Ce
soir-là, Agnès et moi étions dans mon appartement, durant toute
notre liaison, nous avons gardé chacun notre appartement, mais nous
ne nous quittions plus, tantôt chez l'un, tantôt chez l'autre, mais
toujours ensemble. C'est vers dix-neuf heures, que j'ai reçu un
appel d'un copain, Daniel, ancien collègue puisque j'avais été
licencié.
Ça
me faisait plaisir, comme il était seul ce soir-là, son épouse
étant partie avec les enfants en week-end, je l'ai invité à venir
dîner avec nous. Une heure plus tard, il sonnait à la porte.
Sous
la douche, j'ai demandé à Agnès d'aller ouvrir. Elle était vêtue,
comme assez souvent lorsque nous étions tranquilles à la maison,
d’un gros pull et de son caleçon qui ne lui allait pas du tout,
mais qu'elle trouvait confortable.
J'arrivais
très peu de temps après pour voir que, fidèle à son habitude, mon
ami avait apporté une bouteille de vieux whisky.
Agnès
étant gourmande de Whisky. Aussi, lors de l'apéritif, nous avons bu
entièrement, à nous trois, la bouteille offerte. Autant dire que la
glace était rompue, voire sublimée !
À
table, nous avons continué en buvant deux bonnes bouteilles de vin
rouge.
Puis
sommes revenu sur le canapé pour prendre le digestif. Agnès était
très excitée, certes l'alcool y était pour quelque chose, mais
j'avais bien vu aussi que mon pote plaisait beaucoup à ma copine,
et, comme nous avions déjà parlé librement de nos sexualités
débridées, je comprenais très bien ce qu'elle ressentait.
Nous
avons passé la soirée à rire et plaisanter, parler de cul bien sûr
aussi, et ce, jusqu'à minuit environ. C'est à ce moment-là
qu'Agnès nous a demandé d'aller en boîte. Partie, comme était
parti la soirée, je lui ai juste dit que je voulais qu'elle se
change et mette une tenue un peu plus sexy tout de même. Comme elle
avait une partie de sa garde-robe chez moi, elle mit son tailleur
vert, des bas et ses escarpins noirs.
Lorsqu'elle
revient de la chambre, je la prends par le bras et j'inspecte sa
tenue. Connaissant les goûts d'Agnès pour l'exhibition, je vérifie
qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Ce faisant, je dévoile ses
seins aux yeux de mon pote qui n’en perd pas une miette. Puis,
tranquillement, je lui remonte la jupe de son tailleur pour m'assurer
qu'elle n’a pas, non plus, de culotte. Mon pote Daniel écarquille
les yeux, et me fait une petite réflexion :
-
Tu me disais qu’Agnès était exhibitionniste, mais il me semble
que toi aussi, tu aimes l’exhiber !
-
Franchement ?… Oui !
-
Mais, vous parlez de moi !
-
Oui ! Et en plus, j’affirme que tu es une grosse salope !
-
Ha oui ! C’est vrai !
Nous
rions tous trois de bon cœur, puis, la blonde donne le top de
départ, visiblement, elle est chaude et ne veut pas perdre de temps
en palabres superflus.
Pour
nous rendre au club, Daniel propose de prendre son véhicule. Grand
seigneur, je laisse la place avant à Agnès qui s’installe, non
sans remonter sa jupe et montrer le haut de ses bas.
Mais,
filou jusqu’au bout des doigts, j’en profite alors pour la
peloter depuis ma place derrière elle. Je la sais très réceptive,
surtout si c’est en public, et surtout quand elle a un peu bu, et
là, le peu est bien loin derrière nous !
Agnès
n’est pas en reste, et, tout en plaisantant, ne se gêne pas pour
faire de bonnes avances à notre invité.
Lui,
de moins ne moins stoïque, essaye de se concentrer sur la conduite,
conscient qu’il a tout de même, trop bu, aussi.
Nous
arrivons au Zoo-station,
une boîte qui diffuse pas mal de rock, où je suis plutôt connu,
étant déjà client de l’ancienne boîte. Et où, avec ma bande de
potes, aussi déjantés que moi, on a fait pas mal de plans cul,
comme, par exemple, aller baiser des salopes derrière la boite,
sachant parfaitement que l’arrière est équipé d’un allumage
automatique, et d’une caméra !
Après
que j’ai été dire bonjour à toutes les connaissances du lieu, je
retrouve mes amis sur une banquette, une bouteille de whisky, sur la
table basse devant eux. Trois verres, qui semblent nous demander de
venir les prendre en main.
Après
un premier verre, les choses s’accélèrent
et Agnès, très vite, met sa main sur la cuisse de Daniel, puis,
comme je suis complice avec les deux, je la laisse embrasser mon
pote. Je la vois
tâter la braguette en même temps, m’est avis qu’elle cherche
quelque chose !
La
belle s’en donne à cœur joie dans cette fougueuse pelle. Elle se
contorsionne de telle façon que tout le monde peut voir le haut de
ses bas, ce qui ne va pas tarder à allumer le feu dans bien des
regards.
Daniel,
peu surpris de l’attitude de la jeune femme, qu’il sentait bien,
depuis le début de la soirée, attirée par son charme naturel, se
laisse conduire. Il comprend que rien de ce qui se passe, ne
me blesse.
Je
me lève et annonce que je vais danser, vu la petite salope qui se
trémousse, près de l’escalier de cinq marches, qui mène sur la
piste. Je n’ai pas le temps de danser longuement, que déjà Agnès
vient se coller à moi, et me roule une pelle magistrale. J’en
profite pour lui relever la jupe, de manière à ce que tout
le monde puisse en profiter.
Daniel
est à un autre sommet de cette piste triangulaire. Près du deuxième
escalier, il ne perd pas une miette du spectacle. Mais, son air me
dit qu’il est tout de même dubitatif !
-
Va voir Daniel et embrasse-le aussi, il ne comprend pas que tu as
envie des deux.
Sans
se faire plus prier, Agnès, tout en dansant et se déhanchant,
rejoint mon pote. Elle se plante devant lui, et lui saute au cou pour
l’embrasser fougueusement, à nouveau.
Une
bonne partie de la soirée, c'est déroulé ainsi, Agnès allait de
moi à Daniel et de Daniel à moi. Nous étions tous deux à sommet
du triangle de la piste, et nous laissions Agnès se faire draguer,
quand elle en avait assez, elle venait vers l'un ou l'autre pour un
câlin, une caresse ou un gros bisou.
Autant
dire, que notre petit cinéma n’est pas passé inaperçu. J’ai
même été invité à boire un verre par deux mecs ; qui me
demandaient où je pouvais bien trouver toutes les salopes ; que
j’amenais en boite ! Comme s’il y avait une supérette qui
fournissait des salopes à la demande !
Leur
expliquer que, toutes les femmes sont assez salopes, pour peu qu’on
les y invite intelligemment, qu’on les respecte, et qu’elles se
sentent en confiance… Ça, c’était visiblement en dehors de leur
champ de compréhension, eux, ils voulaient des salopes toutes
dressées et là pour leur plaisir… Ils allaient avoir du mal à en
trouver !
Nous
avons continué
notre petit jeu d’échange une bonne partie de la soirée.
Maintenant Daniel se laissait aller à exhiber Agnès, ayant compris
que le jeu l’excitait fortement.
Nous
rentrons de boîte sur le coup de cinq heures du matin, on commence
par reprendre un verre de whisky, puis je demande à ma copine de
nous faire un petit strip-tease.
Agnès
ne se fait pas prier, et commence à danser devant nous, d’une
façon encore plus lascive que tantôt. Elle est là, juste à deux
pas, on peut sentir sa transpiration mélangée à son parfum.
Je
parle à mon pote et lui explique, comme s’il en était besoin,
qu’Agnès est une vraie salope en chaleur, qu'elle adore se faire
mater, et bien plus encore.
Alors
qu’elle danse, elle entreprend de retirer la veste de son tailleur,
qu’elle n’avait pas quitté jusqu’à lors, et nous surprend en
exhibant sa fière poitrine, nue sous le vêtement.
-
Tu as
été en boîte, seins nus sous ta veste ? Et si quelqu'un
t’avait tiré
sur ta veste ?
-
Hé bien, il y aurait eu un peu de spectacle, pour les danseurs !
Elle
finit
par se retrouver en bas et escarpins, nue pour le reste. Alors, elle
se plante devant mon pote, s’accroupit,
et lui défait la braguette.
Ensuite
ma copine lui
a sorti
sa bite, une queue disproportionnée au vu de sa taille, car mon pote
mesure tout juste un métré
soixante-cinq. Puis, elle a commencé à
sucer l'énorme pieu de chair. Cette salope était une super suceuse,
bien souvent, elle me pompait
le dard et allait jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche. À
ce
moment-là, elle se pâmait
en se bricolant toute seule le clitoris, mais en cette soirée, elle
avait visiblement d'autres vues pour l'utilisation de cette grosse
bite.
Pendant
que mon pote se faisait pomper le dard, je fonçais dans la salle de
bain et y prenais le pot de crème Nivéa.
Dès mon retour, je me suis aperçu
que ma salope de copine se branlait vigoureusement de la main gauche.
Je
m’accroupis
derrière elle, ouvrais le pot de crème, m'en enduis trois doigts et
les passaient sur son cul. Sans crier gare, j'introduisis mes doigts
dans l'anus qui n'opposa pas de résistance.
Il ne fallut pas longtemps de ce traitement pour qu'Agnès s'envole
dans un concert de cris sourds. Et, échangeant un regard complice
avec mon pote, je lui dis :
-
Elle suce comme une vraie pute, non ?
-
T'as raison, c'est une vraie pro, me répondit-il.
Puis
m'adressant à ma copine, je dis encore :
-
T'as envie de te faire défoncer ta chatte, hein ma salope ?
Elle
grogna pour acquiescer
tant elle était prise par sa pipe et mes doigts, qui venaient de
s'enfoncer encore plus loin, dans son cul. J'en profitais pour
écarter mes doigts et lui distendre la rondelle. Je la fis hurler
encore quelques instants, puis, la prenant sous les aisselles, je
l'ai soulevée pour permettre à Daniel de s'allonger en travers du
canapé.
Pendant
que mon pote s'installait,
je roulais une pelle à Agnès, puis lui dit, dans un souffle :
-
Tu vois cette grosse saucisse, tu vas t'en prendre plein le cul, hein
ma salope...
-
Hum, j'ai envie,
j'ai envie,
j'ai envie,
répétait-elle d'une voix qui confirmait tout à fait son
affirmation.
Très
vite, elle est venue se mettre à califourchon sur le corps de
Daniel, a présenté la queue à l'entrée de son trou à bites, puis
s'est laissé tomber de tout son poids
sur sa
queue droite dans un grand gémissement.
Pendant
qu'elle s'empalait sur la bite raide, je suis venu me faire sucer.
J'ai sorti ma queue de mon pantalon et la lui ai présentée. En même
temps qu'elle me pompait, je lui triturais ses gros seins un peu
mous, mais si doux. Je jouais avec ses tétons, les tirant ou les
pinçant suivant ses réactions pour la calmer ou pour l'exciter plus
encore.
Peu
de temps après, Daniel a commencé à bouger pour mettre ma copine
sur le dos. Dès qu'elle fut le dos, sur le canapé. Il
l’a repris sans trop de ménagement, la limant comme un démon. Sa
queue entrait et sortait de la moule, dégoulinant de cyprine.
Je
suis venu me placer sur la gauche du canapé, me suis placé
au-dessus de la tête de ma copine et lui ai fait lécher mes
couilles. Je sentais son souffle sur la peau fine de mes burnes sans
poils. Sa langue aller des couilles à mon cul, elle ne laissait
aucun carré de chair sans salive.
Daniel,
qui commençait à être
un peu fatigué, et certainement aussi pour se retenir plus longtemps
encore, ressortit
sa grosse bite. Regarda un instant Agnès dans
les yeux, puis, d'un coup sec, lui introduisit à nouveau son bâton
de chair.
À
chaque coup de bite, ma copine criait plus fort. Visiblement, elle
s'éclatait sous les coups de boutoirs
de cette queue qui lui remplissait toute la chatte. Et Daniel
semblait s'y connaître
pour tirer le meilleur de sa grosse queue. Je n’arrêtais
pas d'insulter ma salope en la traitant de tous les noms, et elle,
dans un état second, répétait qu'elle jouissait, que c'était bon,
qu'elle en voulait encore.
J'étais
très excité
de voir ma chienne de copine en train de se faire défoncer la
chatte, par mon pote. Les grands coups de bite, avec élan, avaient
cessé,
et Daniel avait maintenant le souffle court de l'homme, qui va
inonder
sa partenaire.
Agnès
avait pris ma queue dans sa bouche et suçait la bite que je lui
présentais en appuyant à la base pour la plier, vers le bas. Quand
mon pote retira, une dernière fois, sa queue dressée en poussant
des cris de fauve, je retirais prestement mon propre sexe de la
bouche chaude et douce, de ma chienne en chaleur, qui me pompait
jusqu'à là, me dégageais de ma position, lui pris les cheveux et
la fis
s’asseoir
pour qu'elle puisse recueillir le sperme chaud dans sa bouche.
Mon
copain n’eut
pas à s'astiquer le manche très longtemps, très vite, je compris
aux petits mouvements de recul, qu'avait fait ma salope, que mon pote
venait de jouir en balançant toute sa crème, dans la bouche de
cette petite pute en chaleur. Et, à peine eut-elle fini de lécher
le gland, qui venait de la rendre si heureuse, que je lui repris les
cheveux, la tirais
à
moi, pour qu'elle me finisse aussi à la bouche. Quelques secondes
plus tard, c'était à moi de jouir dans cette bouche de bouffeuse de
foutre.
Quand
nous avons repris notre souffle, tous autant que nous
étions, je me suis adressé à ma copine :
-
Hé
bien ma salope, je crois que tu t'es régalée, là, non ?
Il
commençait à vraiment être tôt, on ne peut plus dire tard à
pareille heure, Daniel est reparti chez lui, visiblement très
content, et nous, nous sommes partis nous coucher, pour dormir, car
nous commencions vraiment, à en avoir besoin.
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