Ce
jeudi matin là, je descends chercher le courrier, quand je tombe sur
le propriétaire de mon appartement, qui m'annonce joyeusement que
des ouvriers vont venir changer mon chauffe-eau, dans la matinée. Ça
ne m'arrange pas du tout que ce soit un jeudi, puisque le jeudi, est
le jour du
passage de Dany.
Un
peu plus tard, sur le coup de neuf
heures trente,
je reçois un coup de fil de Dany,
qui m'annonce qu'elle viendra bien, mais
qu'elle a la garde de sa petite fille. Sa fille est en entrée à
l'hôpital, pour des examens, donc elle viendra avec un bébé.
À
peine une demi-heure plus tard, deux
bonhommes
se présentent
à ma porte, pour venir changer le chauffe-eau. Je les accueille et
je les laisse bosser dans la cuisine. Moi, je passe à mon bureau,
dans le salon, pour aller sur mon ordinateur.
Comme
régulièrement
entre dix
heures trente et onze heures, arrive
Dany, mais cette fois, elle arrive avec un couffin et sa petite
fille, de quelques mois seulement.
Comme
régulièrement,
la belle Dany a été faire ses courses et apporte de quoi déjeuner,
mais la première chose qu'elle tient à faire, c'est de faire
réchauffer un biberon, pour le donner à sa petite fille.
Une
fois que
le bébé est contenté et changé,
nous arrivons tranquillement vers midi, Quand
un des
deux ouvriers frappe à la porte du salon. Il
m'annonce qu’ils
partent
déjeuner et qu'ils
reviendront vers treize
heures trente.
Très bien, j'en prends note.
Nous
laissons le bébé dans son couffin
sur le canapé, la porte entre le salon et la cuisine ouverte.
Nous
passons à la cuisine préparer le repas.
J'en
profite pour embrasser ma
bien-aimée.
Elle
est vêtue d’une
jupe de bonne coupe et d’un
chemisier vieux rose, assez transparent. En dessous, on peut voir,
voir plus que deviner, la dentelle d'un soutien-gorge, joliment
ouvragé.
J'embrasse
et caresse Dany, comme d'habitude, elle n'a pas de culotte, mais
des bas avec un
porte-jarretelles. Puis, je lui propose de se mettre à l'aise et de
retirer son soutien-gorge, ce qu'elle fait.
Nous
déjeunons assez
rapidement, d’un
poisson, de légumes et d’un
petit dessert sympa. Mais
c'est d’autre chose dont nous avons réellement la fringale. Il
est à peine treize
heures, quand nous
passons au salon prendre le café. Le bébé dort du sommeil du
juste.
J'embrasse
la miss,
commence à lui
caresser la chatte, tant
et si
bien, qu'elle me demande d'aller dans la
chambre. Nous nous y rendons donc, tout en laissant les deux portes,
de communication avec le salon, ouvertes.
Très
vite, elle retire sa jupe et son chemisier et se jette pratiquement
sur moi.
Je
suis habillé d'un simple jean et d'une chemisette, que je quitte
très vite aussi.
Nous
nous retrouvons
au lit. Je l’embrasse
en parcourant tout son corps, avec mes mains, pendant
quelques instants.
Puis,
elle me demande :
-
J’ai très envie de ton sexe dans ma chatte en feu.
Une
fois de plus, je me mets sur le dos,
la bite déjà en érection.
La
belle femme mûre se met sur ses genoux et prend en bouche l’objet
de son désir. Elle me pompe
pas très longtemps, car j’ai peur de jouir tout de suite, aussi,
je l’en informe :
-
C'est
trop bon ! Mais j’ai peur de partir très vite !
Alors,
sans rien dire, elle
vient me chevaucher, accroupie,
la vulve juste
au-dessus de ma queue dressée. Elle
prend
ma queue en main et la positionne pour qu’elle soit à l’entrée
de son vagin. Là,
elle se laisse tomber, pour s’empaler d’un coup, en poussant un
grand "ouf".
Après
quelques aller-retours, je lui ordonne :
-
Caresse-toi
le clitoris...
Comme
si elle n’attendait que mon ordre, elle se met à s’astiquer
copieusement le démarreur, mais là non plus, ça ne dure pas très
longtemps ! Elle a alors un orgasme violent, ressert ses genoux
contre mes
flancs, se crispe et finit par me pisser dessus. Ça
devient une habitude !
Je
suis heureux et fier d’avoir amené
à cette femme, qui pourrait être ma mère, un tel plaisir. Cela
dit, moi, je reste sur ma faim, on remettra ça plus tard, pour moi,
l’important est son plaisir avant tout.
Il
n’est
pas tout à fait quatorze
heures, quand un coup de sonnette retentit. Je me lève et enfile mon
peignoir.
La
belle reste allongée, à me regarder.
Je
vais
ouvrir la porte d’entrée
pour accueillir les ouvriers qui reviennent de déjeuner. Ils
me
regardent
avec un drôle d'air, mais peu importe. Je sors de la cuisine et
referme
la porte du
salon. Ensuite, je
retourne auprès de Dany que je retrouve sur le dos, en train de
se masturber. Je me mets
sur
le bord
du
matelas et lui présente mon sexe, encore
tout
mouillé de son urine et de sa cyprine mêlée.
Elle
me prend en bouche et me suce.
Je
lui signale à nouveau :
-
Tu
suces
comme une déesse, tu vas me faire jouir !
Dany
acquiesce d’un petit grognement et continue à me sucer et me
branler en même temps, jusqu'à
me faire jouir.
Elle
aspire mon jus de couilles et le boit
avec délectation, jusqu’à la dernière goutte.
Visiblement, cette femme adore le foutre !
Je
suis maintenant au septième ciel, ça se bouscule dans ma tête, une
belle femme, qui
pisse tellement elle jouit et qui boit
ma semence avec un réel
plaisir ! Sans parler de ce plaisir trouble de savoir qu’elle
suce ma queue gluante de cyprine, ça je connaissais déjà, mais en
plus, mouillée de son urine, ça, c'est très nouveau.
Nous
restons sans rien dire un petit moment. Tout au plus, je sens ses
mains caresser mes fesses, mes flancs. Quand je redescends sur terre,
je m’allonge à côté d’elle, et viens l’embrasser.
-
J’aime
les hommes qui embrassent encore, même après avoir juté
dans la bouche de leur partenaire.
-
Oui,
et de toute façon, il n’y a rien de sale ! Ce
sont
des gosses !
Nous
rions, puis
je lui propose d'aller prendre le
café dans
le salon.
Se
remettant en configuration
mamie, elle me répond :
-
Oui,
je ne voudrais pas laisser ma petite
fille
seule trop longtemps, même si elle dort.
Dans
le salon, elle reste la chatte à l'air, mais passe son chemisier
pour
couvrir sa poitrine nue.
J'ouvre
la porte de la cuisine et je vais faire les
cafés,
toujours en peignoir.
Les
deux mecs me
regardent
et regardent
cette femme blonde, mûre, qu’ils
imaginent
habillée.
Je
reviens avec les deux
cafés, que
nous buvons tranquillement, en nous regardons.
Le
couffin
est
sur
le
canapé, tout près du mur. Moi, je suis à côté et Dany et de
l'autre côté du canapé. Je n'ai pas fermé complètement la porte
du salon, et d'un coup, une tête apparaît
dans l’entrebâillement.
C'est
un des
ouvriers qui
vient
me demander s’il peut déplacer le robinet de gaz, de quelques
centimètres. Et je
vois bien qu’il profite
pour regarder en
détail
cette belle
femme blonde, aux
seins
lourds,
qui sont libres sous un chemisier transparent. Et
les bas semblent le subjuguer, car l’homme s’en aperçoit malgré
que Dany soit assise.
Elle
aussi le sait, elle adore s’exhiber, et surtout jeter le trouble
dans l’esprit
des messieurs. Aurait-elle une revanche à prendre ?
Je
me lève et
vais voir l'implantation du robinet, donne mon accord et
reviens
dans le salon. Cette fois, j'ai laissé complètement la porte
ouverte. L’ambiance
m’électrise et me redonne de la vigueur. J'ouvre
mon peignoir et offre mon sexe à sucer à Dany.
Celle-ci
ne se fait pas briller et happe
mon membre
qu'elle branle en même temps qu'elle le suce. La pipe est géniale.
-
Viens-vite,
j’ai
encore très envie, on retourne au lit ?
Je
ferme la porte entre le salon et la cuisine.
Dany
vérifie que le bébé dort profondément.
J'ouvre
la porte qui donne dans le couloir, vers la chambre, puis
la porte de la chambre elle-même.
Nous laissons les portes ouvertes et nous nous retrouvons au lit.
Là,
c'est un soixante-neuf
endiablé,
avant
que Dany ne décide d'inverser les
choses et passe au-dessus
de moi.
Elle
se masturbe en même temps que je lui lèche
l’abricot et qu’elle dégouline.
Jusqu'à
ce moment,
je ne
sais pas si c'est là cyprine ou d'urine qui
suinte de
ça chatte bouillante. En tout cas, ça n'a pas du tout l'odeur
d'urine. Et
puis,
parti comme c'est parti, on ne s’arrête pas à ce genre de détail.
Enfin,
elle saute littéralement
sur ma queue et s’y empale. Dès qu’elle a ma bite bien
en elle, elle commence à couiner en
même temps qu’elle monte et descend sur mon membre. Ses
gémissements sont de
plus en plus fort, jusqu’à crier
quand elle a un orgasme.
Après
ça, quand
elle a repris ses esprits, elle
m'annonce qu'elle a une grande soif.
J'enfile
mon peignoir et retourne dans la cuisine chercher une bouteille
d'eau. J'en profite pour demander aux ouvriers si tout se passe bien,
a priori aucun souci, donc je retourne dans la chambre. Je
vois du coin de l’œil
que les
deux ouvriers ont
un sourire complice et
qu’ils ont
très bien compris ce qui se passe dans la chambre.
Comme
souvent, Dany
n'a pas toute l'après-midi. Elle
repart sur le coup de quinze heures trente.
Aujourd'hui,
j’en profite de ce qu’elle se rhabille, pour lui demander :
-
J’aimerais
que tu ne mettes pas ton soutien-gorge, que tu sortes
de chez moi, les seins libres sous ton chemisier bien transparent,
c'est possible ?
-
D’accord.
-
J’aime
quand tu exhibes
ton beau
corps !
-
Tu
es un vilain flatteur !
-
Non,
la beauté dépend de chacun, et moi, je te trouve très belle.
La
blonde rougit et termine de se vêtir.
Il semble que ce petit jeu l’excite. Et, après un très long
baiser passionné, elle repart
comme ça, le couffin dans une main, son panier avec sa veste, dans
l'autre, jusqu'à sa voiture.
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