A la fin du séjour partagé avec son amie Else, M annonça à G qu’elle comptait faire une petite randonnée un peu particulière à travers les bois qui entouraient JONCOUS et dont elle était propriétaire.

C’était le matin de la veille du départ d’Else . Il était tôt et juste après le petit déjeuner, M dit G qu’elle allait le préparer pour la randonnée.

G Comme il était de règle, était entièrement nu, et s’inquiétait de ce qu’il pourrait être vu.

M lui répondit qu’il n’y avait aucun risque car JONCOUS était tout au fond d’un vallon et qu’il fallait passer par là pour accéder à la sapinière. Il pourrait donc rester entièrement nu tout au long de la randonnée.

G portait comme d’habitude les attributs de sa soumission, des pinces avec des poids aux tétons ainsi que  sur le frein du sexe. Étonnamment son anus avait été laissé libre de toute contrainte . 

M et Else étaient habillées en tenue de randonnée toutes les deux, petit short et chemisette légère .

M prit une chaînette qu’elle fixa à l’aide d’un mousqueton dans une boucle arrière de son short, l’autre bout étant relié  à la pince fixée sur le frein du sexe de  G . 

Avec une cordelette, M lui attacha les mains dans le dos.

Et le trio partit ainsi sur le sentier qui menait à la sapinière. Les deux femmes avançaient devant, devisant gaiement en néerlandais, suivi par G qui était traîné en laisse tenu par son sexe.

Le fait,d’être pieds nus ne lui permettait pas de marcher aussi vite que les deux femmes. La traction de la chaînette se faisait sentir douloureusement au bout de son sexe qui s’était tendu, G étant excité pat la situation . 

Les pinces qu’il avait aux tétons se balançaient avec les poids comme tenu de la démarche malaisée pieds nus, rendant ainsi la randonnée particulièrement douloureuse.

Le trio monta sur environ 1 km et arriva sur un replat où il y avait des sapins et des petits monticule ça et là.

Au fur et à mesure que l’on s’approchait G devina  qu’il s’agissait de fourmilière.

Les deux femmes s’arrêtèrent devant un monticule qui était un petit peu plus gros que les autres et derrière lequel se trouvait fiché une espèce de petit poteau.

« Nous voici arrivés dit M’en détachant les mains de G, attrapé le haut du poteau et agenouillé toi sur le monticule en écartant bien les genoux, de manière à ce que ton sexe et tes fesses soient bien posés sur le monticule .

G s’exécuta docilement comme d’habitude.

Il sentit un grouillement sous lui dont se dégageait une odeur âcre rappelant celle du vinaigre . C’était en fait les fourmis furieuses qui émettaient de l’acide formique . Aussitôt G sentit des quantités de petites piqures très douloureuses sur son sexe, son scrotum et ses fesses . 

M avait laissé G assis sur le nid de fourmis pendant un bon moment . Les insectes étaient montés jusqu'au haut de ses fesses protégé et s'étaient acharnés sur les parties les plus tendres de son individu, en particulier son sexe  ainsi qu’entre le sillon de ses fesses que M avait tenu écartées avec une petite baguette de bois appointée aux deux bouts .

L’ aine et les fesses de G complètement épilées tout comme son  sexe subissaient également des quantités de petites morsures fulgurantes sous le regard intéressé de M et d’Else 

Il comprenait maintenant pourquoi, quelques semaines avant , M lui imposé une séance plutôt humiliante chez une de ses amies esthéticienne à TOULOUSE . Elle l’avait en effet, amené un matin au cabinet de son amie isabelle . 

Isabelle  les avait reçus dans une pièce retirée à l'arrière .

« Je te présente mon ami G, avait dit M à Isabelle . Je te l'amène pour une épilation intégrale du maillot . » 

«  Bien avait dit Isabelle, sans avoir l'air étonnée et se tournant vers G, lui avait dit 

« posez votre pantalon et votre slip et installez vous sur la table, jambes écartées . «  

« Tu ne crois pas que ce serait mieux s'il était entièrement nu  avait repris M . »

«  Si tu veux » répondit Isabelle .

«  G mets toi nu » intima  M . 

Gêné de se dévoiler ainsi devant une inconnue, G s’exécuta  cependant . 

L'humiliation fit cependant que son  sexe se tendit sans qu’il puisse réprimer ou retenir l'érection, ce que remarqua M .

« Tu vois, isabelle, c'est mieux quand il est nu et il aime ça ...! En plus, il est bien équipé . « 

«  Je vois ça, répondit isabelle,  avec un petit sourire qui en disait long . On commence par devant ou par derrière ? «  

«  Par derrière, dit M . G mets toi à quatre pattes sur la table, cambre toi et écarte tes fesses . » 

Ainsi exposé, G fut épilé à la cire derrière puis devant, de façon à se retrouver lisse comme un petit garçon .

«  Voilà comme je les aime, dit M, à la fin de la séance, bien épilées, cela donne plus de sensations dans les rapports, rajouta-t-elle . » 

G ne se doutais pas qu'en fait le faisait préparer pour l'épreuve des fourmis .

G continuait  à se trémousser sur le nid de fourmis rouges dont les morsures redoublaient surtout aux endroits les plus intimes de son individu et notamment les parties les plus tendre qu’étaient son gland et son anus . 

«  Tiens toi tranquille !! lui dit M, plus tu bouges plus tu les excites et plus elles te mordent . Arrête de bouger, je te dis .. Bien, puisque c'est comme ça, tu vas bouger pour quelque chose . » 

Et aussitôt, elle enleva  brusquement les pinces aux tétons . La vive douleur fit oublier  un instant à  G celle provoquée par les fourmis .

M pris aussi ses tétons et les tordît . G hurla  et aussitôt ELSE le bâillonna avec sa main . 

M pinçait et tordait ses tétons . G se tortillait dans tous les sens ce qui décuplait les attaques des fourmis .

«  La, au moins, tu sais pourquoi tu bouges lui dit M, en triturant ses tétons gonflés . «  

Le sexe de G s'était tendu encore plus, le plaisir étant savamment mélangé à la douleur par M mais aussi par ELSE qui prenait beaucoup de plaisir à tirer sur la pince fixée sous le sexe de G toujours tendu par une erection croissante . 

«  Je suis ravie que tu réagisses comme cela, reprit elle, car c'est une épreuve que je t´impose, à l'instar de celle que les tribus d'Amazonie imposent à leur jeunes hommes, pour m'assurer que tu pourras faire un bon soumis .C'est presque fini lui dit elle . Relève toi et reste debout « 

Les fourmis continuaient toutefois à mordre .

G sentit  que M et ELSE l’époussetaient avec des plantes pour chasser les fourmis, en le flagellant à l'identique de ce que font les nordiques dans le sauna .

Mais ce n'était pas des branches de bouleau car chaque flagellation lui causait une sorte de démangeaison piquante  

G comprit vite que les deux femmes l’époussetaient avec un bouquet d'orties fraîches pour le débarrasser des fourmis . Une douleur chassait l'autre tout en provoquant chez lui une excitation indescriptible entraînant une erection encore plus forte .

Allez dit M, tirant sur la laisse reliée à son sexe, reprenons notre promenade mais cette fois ci avec un bandeau qu’elle installa sur les yeux de G, lui liant à nouveau les mains dans le dos . 

Toujours nu, G  s’exécuta comme un non voyant, cherchant de la plante de ses pieds nus le meilleur appui  ...

Tout son corps était en feu . Il ne pouvait se gratter  . M lui avait remis les pinces aux tétons . Chaque balancement des poids produisait une douleur lancinante . 

Chaque traction sur la laisse pour le faire avancer aussi . G sentait la douleur irradier le frein de sa verge tendue à l'extrême . 

«  Allez avance plus vite, dit M, en tirant à nouveau sur la laisse . » 

M fit avancer  G dans la forêt pendant une bonne dizaine de minutes .

Il entendait le crissement des feuilles mortes sous ses pieds et ceux des deux femmes . Au loin, le bruissement d'un ruisseau . Il  se rapprochait au fur et à mesure de cette promenade particulière . M tirait toujours G par le bout de sa verge .

Au bout de quelques instants, le trio fut au bord de l'eau . G le devina car sa plante des pieds reposait sur du sable et des graviers . 

« La, tu vas pouvoir te rafraîchir, lui dit M, en le détachant et lui ôtant  le bandeau . 

G découvrit une jolie petite vasque d'une eau d'un vert cristallin, dans laquelle s'écoulait une petite cascade, juste à hauteur d'homme .

«  Tu vois, repris M, c'est parfait pour une douche naturelle . Va te rafraîchir tu en as bien besoin . «  

Auparavant M lui enleva  les pinces qu'elle m'avait remis aux tétons et sous son sexe .

«  L'eau fraîche va te faire du bien mais avant je dois remettre tes tétons et ton frein en place . Mets toi à genoux devant moi . »

Aussitôt, elle s'empara de tétons de G, avec l’aide d’Else, très excitée par la situation, qu'elle tordît et pinça  très fort . G, bâillonné par la main d’Else, ne pouvait crier mais la douleur était mêlée d'excitation et de plaisir . M se pencha, dévoilant son superbe décolleté, et pinça puis tordît le frein de la verge de G tout juste libéré de l'étreinte de la pince . 

«  Tu es bien dressé, comme j'aime reprit M et en plus tu es tout mouillé . «  

Ses tétons tout comme ceux d’Else pointaient à travers leurs chemisettes , signe que la scène les avait  bien excitées . 

«  Allez, à l'eau, dit elle .

G se leva et s’exécuta  . L'eau était aussi froide qu'elle était verte ....il hésitait à avancer sous la cascade .

M le vit . 

«  Je vais t'aider à te rafraîchir, dit-elle, coupant une branche d'osier avec son canif . » 

« Allez, avance sous la cascade, lui intima  t elle, cinglant mes fesses de la baguette en osier . » imitée en cela par Else, cinglait à tour de bras, les fesses de G devenues d’un rouge très vif. Else devait être très excitée par cette flagellation car l’entrejambe de son short était toute mouillée….

La douleur fulgurante poussa G à s’avancer  sous la petite cascade . 

«  Frotte toi et bien, lui dit  M et tourne bien sur toi même que je puisse bien profiter de toutes les parties de ton corps . » 

G eut l'impression d'avoir la tête prise dans un étau tant l'eau était froide . Il frotta les parties douloureuses et enflammées de son  corps, son sexe toujours plus gonflé et rouge autant  par l'effet urticant des morsures de fourmis que de la fustigation aux orties fraiches . 

M et Else ne perdait pas une minute du spectacle, insistant pour que G décalotte bien son sexe, pour qu’il écarte  bien ses  fesses, de manière à être bien propre .

«  Lave toi bien reprit M . Tu sais que je vérifierai et tu seras puni si tu n'es pas très propre ! »