Pour
une fois, Dany est libre le soir. Sur le coup de vingt
heures,
je passe à côté du moulin sur le Cher et la récupère. Après
s'être largement embrassé et tripoté,
la belle me dit qu'elle irait bien prendre un pot à Amboise, parce
qu'elle aime beaucoup cette ville.
Pour
nous rendre Amboise, il faut traverser une forêt, mais la distance
est une grosse dizaine de kilomètres, pas plus. En quelques minutes,
nous voici garé, sur le parking des bords de Loire, à Amboise.
Là,
nous allons à pied, jusqu'à la vieille ville et prenons une
terrasse, au pied du majestueux château.
Ma
dulcinée
est habillée plus simplement que d'habitude, une robe d'été,
au-dessus du genou, une
chasuble légère
et une sorte de châle, en crochet sur ses épaules. Un tout petit
sac à main, dans lequel elle n'a guère plus, que ses cigarettes et
son briquet.
Nous
discutons tranquillement de la pièce de théâtre, dans laquelle
elle joue, et elle m'apprend que l'association théâtrale fait, tous
les ans, une représentation dans le Cantal. Dans une petite ville,
c'est une sorte d'échange culturel entre communes.
Elle
me demande si je veux bien l'accompagner, ce que j'accepte avec son
grand joie.
Le
temps est clément, la température est douce et la soirée avance
tranquillement. La discussion avec Dany est toujours intéressante,
riche, humoristique, donc le temps passe très facilement.
Bientôt
la dame m'annonce, qu'il faut quand même qu'elle pense à rentrer.
Faire une petite promenade pour aller fumer sa clope, dans les
alentours, sur les bords du Cher, ne peut pas prendre, non plus,
toute la nuit.
Aussi,
nous repartons, reprenons la voiture et traversons les bois.
Là,
me vient une idée et j'annonce à Dany :
-
J'ai
très envie de te lécher la chatte.
Elle
minaude un peu, puis m'avoue :
-
Moi
aussi, j'ai très envie de toi. De
tes caresses et de ta bouche.
Je
ralentis, cherchant un petit chemin sur le côté. Quand je trouve
une sorte de petit parking, pour deux
voitures au maximum, sur le bas-côté, je m'y arrête. Je descends
de la voiture, en
fais le tour et viens ouvrir la portière
côté
passager, pour aider Dany à sortir de ma petite voiture.
Dès
qu'elle est debout, on s'embrasse fougueusement. Mes mains cherchent
ses seins, les siennes cherchent
mon sexe. Très
vite,
je délègue
une main pour aller flatter sa chatte, que je sais libre de tout
vêtement.
Je
m'arrange pour qu'elle se retrouve penchée en avant, les mains sur
le siège, alors que la portière est grande
ouverte.
À
ce moment-là,
je lui remonte la robe et, m’accroupissant,
je
viens commencer à lécher sa chatte. Pour
une fois, j’en profite pour passer ma langue aussi sur son anus.
Comme
d'habitude, sa chatte est odorante et le goût est fort plaisant.
Elle
gémit doucement, rompant
le silence de la nuit qui nous habille à cette heure.
J'en
profite alors
pour lui demander :
-
Tu
aimes ça, te faire bouffer la chatte, hein
ma cochonne ?
Elle
tortille
du cul et étouffe un petit :
-
Oui…
-
J'adore
bouffer ton cul !
Elle
semble accepter, elle
gémit de plus en plus fort.
Jusqu’en
faire taire un hibou qui hululait alors.
J'en
profite pour lui dégager ses gros seins et, oh !
Surprise !
Elle ne porte pas de soutien-gorge, sous sa robe à bretelles. Je
malaxe joyeusement les deux gros pamplemousses
roses,
puis j'entends :
-
J'ai
envie de ta
queue.
Je
ne me fais pas prier, j'ouvre ma braguette
et défai
le bouton de mon jean, qui me tombe sur les chevilles rapidement. Et
comme moi non plus je ne porte pas de sous-vêtement, je me retrouve
la pine à l’air.
Comme
à son habitude, la belle ne porte pas de culotte, c'est donc sans
aucune difficulté, que je guide mon sexe, contre sa vulve, déjà
bien lubrifiée par ma salive.
Et là, d'un coup de rein, j'enfonce ma bite
au fond de son con gluant.
Je commence à limer, quand des phares approchent.
Dany
semble s'en inquiéter et me dit dans un murmure :
-
Il
y a quelqu'un qui arrive.
-
Aurais-tu
peur d'être reconnue ?
-
Non,
mais c'est la première fois que je baise au bord de la route !
-
Il
y a un début à tout…
Et
moi, je
n'ai
pas du tout envie, de me retirer de
ce coin de paradis, où ma queue batifole
si sauvagement.
Finalement,
il semble que la présence de ce véhicule qui approche, excite
encore plus Danny. Elle
commence à s'envoyer en l'air, en couinant
encore plus joyeusement.
Je
lime comme un démon, emporter
par l’envoûtement du moment et de l’endroit.
Mais à ce rythme-là, je ne peux contenir mon plaisir très
longtemps.
-
Je
crois que je vais jouir, que je lui annonce nerveusement.
-
Oui,
je veux te sentir en moi... Je
veux ton jus d’homme.
Dans
un grand râle,
alors que la voiture est
à notre hauteur, je
jouis, la bite
plantée dans le sexe de ma compagne, qui est plié en deux à
travers la portière ouverte, les mains sur le siège.
Elle
me dit, après
que nous ayons tous deux repris notre souffle,
d’une voix douce où perce une sorte de nostalgie :
-
Il
faut que je rentre, je ne suis pas en avance et
je me finirai en pensant à toi, ce soir, dans
mon lit,
avec tout ton amour en moi.
J’aide
mon amie à se redresser, sa robe retombe naturellement, alors que
moi, je suis contraint de
me
baisser pour remonter mon pantalon. Une fois rhabillé, nous nous
embrassons encore fougueusement, avant que je ne contourne
ma petite voiture et que nous repartions.
Nous
parlons de sexe, et je ne suis pas totalement content, la belle
semble n’avoir pas joui.
-
Ça
va ? j’ai l’impression que ce n’était pas ça pour toi ?
-
Si,
j’ai eu du plaisir, mais pas d’orgasme, je ne sais pas, une sorte
de crainte, je me suis retenue.
-
Je
n’ai pas été à la hauteur alors ce soir !
-
Si,
c'est vraiment moi qui n’arrivais
pas à jouir, baiser ainsi, est
trop nouveau pour moi !
-
Ha
bon ! Tes amants ne t’ont jamais pris comme ça, à la
hussarde, sur le bord d’une route !
-
Non,
et puis tu sais, j’ai été longtemps marié sans tromper
mon mari.
Je
n’en saurai pas plus pour ce soir. Mais je suis étonné qu’elle
ne se soit pas plus souvent, prit des amants, surtout qu’elle
a dû être une très jolie femme.
Nous
arrivons bientôt au bout du petit chemin qui mène à sa propriété.
Je
la dépose sans
couper le moteur. Encore
quelques gros baisers et
elle me souffle dans l’oreille :
-
Je
vais me caresser longuement ce soir, avec un peu de
toi en moi… Pense à moi aussi, s'il te plaît.
Je
promets,
puis je la vois partir, alors
je
fais demi-tour et rentre chez moi, comblé.
p { margin-bottom: 0.25cm; direction: ltr; line-height: 115%; text-align: left; orphans: 2; widows: 2; background: transparent }a:link { color: #000080; so-language: zxx; text-decoration: underline }tt.western { font-family: "Liberation Mono", monospace }tt.cjk { font-family: "Nimbus Mono L", monospace }tt.ctl { font-family: "Liberation Mono", monospace }
|