tous les
deux, je n’y vois aucun inconvénient.
Nous
nous rendrons chez cette charmante dame.
C'est
également une
bourgeoise, très bien logée, belle demeure, avec
un intérieur vraiment très sympa. Nous prenons un café, discutons
un peu, et là j'apprends qu'il y a une représentation annuelle,
dans
une petite ville du Cantal, dans
le cadre d’un échange culturel.
En
ressortant, Dany
me demande si je peux l'accompagner. N'ayant
rien d'autre à faire, c'est avec grand plaisir que j’accepte
cette invitation.
Ensuite,
nous
repartons, chacun dans sa voiture.
Nous allons près
de
chez elle, il y a un petit terrain de camping sur
les bords du cher, à
environs cinq cents mètres de sa propriété. Nous
nous
garons près de l’entrée du camping, où il y a une aire de jeux
pour les enfants.
Nous
allons au bord de la rivière, et je la prends dans mes bras, mais
elle me repousse doucement :
-
Non,
ici on peut nous voir depuis la route, allons plus loin.
Nous
reprenons notre promenade, qui nous mène juste
à côté de la petite baraque qui vend normalement des friandises et
des boissons. Bien entendu, c'est fermé à clef. Je reprends la
belle dans mes bras et l’embrasse.
Cette
fois-ci, elle ne
me repousse pas, bien au contraire, et caresse mon sexe à travers le
tissu de
mon jean.
-
Si
tu savais combien j’avais envie de toi, sur les planches !
-
Tu
aurais voulu qu’on fasse l’amour sur l’estrade ?
-
Mais
non ! Grand fou, j’avais une folle envie de faire l’amour,
quand je répétais !
-
Ha !
Dommage, faire l’amour sur les planches, ça avait un petit côté
sympa, mais je ne suis pas cabot.
-
C'est
malin ! Mais j’avais vraiment une folle
envie de toi !
-
Surtout
que tu as encore oublié ta culotte !
Et,
tout en disant cela, je passe ma main sous sa jupe, et flatte cet
abricot bien mûr, qui est tout chaud. Ce soir, il y a une légère
fraîcheur, rien de vraiment froid, tout juste de quoi faire durcir
les tétons.
Dany
se cambre, les épaules
contre le bois de la petite baraque, offrant ainsi son sexe à mes
caresses.
J’en
profite, de ma main libre, pour ouvrir la veste et dégrafer
son chemisier.
Elle
arrête ses caresses pour faire glisser vers le bas son
soutien-gorge, qui, celui-ci, s’ouvre de façon classique, dans le
dos.
Je
plonge ma tête sur sa poitrine et viens sucer ses lourdes mamelles,
pinçant légèrement ses tétons, à tour de rôle, entre mes
lèvres. Puis,
je m’agenouille et viens lécher tendrement ce fruit mûr, odorant
et si doux.
-
J’ai
envie de te
baiser là, tout debout.
-
Oui…
me répond-elle dans un souffle.
Je
bande copieusement, et les caresses de la blonde n’ont rien arrangé
à l’affaire. Aussi, je
me relève et
retourne ma compagne pour qu’elle appuie ses mains contre le mur en
bois, relève,
haut
sur ses reins, sa jupe et descends
prestement mon jean. Ensuite,
je
viens
envahir cette douce chatte lisse, avec ma bite raide et chaude.
En
très peu de temps, la belle gémit, puis commence à parler :
-
Oh
oui ! C'est trop bon… Continue…
J’aime
ça, Chéri…
L’endroit
est insolite, et la baise assez sauvage, mais je
maîtrise tout de même et attends que ma compagne commence
réellement à jouir.
Bientôt,
c'est le signal que j’attendais, elle pisse, mais cette fois, non
plus sur mon ventre, mais sur ma queue et l’urine coule ensuite le
long de mes jambes et des siennes aussi, mouillant ainsi ses bas.
Le
contraste entre ce liquide chaud qui coule et la température un peu
fraîche est tel, que j’ai du mal à me retenir, et après quelques
secondes de soubresauts
et de tremblement de jambes de Dany, je jouis à mon tour et lui
inonde le vagin.
Nous
restons quelques instants ainsi, collés
l’un à l’autre, debout, les bas mouillés, et très certainement
mon jean aussi.
Puis, elle se redresse doucement, et je me retire de son sexe.
-
C’était
très bon, je ne m’attendais pas à tant de plaisir.
-
Le
plaisir est partagé, mais tu as dû t’en rendre compte !
-
Oui…
mais j’ai encore les bas tout mouillés, il va falloir que
j’invente encore une histoire !
-
Tu
diras que tu as eu une envie trop pressante, et que tu as eu peur
quand quelqu'un est passé pas loin de toi.
-
Oui…
et toi, tu vas rentrer chez toi, mais cette fois, c'est toi qui auras
un peu de moi sur ta peau.
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