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Lors
de la deuxième venue de Dany, à mon appartement, à Tours Centre,
je vois
arriver une femme avec un nouveau tailleur. Des bas couleur chair,
des escarpins, qui me semblent être nouveaux également
et un chapeau. Seules
les lunettes sont les mêmes,
que
la première fois, ces fameuses lunettes
cerclées
d'or.
Dès
qu’elle est
entrée dans l'appartement, je la prends dans mes bras et l'embrasse
presque
amoureusement, comme un collégien avec sa première petite amie. Je
lui roule une pelle, qui
dure plus
d'une minute.
À
la fin, en
haletant, elle
me dit :
-
Tu
ne me laisses
même pas le temps de respirer !
Ça
fait une semaine que je fantasme sur cette femme, une semaine qu'elle
est passée. Il a fallu que j'attende ce nouveau jeudi, quand elle
peut sortir faire ses courses, pour la recevoir.
En
fait, elle est passée faire ses courses, très rapidement,
m'explique-t-elle, puis elle est venue pour déjeuner avec moi.
Certainement,
en espérant bien, que l'après-midi serait avec
une
sieste très crapuleuse.
Je
commence à sortir les petites emplettes
qu'elle a faites
pour nous deux. Un beau
morceau
de viande à
griller,
des pommes de terre sautées congelées, une petite entrée et une
mangue
pour le
dessert.
Mais,
avant de nous lancer dans la préparation de ces mets, je
propose à Dany de venir prendre l'apéritif dans le salon. Dès
qu'elle est dans la
pièce,
je ne
lui laisse pas le temps de s'asseoir, que déjà, je l'embrasse en
la prenant dans
mes bras. Le
baiser est fougueux et l’envie largement partagée. Je
laisse ma main droite explorer un
peu les
dessous de la belle, notamment
sous la jupe. J’y
découvre
un porte-jarretelles, quelle
joie ! Et en allant plus loin, je m’aperçois
que ma charmante visiteuse ne porte pas de culotte, j’en suis plus
que ravie.
Reprenant
un peu notre souffle, c'est maintenant elle qui recommence un nouveau
baiser, tout aussi passionné,
comme pour que je continue mon exploration. Sous
la veste, un
chemisier avec un soutien-gorge et de gros seins lourds.
Je
sens sa main qui caresse mon sexe,
comme pour se rendre compte que je suis bien en érection. La caresse
est douce, mais érotisant
à
outrance !
Chez
moi, il y a une femme mûre,
avec des bas, pas de culotte, et qui a visiblement une grosse envie !
J'explore
donc sous cette
veste et je défais les boutons du chemisier, pour mettre à jour les
seins
volumineux
et lourds. Comme souvent, j'ai
un mal fou à défaire
le
soutien-gorge.
L’agrafe
n'est
finalement pas derrière, mais entre les deux seins. Une fois que
j'ai trouvé le truc, je libère les deux belles mamelles et les
embrasse goulûment.
La
belle se
laisse faire, les bras ballants et je l'aide à
asseoir sur le canapé. Là, une fois qu’elle est installée, je me
mets
à genoux devant le sofa et commence à explorer, à nouveau, sous
cette jolie jupe de tailleur.
Elle
m’aide, quand je cherche à remonter la jupe, pour mettre à l’air
son sexe, que je sais maintenant nu.
Quand
je découvre le sexe, je jubile d’autant plus qu’il
est lisse, pas un poil, j’adore ! j’avance ma tête et
commence par déposer
un chaste baiser sur ces lèvres. Avec mes mains, je pétris ses
seins, je les malaxe, les tripote avec bonheur. Puis, ma langue va
plus loin et entrouvre les grandes lèvres. Alors,
je
commence à lécher cette douce vulve qui sent si bon.
La
belle se cambre pour me permettre d’aller plus loin dans son
ventre. Elle respire fort, donnant quelques signes de plaisir à
venir.
Déjà,
j’ai lapé toute la cyprine qu’elle produit et qui était sur la
vulve.
Et
maintenant, je plonge ma langue dans ce vagin si gentiment offert.
Cette
fois, j’ai plus de réactions.
La
blonde soupir de plus en plus fort. Elle
projette
son bassin au bord du canapé. Bientôt, ses mains emprisonnent ma
tête et la plaque sur son sexe.
Je
fouille son vagin aussi loin qu’il m’est possible. Quand je sens
qu’elle est prête
à exploser, je lui pince les tétons, doucement, mais fermement,
et plus elle gémit fort, plus je sers ses tétons.
Il
y a gros à parier que la belle avait une grosse envie de plaisir, et
quand l’orgasme arrive, elle se lâche totalement, libérant un
petit flot de cyprine tiède, que je bois aussitôt, de toute façon,
nous en sommes à l’apéro !
À
présent, je pince vigoureusement les bouts des nichons de ma
partenaire. Cela semble amplifier son orgasme, il faudra que je
vérifie plus tard. Je n'ai plus
qu'une
idée en tête, c'est de
faire
jouir Dany.
La
belle
est secouée de convulsion et elle crie
son bonheur. Si elle simule, c'est une sacrée comédienne,
elle mérite un César. Effectivement
la femme se pâme,
elle a
les
yeux mi-clos jusqu'à l'instant où elle
se
met à trembler. Là,
elle me regarde les yeux grands ouverts et m'annonce :
-
Je
jouis ! Je jouis mon chéri !
Je
ressors ma langue et prends un peu de recul pour la regarder jouir,
je relâche aussi la pression sur ses tétons. Et enfin, je la laisse
redescendre du pays des plaisirs. Je suis très fier de moi et
continue des caresses, bien plus douces,
le temps qu'elle reprenne son souffle.
Quand
elle a repris son souffle, elle m'annonce :
-
Ça
fait des années que je n'ai pas joui autant ! J'ai eu un
orgasme terrible, mais c'était terriblement bon.
Quand
Dany
a repris son souffle, je
ne veux
pas profiter de la situation tout de suite. Je l'aide alors
à
retirer sa veste, son chemisier. Son
soutien-gorge étant déjà tombé.
J’aime
voir ses gros seins
libres. Ensuite,
je
m’occupe à retirer
sa jupe, avec
son concourt d’ailleurs.
Et
voici cette femme nue, à part ses bas et son porte-jarretelles, chez
moi. Là,
elle me dit :
-
Ça fait un bien fou !
-
À moi aussi ma belle.
-
Tu as de drôles d’apéritifs, toi !
-
Du moment qu’ils te plaisent…
-
Ho que oui !
Et
nous rions. Je me mets nue également et nous passons à la cuisine
pour la
suite,
je lui
propose toutefois mon peignoir, mais dans un premier temps, elle
le refuse. Elle
semble heureuse d’être
presque nue, et d’être
admirée.
Nous
prenons le repas, je cuisine avec les mets que la belle a achetés
et fais le service. À la fin, c'est elle qui coupe en deux la
mangue,
la
prépare en
l’entaillant et
en retournant la peau.
Après
ces agapes, nous retournons dans le salon pour y prendre le
café. La
divine
me caresse doucement
et finalement, je lui propose d'aller dans la chambre où nous serons
mieux pour faire une petite sieste. Bientôt, nous sommes dans la
chambre à coucher dans mon lit, qui est fait d'un matelas posé au
sol. Je l'aide à s'allonger, en lui tenant la main.
Dès
que je suis allongé, elle vient se coller
à moi et m'embrasse à
n’en
plus finir.
Sa
peau est douce et s’ajoute à la douceur de ses jambes gainées de
soie. Car cette fois la belle a mis des bas en soie.
On
se roule
une
grosse
pelle. J'en profite pour lui
peloter les mamelles, puis,
de deux doigts habiles,
je
fouille sa grotte intime, qui
est de nouveau trempée.
C'est
à ce moment, que les yeux mi-clos, elle m'annonce :
-
J'ai envie de ton sexe en moi.
Je
m'allonge alors sur le dos et l’aide à venir s’empaler sur ma
queue raide.
Sa
chatte est chaude et douce, pas trop serrée. Et très vite, je vais
au fond de son vagin, je sens que je tape contre le col de l'utérus.
Je lui malaxe ses gros seins, pendant qu'elle monte et descend sur ma
pine. Puis, une voix douce, je lui dis :
-
Caresse-toi ton joli clitoris.
La
belle s'exécute et se bricole le bouton d’amour, durant
quelques minutes. Quand d'un coup, elle pousse un grand cri, qui
finit en une longue plainte. À nouveau, ses cuisses tremblent. Cette
fois, je sens un liquide chaud qui se répand sur mes couilles, entre
mes fesses et sur mon ventre. La belle pisse de plaisir !
C'est
la première fois que j'ai cette expérience. C'est très
déconcertant, mais également érotisant et elle n'est pas
désagréable.
Ma
belle partenaire continue avoir des soubresauts et des tremblements
de jambes. Visiblement, elle a un orgasme fort et intense.
Il
ne faut pas longtemps, pour qu’à mon tour, je jouisse dans un râle
d’ours qui vient de trouver un pot
de miel. Le plaisir est très fort aussi pour moi.
En
gardant ma queue dans son vagin, elle s'écroule en avant
sur moi et
vient, à nouveau, m'embrasser.
Elle
me susurre ensuite à l’oreille :
-
Je
n’ai pas joui comme ça, depuis des lustres !
-
Ça
m’a fait vraiment plaisir, que ce soit avec moi.
-
Je
suis désolée, c’était trop fort, je n’ai pas pu me retenir…
-
C'est
pas grave, on va changer les draps et on n’en parlera plus.
-
Je
vais les laver chez moi.
-
C'est
gentil ça ! Merci ma belle.
Nous
restons allongés
avec son
urine,
non odorante, sur mon ventre.
Elle
semble beaucoup aimer, être ainsi étendue
sur mon ventre et mouillée par sa propre pisse. Elle reste là,
comme ça, jusqu’à ce que ma bite, dégonfle et ressorte de son
vagin.
Après
quelques minutes à se reposer, je lui propose un café et nous nous
relevons. Nous
changeons les draps et la belle Dany
reste
comme ça, pratiquement nue,
mais repue.
Quel
plaisir de prendre un café avec une jolie blonde mûre en
porte-jarretelles à mes côtés !
Mais,
malheureusement, Dany doit repartir, et je la regarde se rhabiller
avec délectation.
Quand
elle est sur le
palier, je ne peux m’empêcher de l’embrasser encore
vigoureusement en lui caressant la chatte d’une main experte.
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