Lors de notre première rencontre,c'est Véronel qui m'a accueilli.
Il était quelque part vers midi quand il a ouvert la porte vêtu seulement d'un t-shirt,court et moulant.
De petite taille,par rapport à moi qui mesure presque 2 m,mince aussi par rapport à moi qui pèse presque 100 kg.
En d'autres termes,nous jouons dans différentes catégories.
Je l'ai regardé,éprouvé par des sentiments contradictoires,vexé et excité à la fois,sentant dans mon ventre que le petit va en quelque sorte être mon papa.
Devant moi se tenait un homme imperturbable,nu de la taille aux pieds,avec sa bite et ses couilles bien plus foncées que sa peau.
J'étais visiblement captivé par le epi qui pendait entre ses cuisses,alors il m'a demandé si j'avais envie de l'avoir en moi.
Je gémis de plaisir et m'agenouillai à ses pieds,en signe de respect,reniflant ses poils pubiens et ses noix noires fourrées(à ce moment-là,il n'était pas rasé sur tout son corps)et mes lèvres absorbèrent sa tête de bite rose palpitante.
Je pense que Veronel ne mesure pas plus de 167 cm et ne pèse pas plus de 60 kilogrammes,et le membre suspendu que j'adore était au-dessus de la moyenne d'une taille normale.
Lui étant chétif,j'étais plutôt à quatre pattes à ses pieds dans une position d'assujettissement total, qu'à genoux dans une position semi-soumise pouvant tout au plus favoriser une fellation saine.
Je me suis prosterné à ses pieds,essayant d'exprimer ma gratitude en prenant ses testicules noirs et veloutés dans ma bouche,fasciné par leur obscurité étincelante - les perles de sueur donnaient un éclat à la peau(plus tard,j'ai découvert qu'il transpirait car plus tôt il l'avait donné sous la queue de Lacrima).
Tout semblait irréel car nous ne nous étions même pas présentés,je portais des chaussures,je venais d'accrocher ma veste au cintre,j'avais encore mon béret sur la tête et dans ce couloir spacieux,j'étais subjugué par une présence peu imposante.
Même s'il est petit de corps,Véronel a la splendeur autoritaire.
Dès le début,j'ai été asservi par sa voix douce mais autoritaire qui tout en me caressant gentiment m'ordonnait d'arrêter pour l'instant et me soufflait paisiblement à l'oreille qu'il s'occuperait de moi plus tard,je le cite :" Sois patient car je Je vais tellement te baiser que je vais te faire des blessures à la bouche,je te fais du mal à fond,ton entrée du grenier - maintenant bien que piranda(gitane - sa femme)nous attend ..."
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