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    1997 Agnes, soiree avec Daniel

    Ce soir-là, Agnès et moi étions dans mon appartement, durant toute notre liaison, nous avons gardé chacun notre appartement, mais nous ne nous quittions plus, tantôt chez l'un, tantôt chez l'autre, mais toujours ensemble. C'est vers dix-neuf heures, que j'ai reçu un appel d'un copain, Daniel, ancien collègue puisque j'avais été licencié.

    Ça me faisait plaisir, comme il était seul ce soir-là, son épouse étant partie avec les enfants en week-end, je l'ai invité à venir dîner avec nous. Une heure plus tard, il sonnait à la porte.

    Sous la douche, j'ai demandé à Agnès d'aller ouvrir. Elle était vêtue, comme assez souvent lorsque nous étions tranquilles à la maison, d’un gros pull et de son caleçon qui ne lui allait pas du tout, mais qu'elle trouvait confortable.

    J'arrivais très peu de temps après pour voir que, fidèle à son habitude, mon ami avait apporté une bouteille de vieux whisky.

    Agnès étant gourmande de Whisky. Aussi, lors de l'apéritif, nous avons bu entièrement, à nous trois, la bouteille offerte. Autant dire que la glace était rompue, voire sublimée !

    À table, nous avons continué en buvant deux bonnes bouteilles de vin rouge.

    Puis sommes revenu sur le canapé pour prendre le digestif. Agnès était très excitée, certes l'alcool y était pour quelque chose, mais j'avais bien vu aussi que mon pote plaisait beaucoup à ma copine, et, comme nous avions déjà parlé librement de nos sexualités débridées, je comprenais très bien ce qu'elle ressentait.

    Nous avons passé la soirée à rire et plaisanter, parler de cul bien sûr aussi, et ce, jusqu'à minuit environ. C'est à ce moment-là qu'Agnès nous a demandé d'aller en boîte. Partie, comme était parti la soirée, je lui ai juste dit que je voulais qu'elle se change et mette une tenue un peu plus sexy tout de même. Comme elle avait une partie de sa garde-robe chez moi, elle mit son tailleur vert, des bas et ses escarpins noirs.

    Lorsqu'elle revient de la chambre, je la prends par le bras et j'inspecte sa tenue. Connaissant les goûts d'Agnès pour l'exhibition, je vérifie qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Ce faisant, je dévoile ses seins aux yeux de mon pote qui n’en perd pas une miette. Puis, tranquillement, je lui remonte la jupe de son tailleur pour m'assurer qu'elle n’a pas, non plus, de culotte. Mon pote Daniel écarquille les yeux, et me fait une petite réflexion :

    - Tu me disais qu’Agnès était exhibitionniste, mais il me semble que toi aussi, tu aimes l’exhiber !

    - Franchement ?… Oui !

    - Mais, vous parlez de moi !

    - Oui ! Et en plus, j’affirme que tu es une grosse salope !

    - Ha oui ! C’est vrai !

    Nous rions tous trois de bon cœur, puis, la blonde donne le top de départ, visiblement, elle est chaude et ne veut pas perdre de temps en palabres superflus.

    Pour nous rendre au club, Daniel propose de prendre son véhicule. Grand seigneur, je laisse la place avant à Agnès qui s’installe, non sans remonter sa jupe et montrer le haut de ses bas.

    Mais, filou jusqu’au bout des doigts, j’en profite alors pour la peloter depuis ma place derrière elle. Je la sais très réceptive, surtout si c’est en public, et surtout quand elle a un peu bu, et là, le peu est bien loin derrière nous !

    Agnès n’est pas en reste, et, tout en plaisantant, ne se gêne pas pour faire de bonnes avances à notre invité.

    Lui, de moins ne moins stoïque, essaye de se concentrer sur la conduite, conscient qu’il a tout de même, trop bu, aussi.

    Nous arrivons au Zoo-station, une boîte qui diffuse pas mal de rock, où je suis plutôt connu, étant déjà client de l’ancienne boîte. Et où, avec ma bande de potes, aussi déjantés que moi, on a fait pas mal de plans cul, comme, par exemple, aller baiser des salopes derrière la boite, sachant parfaitement que l’arrière est équipé d’un allumage automatique, et d’une caméra !

    Après que j’ai été dire bonjour à toutes les connaissances du lieu, je retrouve mes amis sur une banquette, une bouteille de whisky, sur la table basse devant eux. Trois verres, qui semblent nous demander de venir les prendre en main.

    Après un premier verre, les choses s’accélèrent et Agnès, très vite, met sa main sur la cuisse de Daniel, puis, comme je suis complice avec les deux, je la laisse embrasser mon pote. Je la vois tâter la braguette en même temps, m’est avis qu’elle cherche quelque chose !

    La belle s’en donne à cœur joie dans cette fougueuse pelle. Elle se contorsionne de telle façon que tout le monde peut voir le haut de ses bas, ce qui ne va pas tarder à allumer le feu dans bien des regards.

    Daniel, peu surpris de l’attitude de la jeune femme, qu’il sentait bien, depuis le début de la soirée, attirée par son charme naturel, se laisse conduire. Il comprend que rien de ce qui se passe, ne me blesse.

    Je me lève et annonce que je vais danser, vu la petite salope qui se trémousse, près de l’escalier de cinq marches, qui mène sur la piste. Je n’ai pas le temps de danser longuement, que déjà Agnès vient se coller à moi, et me roule une pelle magistrale. J’en profite pour lui relever la jupe, de manière à ce que tout le monde puisse en profiter.

    Daniel est à un autre sommet de cette piste triangulaire. Près du deuxième escalier, il ne perd pas une miette du spectacle. Mais, son air me dit qu’il est tout de même dubitatif !

    - Va voir Daniel et embrasse-le aussi, il ne comprend pas que tu as envie des deux.

    Sans se faire plus prier, Agnès, tout en dansant et se déhanchant, rejoint mon pote. Elle se plante devant lui, et lui saute au cou pour l’embrasser fougueusement, à nouveau.

    Une bonne partie de la soirée, c'est déroulé ainsi, Agnès allait de moi à Daniel et de Daniel à moi. Nous étions tous deux à sommet du triangle de la piste, et nous laissions Agnès se faire draguer, quand elle en avait assez, elle venait vers l'un ou l'autre pour un câlin, une caresse ou un gros bisou.

    Autant dire, que notre petit cinéma n’est pas passé inaperçu. J’ai même été invité à boire un verre par deux mecs ; qui me demandaient où je pouvais bien trouver toutes les salopes ; que j’amenais en boite ! Comme s’il y avait une supérette qui fournissait des salopes à la demande !

    Leur expliquer que, toutes les femmes sont assez salopes, pour peu qu’on les y invite intelligemment, qu’on les respecte, et qu’elles se sentent en confiance… Ça, c’était visiblement en dehors de leur champ de compréhension, eux, ils voulaient des salopes toutes dressées et là pour leur plaisir… Ils allaient avoir du mal à en trouver !

    Nous avons continué notre petit jeu d’échange une bonne partie de la soirée. Maintenant Daniel se laissait aller à exhiber Agnès, ayant compris que le jeu l’excitait fortement.

    Nous rentrons de boîte sur le coup de cinq heures du matin, on commence par reprendre un verre de whisky, puis je demande à ma copine de nous faire un petit strip-tease.

    Agnès ne se fait pas prier, et commence à danser devant nous, d’une façon encore plus lascive que tantôt. Elle est là, juste à deux pas, on peut sentir sa transpiration mélangée à son parfum.

    Je parle à mon pote et lui explique, comme s’il en était besoin, qu’Agnès est une vraie salope en chaleur, qu'elle adore se faire mater, et bien plus encore.

    Alors qu’elle danse, elle entreprend de retirer la veste de son tailleur, qu’elle n’avait pas quitté jusqu’à lors, et nous surprend en exhibant sa fière poitrine, nue sous le vêtement.

    - Tu as été en boîte, seins nus sous ta veste ? Et si quelqu'un t’avait tiré sur ta veste ?

    - Hé bien, il y aurait eu un peu de spectacle, pour les danseurs !

    Elle finit par se retrouver en bas et escarpins, nue pour le reste. Alors, elle se plante devant mon pote, s’accroupit, et lui défait la braguette.

    Ensuite ma copine lui a sorti sa bite, une queue disproportionnée au vu de sa taille, car mon pote mesure tout juste un métré soixante-cinq. Puis, elle a commencé à sucer l'énorme pieu de chair. Cette salope était une super suceuse, bien souvent, elle me pompait le dard et allait jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche. À ce moment-là, elle se pâmait en se bricolant toute seule le clitoris, mais en cette soirée, elle avait visiblement d'autres vues pour l'utilisation de cette grosse bite.

    Pendant que mon pote se faisait pomper le dard, je fonçais dans la salle de bain et y prenais le pot de crème Nivéa. Dès mon retour, je me suis aperçu que ma salope de copine se branlait vigoureusement de la main gauche.

    Je m’accroupis derrière elle, ouvrais le pot de crème, m'en enduis trois doigts et les passaient sur son cul. Sans crier gare, j'introduisis mes doigts dans l'anus qui n'opposa pas de résistance. Il ne fallut pas longtemps de ce traitement pour qu'Agnès s'envole dans un concert de cris sourds. Et, échangeant un regard complice avec mon pote, je lui dis :

    - Elle suce comme une vraie pute, non ?

    - T'as raison, c'est une vraie pro, me répondit-il.

    Puis m'adressant à ma copine, je dis encore :

    - T'as envie de te faire défoncer ta chatte, hein ma salope ?

    Elle grogna pour acquiescer tant elle était prise par sa pipe et mes doigts, qui venaient de s'enfoncer encore plus loin, dans son cul. J'en profitais pour écarter mes doigts et lui distendre la rondelle. Je la fis hurler encore quelques instants, puis, la prenant sous les aisselles, je l'ai soulevée pour permettre à Daniel de s'allonger en travers du canapé.

    Pendant que mon pote s'installait, je roulais une pelle à Agnès, puis lui dit, dans un souffle :

    - Tu vois cette grosse saucisse, tu vas t'en prendre plein le cul, hein ma salope...

    - Hum, j'ai envie, j'ai envie, j'ai envie, répétait-elle d'une voix qui confirmait tout à fait son affirmation.

    Très vite, elle est venue se mettre à califourchon sur le corps de Daniel, a présenté la queue à l'entrée de son trou à bites, puis s'est laissé tomber de tout son poids sur sa queue droite dans un grand gémissement.

    Pendant qu'elle s'empalait sur la bite raide, je suis venu me faire sucer. J'ai sorti ma queue de mon pantalon et la lui ai présentée. En même temps qu'elle me pompait, je lui triturais ses gros seins un peu mous, mais si doux. Je jouais avec ses tétons, les tirant ou les pinçant suivant ses réactions pour la calmer ou pour l'exciter plus encore.

    Peu de temps après, Daniel a commencé à bouger pour mettre ma copine sur le dos. Dès qu'elle fut le dos, sur le canapé. Il l’a repris sans trop de ménagement, la limant comme un démon. Sa queue entrait et sortait de la moule, dégoulinant de cyprine.

    Je suis venu me placer sur la gauche du canapé, me suis placé au-dessus de la tête de ma copine et lui ai fait lécher mes couilles. Je sentais son souffle sur la peau fine de mes burnes sans poils. Sa langue aller des couilles à mon cul, elle ne laissait aucun carré de chair sans salive.

    Daniel, qui commençait à être un peu fatigué, et certainement aussi pour se retenir plus longtemps encore, ressortit sa grosse bite. Regarda un instant Agnès dans les yeux, puis, d'un coup sec, lui introduisit à nouveau son bâton de chair.

    À chaque coup de bite, ma copine criait plus fort. Visiblement, elle s'éclatait sous les coups de boutoirs de cette queue qui lui remplissait toute la chatte. Et Daniel semblait s'y connaître pour tirer le meilleur de sa grosse queue. Je n’arrêtais pas d'insulter ma salope en la traitant de tous les noms, et elle, dans un état second, répétait qu'elle jouissait, que c'était bon, qu'elle en voulait encore.

    J'étais très excité de voir ma chienne de copine en train de se faire défoncer la chatte, par mon pote. Les grands coups de bite, avec élan, avaient cessé, et Daniel avait maintenant le souffle court de l'homme, qui va inonder sa partenaire.

    Agnès avait pris ma queue dans sa bouche et suçait la bite que je lui présentais en appuyant à la base pour la plier, vers le bas. Quand mon pote retira, une dernière fois, sa queue dressée en poussant des cris de fauve, je retirais prestement mon propre sexe de la bouche chaude et douce, de ma chienne en chaleur, qui me pompait jusqu'à là, me dégageais de ma position, lui pris les cheveux et la fis s’asseoir pour qu'elle puisse recueillir le sperme chaud dans sa bouche.

    Mon copain n’eut pas à s'astiquer le manche très longtemps, très vite, je compris aux petits mouvements de recul, qu'avait fait ma salope, que mon pote venait de jouir en balançant toute sa crème, dans la bouche de cette petite pute en chaleur. Et, à peine eut-elle fini de lécher le gland, qui venait de la rendre si heureuse, que je lui repris les cheveux, la tirais à moi, pour qu'elle me finisse aussi à la bouche. Quelques secondes plus tard, c'était à moi de jouir dans cette bouche de bouffeuse de foutre.

    Quand nous avons repris notre souffle, tous autant que nous étions, je me suis adressé à ma copine :

    - bien ma salope, je crois que tu t'es régalée, là, non ?

    Il commençait à vraiment être tôt, on ne peut plus dire tard à pareille heure, Daniel est reparti chez lui, visiblement très content, et nous, nous sommes partis nous coucher, pour dormir, car nous commencions vraiment, à en avoir besoin.

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      Posted on : Nov 20, 2024
     

     
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