Agnès
est une grosse salope comme je les aime, je la connais, pour avoir
fait de la natation, à seize
ans, avec elle, j'ai su, mais que très récemment, qu'elle avait
toujours eu envie, de sortir avec moi.
Je
l'ai rencontré un soir de cuite et de cohue, en boîte. Bien qu'elle
ait un peu grossi, je la reconnus tout de suite. Très vite, en
discutant, elle m'avouait qu'elle s'ennuyait dans la vie, avec son
mec. Elle était divorcée, avait de grosses galères au niveau
financier et n'avait pas la garde de ses enfants, ce dont elle
souffrait beaucoup. Nous avons échangé nos numéros de téléphone.
Moi, en boîte avec des copains, je n’avais pas le temps de
m’occuper d’elle, sur le moment.
Dès
le lendemain, j'ai eu un coup de fil d'Agnès, je l'ai invité pour
le soir même, car elle m'avait annoncé que son mec serait en
service. Le soir, nous avons dîné tranquillement, puis sommes passé
au salon pour le café et le pousse-café.
Nous
avons beaucoup discuté, du passé commun, de nos passés respectifs,
de la vie. Elle m’apprit à cette occasion qu’elle avait eu des
soucis sérieux, avec un type, pour lequel elle avait tout plaqué,
mari, boulot, enfants, et suivi dans un petit appartement, dans la
banlieue de Tours, elle avait retrouvé un boulot, bossait dur,
pendant que le monsieur se reposait, sûrement d’avoir trop
travaillé par le passé, vivant de son gros sexe. Mais quand elle a
commencé à lui demander de mettre la main au porte-monnaie, là, ce
fut la déconvenue totale, et le monsieur, pour aimable qu’il ait
pu être, devint violent, jusqu’à la menacer de mort. À travers
nos discussions, nous nous enfoncions dans la nuit profonde.
Souvent,
elle voulait partir, mais à chaque fois, je lui disais : Il n'y a
pas le feu au lac ! Toutefois, je sentais confusément qu’elle
voulait autre chose qu’uniquement discuté du passé.
Vers
quatre heures du matin, j'ai fini par l'embrasser. Sa bouche est
chaude, sa langue douce, et très vite mes mains s’égarent sous
son pull de laine. Pas de soutien-gorge, j’explore alors le jean et
y glisse ma main entre le ventre un peu rond et le tissu, aucune
culotte non plus, si cette salope n’est pas venue pour se faire
sauter, c’est bien imité !
-
J’ai une grosse envie de toi, que je susurre à son oreille.
Et,
joignant le geste à la parole, je commence à lui retirer son
pull-over.
Elle
ne se laisse pas faire, mais au contraire, m’aide à retirer le
vêtement. Puis, elle s’emploie à défaire mon jean, visiblement,
mon sweat-shirt ne lui pose pas plus de souci que ça. Et elle
s’aperçoit que je suis nu sous mon pantalon, moi aussi.
-
Hum ! J’adore les mecs qui ne mettent pas de slip ni de
caleçon.
-
Jamais, quand je reçois une femme du monde, que je réponds dans un
petit rire nerveux.
Je
prends un peu le temps de lui retirer son jean, car je passe un peu
de temps sur le clitoris, à le cajoler, d’un doigt malicieux, tout
en embrassant ma partenaire, d’un baiser bouillant et fougueux.
Elle
a pris les devants en s’occupant de se déchausser en ne s’aidant,
que de ses pieds, si bien, que le pantalon est retiré facilement.
Je
commence par m’agenouiller devant le canapé, et dirige ma langue
sur son bouton d’amour. J’agace son démarreur, pendant un bon
moment. J’en profite pour aller explorer sa grotte intime d’un,
puis deux, et, enfin, trois doigts fouineurs.
La
bonde se pâme doucement, visiblement, elle prend déjà son pied,
sous
mes assauts linguaux. Aussi, je m’applique le plus possible, pour
commencer par me faire une petite réputation, aux yeux de cette
salope en rut, qui a dû en voir des langues, des bites et en prendre
des coups de reins !
Et
avant de passer à la phase deux, j’en profite pour tester l’anus
en passant ma langue sur son trou du dimanche, une petite feuille de
rose, mais sans aller trop profond, ne pas tout faire dès le premier
jour !
Agnès
couine comme une truie, sous les assauts de cette chaude langue, qui
lui caresse le sphincter. Elle adore la sodomie, et se demande si ce
gros salaud va bien venir lui prendre la rondelle, qui commence à
frétiller d’envie.
Je
la prends par les cuisses en me redressant et la guide pour que ses
fesses soient au bord du sofa, puis, la bite raide, comme la queue
d’un rat qui va aux pommes, je pointe la chatte déjà bien
entrouverte et lui dit :
-
Tu la veux ma queue ?
-
Ho oui, j’ai envie… j’ai envie...
Et,
finalement, c’est cette femme blonde qui, d’un coup de rein,
propulse son bassin en avant, pour que sa chatte happe ma bite d’un
coup.
De
la façon dont ça part, je ne vais pas commencer à limer doucement
pour faire monter la pression progressivement. De plus, il est tard,
disons tôt, pour être exact, et j’ai envie de jouir assez vite.
Je lime donc comme un démon, dès le début.
Agnès
s’abandonne
et grogne, comme la truie en chaleur, qu’elle est. Les coups,
tapant au fond de son vagin, lui arrachent des cris aigus. Son sexe
est inondé et ne peine pas le moins du monde à accueillir cette
bite, de taille raisonnable. Elle en a déjà vu de bien plus grosse.
Mais, agacée toute la soirée, par ce mec qui faisait semblant de ne
pas comprendre ce dont elle avait envie, les orgasmes arrivent
rapidement les uns après les autres, libérateurs, mais aussi
redoublant l’excitation à chaque fois.
Il
ne faut pas plus de sept ou huit minutes pour que je me retrouve avec
la lance prête à faire jaillir son jus. Je grogne à l’unisson
avec cette salope blonde, et annonce :
-
Putain ! Ta moule me brûle la bite... Je vais jouir… Je vais
te remplir de foutre !
-
Oui, vas-y… Remplis-moi !
Et
elle attrape mes fesses à pleine main pour que je reste collé à
son bas-ventre, jusqu’à ce que je jouisse. En même temps, les
muscles de son vagin se contractent, enfermant ma queue dans une
sorte d’étau bouillant, ce doit être l’enfer, puisque ça tend
la bite !
Elle
gueule au charron, quand mon jus de couille la remplit. Son corps
souple est secoué de spasmes, elle a les yeux fermés, pincés, la
bouche ouverte, elle jouit comme si elle souffrait !
Je
décharge mon bon sirop de testicule, dans cette marmite à foutre.
Car, entre ses récits et la taille de sa chatte, on ne peut
qu’imaginer qu’elle s’est fait monter par un nombre
impressionnant de bites de toutes sortes et de toutes tailles. Je
prends un pied fantastique, autant physique que cérébral. Bientôt
ma queue, devenue molle, ressort de cette caverne volcanique.
Après
quelques minutes à reprendre son souffle, je l’entends me dire :
-
Ha ben, ça fait du bien par où ça passe !
-
Ouais, malgré le peu de confort du canapé ?
-
C’est pas grave, ça, et puis, ça pimente encore un peu plus la
partie de cochon-cochonne !
Je
comprends qu’il ne faut lui en promettre, à la belle Agnès, et
qu’elle tient bien mieux sur le dos qu’une biquette sur les
cornes ! Je suis toujours à genoux, devant le sofa, les cuisses
de la blonde de part et d’autre des miennes, à reprendre mon
souffle. Puis, d’un coup, je la sens bouger et se remettre assise
au fond du canapé.
Elle
se penche en avant, et prend ma bite gluante dans sa bouche, pour me
la sucer doucement. Elle me lèche le sexe jusqu’aux couilles et me
nettoie, avec une délicatesse et un soin, me laissant rêveur.
Pour
tester ses réactions, je commence par lui dire doucement :
-
Hum ! t’es une vraie bonne salope, toi… Visiblement, tu
aimes ça, le nectar de roubignoles !
Je
me rends tout de suite compte, que ces mots lui donnent des frissons
et je me dis qu'il faut que je continue à lui parler de la sorte,
car elle est sensible, mais aussi, parce que j'ai toujours aimé
parler de la sorte. Après quelques instants, je reprends :
-
T'en es une salope ! Tu viens ici, te faire piner, pendant que
ton mec est au boulot.
Là
encore, je sens que ces paroles la touchent. Je la repousse en
arrière et recommence à lui caresser la chatte. Sa moule est encore
toute détrempée et m’aperçois qu'elle mouille encore davantage !
-
T’es une bonne salope ma belle ! Tu ferais une excellente
pute !
Je
m’ajuste à nouveau entre ses cuisses, toujours à genoux sur le
sol, elle est maintenant, à nouveau vautré dans le fond du sofa. Et
je lui montre, que moi non plus, je ne suis pas dégoûté par la
cyprine, voire par le foutre, en recommençant à lui dévorer le
baigneur.
La
blonde ondule du bassin, comme pour m’offrir, le mieux possible,
son berlingot. Elle râle doucement, me caresse la tête comme pour
mieux suivre ses mouvements.
-
Ta moule de putain, suinte l’envie de plaisir...
Mes
mots sortent de ma bouche légèrement déformée. Il est bien connu,
qu’il ne faut pas parler en mangeant !
Plus
je la lèche, plus elle mouille, cette garce ! Très vite, je
repasse ma langue sur son anus. Je sens qu’il doit, lui aussi, être
visité très régulièrement. Il me semble qu’elle jouit encore
plus fort.
-
Tu m’as aussi l’air d’être une bonne enculée !
-
Ho oui… J’adore ça !
Cette
fois, je lui rode le fion en lui introduisant deux doigts, puis,
sentant que le passage peut accepter bien plus, j’y joins un
troisième.
La
chatte de la salope semble baver, et son trou de balle mouille aussi.
Les râles se font de plus en plus forts et pressants. Il semble,
qu’elle demande d’aller encore plus loin.
Je
retrouve une érection digne de ce nom, tout en continuant mes
assauts avec ma langue vicieuse, je lui ramone l’anus, laissant
simplement court, à mes envies de stupre.
Puis,
je ressors mes doigts d’un coup sec, me redresse, prends ma queue
raide en main et la dirige vers le sphincter frétillant. Et d’un
coup sec, j’enfonce mon pieu de chair, tout au fond du boyau.
La
belle pousse un cri. Mais en même temps, elle attrape ses chevilles
et écarte ses cuisses le plus possible, tout en m’invectivant :
-
Salaud ! Salaud ! Tu es dans mon cul ! Salaud !
-
Ouais, t’es une enculée… Donc, je t’encule… Grosse pute !
Et
je lui lime le cul avec force et vigueur tout ne continuant à lui
parler très crûment :
-
t’aimes
ça, grosse pute… Dis-le, que tu es une grosse pute…
-
Hum... Hum… Je suis une pute…
-
Une grosse pute !
-
Hum, hum… Une grosse pute… Défonce-moi le cul, salaud !
J’adore
ça, les mots crus, grossiers, ç’a le don de m’exciter
terriblement. Je lime donc avec encore plus de vigueur, s’il en
était possible.
Agnès
recommence à crier. Elle accompagne mes mouvements en lançant son
cul en avant et en arrière en rythme.
-
Fourre-moi l’cul... Fourre-moi le cul ! Défonce-moi, Salaud !
-
Prends ça, grosse pute !
Et
je lui claque la fesse avec force. Mais je ne vais pas tenir
longtemps à ce train-là, quand
bien
même, je suis dans l’arrière-train !
-
Ton cul de putain me fait jouir ! Haaaaa...
Et,
ne pouvant plus me retenir, je jute pour la deuxième fois dans ce
corps accueillant et doux, chaud. Puis je m’écroule en avant et
viens m’aplatir sur cette douce enculée.
Elle
en profite, force un peu ma bouche et me vole la langue. Son souffle
est court, elle ronronne comme une vieille moto au ralenti. Après
quelques baisers fougueux, elle me souffle à l’oreille :
-
Je suis vraiment une grosse salope, hein…
-
Ton cul est un vrai bonheur à envahir !
-
J’aime ça, m’en prendre plein le cul, comme tu viens de le
faire, quand tu veux, on reprend…
Ne
sachant pas si c’était du lard ou du cochon, voir de la cochonne
lardée, et me connaissant, après deux éjaculations, il allait
falloir une bonne heure de repos, tout de même ! Mais je
décidais toutefois d’épuiser le plus possible ma partenaire,
histoire qu’elle soit plus calme sur ces demandes. Je prends une
solide aspiration, puis me redresse d’un bond, comme si toute
fatigue avait disparu. Je tends ma main vers la blonde, et lui dis :
-
Viens, mets-toi à quatre pattes sur le canapé…
Sans
autre forme de procès, Agnès s’empare de ma main et s’appuie
sur l’autre bras pour se relever. Là, elle se laisse guider, pour
se retrouver les genoux sur l’assise.
Je
l’aide encore pour qu’elle s’installe confortablement, du
moins, le plus confortablement possible, le cul bien relevé, le dos
cambré. Puis, je viens derrière la femme, lui écarte les fesses et
admire son œil de bronze.
-
Il est bien ouvert ton trou-du-dimanche ! Que j’annonce, comme
si je découvrais l’Amérique !
J’enfouis
directement mon index, majeur et annulaire, joint, dans le trou noir,
puis commente encore :
-
Il est bien rempli de foutre…
La
blonde se pâme et écarte encore ses fesses en se cambrant, un peu
plus. Puis, elle réclame :
-
Oui… Vas-y… Fouille-moi le cul…
Je
fourre mes doigts dans tous les sens, dans ce cul bouillonnant, dont
suinte une mélasse marron clair, mélange de résidus et de sperme
frais. Puis, voulant aller encore plus loin, j’ordonne à ma
partenaire :
-
Branle-toi le clito… Bricole-toi
bien le bouton… Vas-y, fais-toi plaiz !
Et,
pendant que madame libère une main pour venir se bricoler le
colibri, je redouble de vigueur dans l’anus, de plus en plus
ouvert, C’est fou l’élasticité de ce sphincter !
Bientôt,
Agnès sursaute sous ses propres caresses, mais aussi grâce aux
doigts qui s’agitent dans ses entrailles. Elle gueule comme une
louve, et les voisins doivent en prendre plein les oreilles, surtout
qu’à cette heure, il n’y a aucun bruit, qui pourrait parasiter,
les chants de cette cantatrice, si particulière.
La
plaisanterie dura, tant que la blonde pouvait se masturber. Quand
elle s’écroule enfin sur le canapé, vidée, comblée, ruinée,
mes doigts ressortent tous
seuls,
laissant un anus béant, d’où coule toujours la mixture, peu
ragoutante.
Je
la laisse reprendre son souffle, et aussi un peu ses esprits. Je
visualise l’heure sur ma pendule, il est plus de cinq heures
trente. Le temps a passé bien vite ! Sachant Agnès en couple,
même si elle prétend le contraire, je lui pose la question :
-
À
quelle heure ton mec rentre du boulot ?
-
Il quitte à sept heures, là, il doit venir me ramener ma voiture,
il a fait la vidange, au boulot... Quelle heure est-il ?
-
Bientôt six heures du matin.
-
Ho ! Faut que je rentre ! Allez, on s’habille et on y
va...
-
Comment ça, « on » ?
-
Viens chez moi, on ne va pas en rester là !
-
Mais ! Ton mec ?
-
C’est juste un copain, même si je couche un peu avec lui !
Là, il me refile mes clefs, je lui donne les siennes, et il se
casse !… C’est toi que je veux dans mon lit ! Pas lui !
Agnès
avait un trois-pièces à une quinzaine de kilomètres de chez moi.
Nous nous sommes donc rhabillés et sommes partis chez elle. Elle,
dans la voiture de son mec, moi dans la mienne.
En
arrivant, elle
me fait monter au premier étage par l’escalier. J’en profite
pour la peloter et glisser une main dans son jean pour lui tâter le
cul. Je suis toujours très excité par l'ambiance et par ce cul,
qui, ma foi, est plutôt rond, sans être gros.
Une
fois dans son appartement, elle m’emmène directement dans sa
chambre et là, je la prends et la colle à moi pour l’embrasser
goulûment, lui montrant ainsi mon envie insatiable, de son corps.
Je
lui retire très vite son jean, la pousse sur son lit, et me remets à
la gamahucher de belle manière. J’en profite pour me dessaper au
plus vite, laissant mes fringues un peu partout. Il n’y a que mes
chaussettes que je ne peux pas retirer, sans stopper mes prestations,
donc je laisse.
Elle
commence à frémir quand, nous entendons la sonnette. Elle reprend
son souffle, se lève et va ouvrir la porte, avec le cul à l'air.
J'entends
des bribes de conversations, le mec voudrait venir dormir, mais elle
ne le laisse pas entrer. Après, ce que je pense avoir été
l’échange de clefs de voiture, elle referme la porte et revient
comme si de rien n'était.
En
entrant dans la pièce, je lui fais remarquer qu'elle est vraiment
une sale pute de s'envoyer en l'air alors que son mec était au
boulot ! et qu'elle avait une drôle de démarche, de l'envoyer
balader, alors qu'il lui avait réparé sa voiture.
C'est
là, qu'elle me dit franchement, que les mots comme pute ou salope,
lui font un effet terrible, puis, elle se jette sur moi.
S’ensuit
une grosse partie de baise, elle vient me chevaucher, et, la fatigue
ainsi que l’excitation aidant, je ne tiens pas très longtemps à
ce rythme.
Agnès
me fait jouir dans sa chatte, mais à peine ai-je commencé à
cracher mon foutre brûlant, qu’elle me pince la base de la pine,
saute sur le côté, et va prendre en bouche ma bite, qui ne demande
plus qu’à se vider, le plus possible.
Elle
boit goulûment ma liqueur de roupettes, puis, profitant de ce que je
cherche à reprendre mes esprits, vient me rouler une pelle baveuse…
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