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Jeune, j’étais clairement un coureur de
jupons, papillonnant de filles en filles avec quelques relations plus longues
mais dans lesquelles je ne m’étais jamais projeté.
Et puis, elle, une petite blonde aux yeux verts, un corps de danseuse, deux petits seins qui tiennent dans les mains, un cul parfaitement
rebondit.
Aussi au lit, elle fait des étincelles. La sportive permet des
positions que je n’avais jamais envisagées. Elle n’a qu’un seul tabou : pas
de sodomie. Elle a essayé et détesté. Peu importe, l’éventail des possibilités
est bien suffisant. Nous baisons tout le temps, partout, dès qu’on en a le
temps
2015
Cela fait dix ans que nous sommes ensemble. Le feu d’artifice
sexuel du début a lentement laissé la place à la routine. Nous ne baisons plus
que pour les anniversaires, la Saint-Valentin et quelques trop rares occasions pour
maintenir la flamme. Nous nous aimons comme au premier jour mais la fatigue du
quotidien a eu la peau de notre libido.
En mai, elle change de travail : Un poste à responsabilités dans une
petite PME sans prétention mais qui marche suffisamment pour doubler son
salaire.
Son nouveau parton, la soixantaine, vieux beau, les cheveux gris, ancien sportif, costume trois pièces, BMW, gourmette, Rolex, macho,
paternaliste, est fier de son affaire.
Il s’est entouré de jeunes assistantes fascinées par sa stature qu’il fait
rougir de remarques déplacées en blagues salaces. Malgré son statut, ma femme y
passe aussi. Ses tenues sont détaillées, complimentées ou brocardées, il ne
manque jamais une allusion sexuelle et puis ses mains commencent à trainer.
Quand elle m’en parle, elle est aussi gênée qu'amusée.
Nous blaguons sur le "vieux cochon", nous chamaillons et puis…
baisons.
Depuis ce nouveau travail, notre sexualité s’est réveillée.
Mais beaucoup de jeux tournent autour de son patron. Nous en discutons d’abord
en blaguant et puis sérieusement. Nous décidons de pousser l’expérience :
les jupes raccourcissent, les décotés s’élargissent et les collants, remplacés
par des bas. Chaque matin, avant de partir, elle me demande si je bande :
oui !
Je ne suis pas le seul. Le cochon a remarqué le changement : les allusions
fusent, ses mains s’affirment mais ma femme se refuse.
Chaque soir, elle me raconte les discussions, les mains au cul et nous baisons.
Et puis un matin, elle me demande si je bande : oui ! M’annonce
qu’elle a une réunion seule avec son patron : oui... Me demande si elle peut
rester après la fermeture : oui ? Est-ce que je bande encore : oui !
Elle sourit.
La réunion s’achève après 19h.
Tous les employés sont partit depuis longtemps. Ils sont satisfaits des décisions
prises. Ma femme sort de la salle, s’apprête à s’enfuir, soulagé de ne pas
avoir exécutée son plan. Mais elle est stoppée par une bouffée de chaleur.
Elle réfléchit, passe 5 minutes dans le noir, sourit Elle enlève sa culotte et la range dans son
sac. Elle retourne dans la salle où le
patron relit les notes.
- Monsieur ?
- Oui ?
- Je crois que vous avez oublié quelque chose aujourd’hui ?
- … ?
- Je n’ai pas eu une seule main au cul.
Il la détaille de bas en haut, juge la situation et lui fait
répéter
- Je n’ai pas eu une main au cul de la journée
Il se lève et s’avance. Ma femme se tourne et se cambre.
Elle sent la main ferme serrer son fessier et qui descend vers son intimité. Quand
ses doigts trouvent sa chatte, elle pousse un cri de surprise et d’accomplissement.
Les doigts la pénètrent, Elle sent son souffle s’accélérer, l’autre main s’engouffrer
dans son chemisier, Elle le laisse faire.
Après quelques minutes, il la met à genoux, son entrejambe devant son visage.
La braguette va craquer. Elle le déboutonne, laisse tomber le pantalon, un
dernier moment d’hésitation mais il est trop tard. Elle s’empare du sexe de son
patron, l’estime, l’admire, le sent, le branle, le lèche et enfin, le goute. Cela
fait dix ans qu’elle n’a pas gouté un autre sexe que le mien. Elle m’imagine
dans notre canapé à l’attendre pendant qu’elle suce un autre. Ca l’excite. Elle
redouble d’effort pour faire jouir cet homme, avale ce sexe trop gros qui force
au fond de sa gorge. Il lui tient la tête, imprime le mouvement, râle comme un
dément et joui sur son visage.
Il s’assoie sur une chaise pour reprendre son souffle. Ma
femme essuie des doigts le foutre sur son visage, le goute et rit.
Il regarde sa montre, pâlit, se souvient de sa femme, bredouille
et s’enfuit.
30 minutes plus tard, ma femme rentre enfin. Elle me regarde
comme une enfant qui a fait une bêtise.
- une grosse bêtise ?
Elle fait la moue
- oui ?
Elle m’embrasse langoureusement, s’assied à côté de moi, ne
sait pas où regarder, le sourire aux lèvres, elle bredouille. Et puis elle pose
sa main sur mon sexe, le frotte pour le faire grossir, le sort et joue avec.
Elle me raconte ce qu’il vient de se passer, ce qu’elle vient de faire. Chaque
détail, le départ, le soulagement, la bouffée de chaleur, l’hésitation, la
culotte dans le sac, les doigts dans sa chattes, le sexe dans sa bouche, le
foutre sur son visage, le goût du sperme. Elle me masturbe, je bande, je l’embrasse
dans le cou, défait son corsage, embrasse ses seins. Elle remonte sa jupe, n’avait
pas remis la culotte, pivote sur mes genoux et s’enfonce mon sexe. Nous
baisons, lentement, nous embrassant et elle jouit, bruyamment, comme… il y a
longtemps. Moi aussi.
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