Il est tard. Je n'arrive pas à dormir. Les souvenirs de ce matin dans la grange me hantent. Voilà des heures que je n'arrête pas de me caresser. Hormis la vision du sexe d'André se dressant devant moi. Ce qui reviens le plus à mon esprit ce sont les cris poussé par mon frère alors que sa copine et lui faisait l'amour. Cela me rappel à ce qui s'est passé il y a deux mois. C'était le début des grosses chaleurs et nous étions allé au lac. Après nous êtres baigné nous nous étions assis sur les rochers. Sophie venait de m'apprendre à embrasser. Je taquinais mon frère et je m'étais appuyé contre lui. Je ne sais ce qui lui à pris mais sa bouche s'est posé sur la mienne. Mon cœur s'est mis à battre la chamade et au lieu de le gifler j'ai répondu à son baiser. Ma bouche s'est ouverte et ma langue à commencer à caresser ses lèvres. Il n'as pas hésiter à ouvrir à son tour sa bouche et m'a aspirer la langues. Nos deux langues s'emellèrent, la sienne était chaude et me fouillai des lèvres au palais, tournant et retournant autour de la mienne. Ses mains se posèrent sur mes fesses. M'électrisant tout le corps. Je ne savais que faire à part suivre le mouvement. Mes fesses était malaxés. Sa main droite glissa contre ma hanche et se posa sur mon ventre. Puis descendit jusqu'à mon bas de maillot, en caressant le tissu et ses doigts rencontrent mon mont de Vénus dont ils suivirent le bombé. Je ne bouge plus, ma bouche s'entrouvre sans qu'un son en sorte. Un moment d'extase muet pendant lequel je découvre des sensations nouvelles sous ses caresses à travers le tissu. La sensation est stupéfiante, mon bassin suit les mouvement de sa main, pour en augmenter les effets.
Sa main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mais ses doigts sont passés à l'intérieur de mon slip de bain. Ils continuent à descendre contre ma peau nue. Je sens le plaisir monté en moi. Ses doigts rencontre ma légère toison , douce et aussi peu abondante. Il explore cette petite fourrure qui l'électrise, et sa main enferme mon pubis comme si elle en prenait possession. Je hoquette, me cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui me manque. Mon ventre a un mouvement de contraction. Je commence à haleter doucement, laissant le plaisir m'envahir. Ses doigts atteignent enfin mon sexe et touchent mes grandes lèvres, brûlantes et gonflées par l'attente de caresses plus précises. Ses doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s'épanouir. A nouveau, Je cesse de bouger, toute à l'attente et la découverte de ces sensations. Je continue à haleter, ma poitrine se soulevant à un rythme de plus en plus rapide. Je sent son plaisir, le découvre avec une joie infime, il en profite pour me mordiller les lèvres entrouverte , je n'ose pas bouger. Il s'arrête à son tour.
Sa main devait être gênée par l'étroitesse de mon maillot, mais je ne voulais pas l'ôter. Il cherche un accès plus facile, il commence par enlever sa main : je lui lance un regard affolé, mélange de panique et de déception, craignant que le jeu soit terminé...
- Non...Continue murmurai-je
Il glisse aussitôt ses doigts sur le côté de mon maillot, et retrouve vite mon ventre, ma toison et mes lèvres gonflées. Mes halètements reprennent, la découverte continue. Plus libres, ses doigts caressent ma chatte et glissent avec facilité le long de ma fente entrouverte. Je sais, je sens que je mouille abondamment. Ses doigts effleurent un bourgeon naissant, m'arrachant un nouveau hoquet. Mon plaisir augmente encore.
Pendant ce temps son autre main n'était pas resté inactive. Elle me caressait du haut des cuisse au bas du dos tout doucement. Le bout de ses doigts parcourait le haut de mon sillon électrisant les muscle de mes fesses qui ne cessait de ce contracter.
Sa main se crispe sur mon sexe, pousse son exploration, un de ses doigts glisse entre les lèvres de mon sexe parfaitement lubrifié, et frotte l'intérieur de ma fente. Mon clitoris pointe sûrement, je le sens tout vibrant sous son majeur. Je geint tout doucement quand son doigt effleure mon clitoris. Une douce onde commence à m'envahir. Son pouce rejoint le majeur il me pince doucement mais s'en est trop pour moi. Une explosion se fait dans mon bas ventre et remonte jusqu'à mon cerveau. S'en ai trop je le repousse violemment alors que je jouis. Ce n'est pas la première fois mais ce n'était pas aussi intense sous les doigts de Sophie. Je me retrouve à terre, le souffle coupé. Mon frère me souris narquoisement et s'en retourne à la maison. Je ne lui en est jamais parlé et lui non plus. Mais depuis ce jour je veux...
Peut être en parlerai-je à Sophie lorsque je serai chez elle tout à l'heure.
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