Ce
soir-là, Agnès et moi étions dans mon appartement, nous
attendions mon pote Bruno et son frère, bon pote de java, Denis.
Rien de prévu vraiment, mais l’assurance de passer une bonne
soirée, pas forcément cul, mais bonne tout de même ! Vers
dix-huit
heures, ça sonne, et je déverrouille la porte du bas.
Mon
F2 était assez petit, au deuxième sans ascenseur, avec un escalier
en colimaçon
pour y accéder. Un petit palier avec deux appartements.
Quand on entrait, on tombait tout de suite dans la cuisine, assez
petite, mansardée, avec un grand Velux au-dessus de l’évier,
contre le mur de droite, le
chauffe-eau, et à côté, le frigo. Au milieu de la pièce, une
petite table en formica pour y
manger
à quatre.
En
rentrant dans
la pièce,
sur la gauche,
la porte donne sur le salon, lui aussi mansardé
et assez petit. Sous le velux du
salon, se trouve mon grand bureau noir et, l’ordinateur, en face,
un clic-clac trois places
et une caisse en plastique retournée,
masquée
par une nappe, pour servir de table basse. À
gauche du
canapé, un
petit couloir d'à
peine deux mètres de long, qui donne accès, première porte à
droite, la salle de bain et les toilettes. Porte du fond, la chambre,
la plus grande pièce, avec
mon lit deux places et le lit deux
places
pour mes enfants.
Bruno
et Denis arrivent avec une certaine Marie-Pierre, jolie femme au
demeurant, un peu plus âgé, dans les quarante-cinq
ans, brune
aux cheveux courts
et je ne saurai que plus
tard,
que Denis la
baiser toute l'après-midi et rempli totalement de foutre.
Marie-Pierre
est vêtue
d’un joli tailleur jupe, sûrement de bas avec des escarpins à
talons fins. Une
sacrée cochonne aussi, peut-être un peu compliqué à cerner, mais
très sympa.
Cette
femme a vécu dans une
communauté hippie,
drogue sexe et liberté, où baiser n’importe où, avec n’importe
qui et n’importe quand, était de mise. Aujourd’hui, sans
enfants, elle cherchait un mec qui tienne la route et était tombé
amoureuse de Denis, de plus de quinze ans son cadet, duquel, elle
acceptait tout, sans rechigner.
Moi,
je connaissais
déjà Marie-Pierre,
Denis
me l’ayant prêtée,
quelques mois auparavant. Moyen
pour lui, de me prouver, que lui aussi avait des salopes qui lui
obéissaient, sûrement, un petit esprit de compétition.
J’avais
pu la baiser et l’enculer, et la faire sucer après, mais pas
rester passer la nuit avec moi. En fait, elle le faisait pour faire
plaisir à Denis, ça je ne le sus
que le lendemain.
Aux
premiers
regards,
les deux femmes se sont plu, visiblement. Il
faut dire qu’Agnès
a eu pas mal de relations
avec les femmes. Si elle a pris de la bite
en pagaille,
elle s’est
aussi fait
bouffer
de la chatte à outrance. Elle a même vécu avec une femme, à une
époque. Elle en a gardé un côté très bisexuel.
Une
fois les présentations faites, nous allons au salon, choisir ce que
nous allons faire.
Denis
propose d'aller au Gambrinus,
un bar à bière réputé, surtout très sympa. Nous voici donc
parti, à deux voitures, au Gambrinus,
qui n'est pas très très loin de l'appartement. Nous
nous garons à deux
pas.
Pour
accéder au bar, il faut monter cinq
ou six
marches, ouvrir une grande double porte vitrée et on tombe dans une
première salle, avec le bar et pléthore de bière pression, ainsi
qu’une exposition de bières
en bouteille, essentiellement des bières belges, puisque le patron
est un mordu de ces
boissons.
En passant le long du bar, on accède à une deuxième salle, un peu
plus sympa, plus intimiste, où il y a aussi un billard et au fond,
les toilettes.
Nous
choisissons une table ronde, autour de laquelle, nous nous mettons
tous les cinq. Très vite, les conversations tournent autour
du
cul. Denis
nous présente, en
détail,
Marie-Pierre, une de ses ex-copines,
qu’il
baise encore régulièrement, très gentille,
une femme qui est ouverte à plein de choses côté
sexe. Aujourd'hui,
elle fait très bourgeoise, parce qu'un bon emploi
et donc un bon salaire,
ainsi
qu’un
gros héritage, mais
elle reste une sacrée salope.
Agnès,
ne perd pas une miette de ce que dit Denis, de plus en plus
intéressée par cette jolie salope.
De
fil
en aiguille, la conversation devient de plus en plus hard. Jusqu'à
ce que j'annonce, à tout le monde, qu’Agnès
ne porte jamais de culotte. Denis
demande à Marie-Pierre de lui donner la sienne, de culotte, pour
qu'il la mette en pochette dans
la poche de sa chemisette. C'est une belle culotte
en soie, très travaillée, ourlée de dentelle.
Agnès
demande alors
à Bruno de retirer son caleçon, qui d’ailleurs,
finira
sur le bloc de
sortie
de secours. Denis aussi, retire
son caleçon et nous voici tous les cinq sans culotte, sans slip, ni
caleçon (mais
pas, sans chemise, sans pantalon !).
Après
trois bières chacun, quelques bons rires
et à faire tourner en bourrique le serveur, nous décidons de
rentrer, chaud comme la braise, à l'appartement.
Une
fois à
appartement,
installés
dans le salon, on
prend encore
quelques verres. Puis,
Agnès
commence à tripoter Marie-Pierre en lui faisant des compliments, sur
son tailleur. Finalement, les deux femmes commencent
à
se déshabiller, devant nous et à s'embrasser. Ensuite,
elles
se caressent,
très langoureusement.
Très vite, Denis, Bruno et moi, on se retrouve à poil. Le
clic-clac de trois
places, est
vite mis en
position lit.
Nous
tournons autour des deux gouines, comme des mouches autour d’un pot
de miel. Nous tripotons tout ce que nous pouvons, et les
filles se roulent des pelles, se sucent les nichons à tour de rôle,
se bricolent
le démarreur à qui mieux
mieux, bref, ça part fort !
Quand
Agnès
se décide à allonger sa nouvelle copine, nous lui laissons la
place. On continue à regarder avec passion la blonde lécher la
chatte à l’autre femme. Et cette dernière, pas égoïste, de
jouer avec les tétons de cette nouvelle conquête.
Ça
commence à sentir fort la ménagerie, Marie-Pierre s’est
relevée, a
embrassé, à
pleine
bouche, la blonde, puis, l’a basculée en arrière. Maintenant,
c'est la brune qui
bouffe
la moule
de
la blonde !
Nous
sommes tous trois en pleine érection, et Denis, franchement le mieux
monté de nous, commence à donner des signes d’impatience. Voyant
Agnès allongé et la bouche vide,
il se met à genoux
auprès du canapé, vient
coller sa bouche à l’autre bouche, et roule un fabuleux patin à
la blonde. Puis, dans un souffle, demande :
-
Tu voudrais bien me sucer, pendant que ma copine te broute ?
D’un
léger hochement de tête,
Agnès
accepte.
Denis
se redresse, et toujours à genou, offre
sa grande pine à la blonde gourmande.
Marie-Pierre
jette un œil envieux sur la bite de son jeune amant qui entre et
sort de cette bouche, qui lui a fait tant de bien, quelques instants
plutôt. Et comme elle est à quatre pattes, avec le cul bien relevé,
elle en profite pour s’astiquer le
clitoris, d’abord doucement, et ensuite, accélère.
Je
m’en aperçois, et décide d’aider cette pauvre femme, aussi, je
viens m’agenouiller à deux doigts
de ce joli cul, renifle l’endroit qui sent le propre, et sort ma
langue pour lui faire une délicate feuille de rose.
Bruno
reste un peu en arrière à se branler et à regarder ce qui se passe
sous ses yeux. Lui qui aime les petites jeunes, ces deux femelles
entre deux ages ne lui déplaisent finalement pas !
Sous
mes petits coups de langue, Marie-Pierre ondule de la croupe, elle
semble bien apprécier
mon intervention. J’en profite pour enfoncer un peu ma langue dans
son sphincter, le goût habituel d’oignon, mais pas trop fort. Par
contre, elle sent fort, de la chatte, la femme qui est pleine,
normal, vu ce qu’elle a pris
l’après-midi même !
Agnès
grogne sous les assauts de cette langue chaude qui lui visite la
grotte. Denis en
profite d’ailleurs pour lui dire :
-
Je savais que tu étais à moitié gouine, ça te fait plaisir que je
t’offre Marie-Pierre ?
-
Ho
oui ! Elle aussi, c'est une super gouine !
La
brune, sans commenter les propos qu’elle entend, grogne de plaisir
et d’acquiescement.
J’en
profite pour déclarer,
à mon pote :
-
Il a bon goût le cul de ta salope, mais elle a la chatte qui sent
fort la marée !
-
Normal, je l’ai rempli de foutre tout l’après-midi !
La
séance dure encore un peu, quand
d’un coup, Denis annonce à sa copine :
-
Bon, fini les amuse-gueules, arrête de lui bouffer le cul, et va
pomper Michel.
Je
suis
heureux de l’aubaine ! Marie-Pierre se redresse,
se retourne, me regarde avec un grand sourire, et vient me rouler une
pelle magistrale, pendant que de sa main
droite, elle me tripote la queue.
Ensuite,
elle plonge pour me prendre la bite dans sa douce et chaude bouche.
J’ai le goût de la chatte d’Agnès
dans la bouche maintenant, c'est très aphrodisiaque.
Denis
manœuvre ma salope, en la faisant mettre à quatre pattes, pour la
prendre en
levrette, une fois qu’elle est en place, il annonce :
-
Je vais te baiser, salope, mais tu vas en profiter, pour sucer mon
frangin. Puis, se tournant vers Bruno, lui dit :
-
Viens lui coller ta bite dans la bouche, qu’on se fasse une
brochette familiale !
Si
l’instant n’était pas si excitant, je me fendrais la gueule aux
conneries de Denis ! Mais là, je suis tout à ma pipe, c'est
vrai que cette vieille chienne sait pomper, comme une reine.
Pendant
qu’il baise ma salope, mon pote en profite pour tripoter le vagin
de sa copine. Et ce salaud sait comment la faire grimper aux
rideaux !
-
C’est
de la pompeuse, cette pute, hein Michel ?
-
Ha
oui ! Une pipe avec une bouche qui sent la chatte, un régal. Tu
as très bien fait
de
l’amener.
-
Ho que oui ! Ajoute
alors
Agnès,
avec la bouche pleine.
Le
tableau est excitant au possible, Bruno, dos au mur, debout
sur le côté du canapé, ouvert en lit, la bite dans la bouche
d’Agnès.
Cette dernière qui avance et recule sous les coups de bite du petit
frère ? Celui-ci, qui a aussi ses doigts dans la chatte de la
brune, trifouille là-dedans, comme
un chirurgien qui fait une liposuccion. Marie-Pierre, à quatre
pattes, qui gémit et qui me suce. Et votre serviteur, les genoux sur
le bord du sofa, la pine bien plantée dans une bonne bouche savante.
Denis
a une petite idée derrière la tête, aussi, il annonce, à sa
partenaire du moment :
-
je vais te la mettre dans le cul, alors ne sois pas surprise, et ne
mords pas Bruno.
Et
dans le même temps, il retire ses doigts du vagin détrempé,
attrape les hanches
de la blonde, retire sa queue de l’antre brûlant, et dans un geste
précis, lui fourre dans le cul, d’un coup lent, mais puissant.
Tout
son sexe entre dans les boyaux.
Agnès
grogne encore plus fort de plaisir, cette enculée adore vraiment la
sodomie.
-
Tourne-toi que je te bourre la chatte, dis-je, excité par le
spectacle, à ma coéquipière.
Dès
que j’ai le cul de Marie-Pierre sous le
nez, je lui fourre ma
queue dans la chatte, une chatte bouillante et pleine de jus, cyprine
et sirop de couilles mêlés.
J’annonce alors à mon pote :
-
Je
crois que je vais remplir le même pot que toi, mon ami !
-
Vas-y,
elle veut sa ration du mois, Michel, alors, lâche-toi bien dedans.
La
blonde est animée de soubresaut, tant elle aime cette sodomie. Elle
bouge aussi son cul de droite à gauche, pour que cet engin ami aille
bien visiter, tous les petits coins.
Tout
ça, la fatigue en plus, fait que c'est mon bon pote Bruno qui part
le premier, en annonçant à la cantonade :
-
Trop bon ! Putain, elle me fait gicler.
Agnès
n’en perd pas une goutte et avale tout le jus de burnes.
-
Putain ! Cette enculée va me faire cracher aussi ?
-
Oui !
Remplis-moi, donne-moi tout...
J’ai
bien l’impression qu’Agnès
a un bel orgasme, mais je l’ai connu parfois, plus bruyante !
Pour ma part, trop excité, je ne vais pas battre des records de
retenue, et très vite ensuite, je balance aussi la camelote en
criant !
-
Tiens,
salope, prends ça… On ne repart pas de chez moi à vide !
Marie-Pierre,
qui se bricole toujours le bouton d’amour de ses doigts experts,
crie un grand coup, puis, une fois que j’ai fini de me vider en
elle, s’écroule sur le canapé.
Nous
restons, tous, quelque temps pour reprendre notre souffle. De longues
minutes s’égrainent, sans que personne n’ose briser ce silence.
C'est
donc à moi que s’impose le moment de passer à la suite. Aussi,
pour
terminer la
soirée en beauté,
alors que nous sommes dans le canapé.
Vidés,
crevés, heureux, repus même, j’annonce à cet
aréopage :
-
On
ne sait toujours
pas laquelle de nos deux salopes est la meilleure suceuse, je
propose, qu’ellez
nous sucent tous les trois, pendant deux minutes, ensuite, nous
voterons pour choisir la meilleure pompeuse
de bites.
Les
deux salopes font une petite mou de désintérêt, mais finalement,
c'est Agnès
qui prend les devants
et entraîne sa copine, en disant :
-
Aller, au boulot, j’ai très envie de savoir, moi !
Pendant
que je remets le clic-clac en canapé, je vois les deux nanas se
rouler encore une super pelle et se tripoter. Nous trois, nous nous
installons,
assis confortablement, jambes pliées,
à attendre la suite des évènements.
Il
y a Bruno, le plus près du mur, puis Denis, au
milieu et
enfin moi, près de la porte du couloir.
C'est
Agnès
qui commence en s’agenouillant devant mon ami Bruno. Elle
a en bouche cette bite qui sent le foutre, mais qui ne bande pas
vraiment.
Je
suis la trotteuse
de ma pendule radio
pilotée, et au bout de deux minutes précisément, je dis :
-
Stop ! Passe à Denis, mais attends que Marie-Pierre soit en
position, pour reprendre, je donnerai le départ.
La
brune vient alors à son tour entre les cuisses de Bruno, prend le
sexe en main, et attend mon signal.
-
Go, les
filles.
Comme
un seul homme, les deux femelles enfournent les bites en bouche, et
commencent
le challenge.
Agnès
semble se régaler de cette queue qui a l’odeur de son trou du cul.
-
Stop, on change.
Une
fois encore, les filles se décalent et prennent les queues en main.
-
On y va…
Et
c'est reparti pour deux minutes de pompage de phallus.
Au bout du
temps imparti,
je donne l’ordre d’arrêter. Quand je vois le visage souriant de
ma copine qui me regarde, elle me dit :
-
Hum ! Elle a super bon goût, c'est le goût de la moule à
Marie-Pierre, j’adore !
Et
elle se pousse pour laisser la place à son amie, qui me prend tout
de suite en bouche, et me pompe encore pendant deux minutes.
Stop,
merci les filles, le jury va délibérer. Et pendant que les femelles
s’embrassent à nouveau, debout
au milieu de la pièce, nous échangeons nos avis :
Résultat :
Denis vote pour Agnès.
Bruno vote pour Marie-Pierre, et moi, je vote pour les deux, les
déclarant ex æquo.
Pour
se congratuler, les deux copines s’embrasse, une
fois de plus
goulûment, avec des mains qui se baladent sur tout leur corps, puis
Agnès
nous annonce brutalement :
-
On va se coucher, dans la chambre, toutes
les deux,
merci de nous laisser dormir...
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