Ceux d'entre nous assez évolués, assez éclairés, assez privilégiés pour boire du pipi et manger de la merde sont dotés par le destin de la profondeur et de l'ampleur de l'esprit, de la capacité d'imagination, et du désir de la plénitude de la vie sans entrave, nous donnant l'appétit pour ce que certains jugent impur et répugnant, mais que nous soutenons comme une nourriture, une nutrition et une indulgence divinement accordées. Tout ce qui concerne pipi et merde me rend heureux. Je n'utilise jamais mes toilettes. Je n'utilise jamais de papier toilette.  Au lieu de cela, je fais pipi et chier partout dans mon appartement, souvent sur la table de ma salle à manger, ou dans mon assiette à côté de mes autres aliments, ou sur mon bureau à côté de mon ordinateur, ou sur mon oreiller sur mon lit. J'aime chier dans mon pantalon pendant que je conduis, et j'aime chier dans mon pantalon lorsque je fais des courses, que je fais du shopping ou que je suis en promenade. J'aime aussi répandre de la merde sur tout mon corps, mon visage, ma tête. Quand le temps ne permet pas ce plaisir, je mange juste ma merde directement de mon connard. Je suis un pédé de longue date; alors, bien sûr, j'ai aussi hâte de manger la merde des hommes qui me baisent. Bien que je n'ai jamais été sexuellement attiré par les filles ou les femmes, j'aime manger leurs chattes remplies de sperme ou menstruées, boire leur pipi et manger leur merde. Même le son du mot «merde» m'excite. La merde - plus que toute autre chose - me fait me sentir et paraître beaucoup mieux que je ne le ferais sans ça.