Mon cousin semble en pleine forme après avoir passer la veille à
dormir, je lui propose un tour en vélo.
— Soyez bien là à midi, lance ma mère.
— Ne t’inquiète pas, maman !
Nous roulons quelques minutes, sans un mot.
— Où va-t-on ?
— Tu verras, fais-moi confiance.
— Je te suis.
Au début, je roule sagement, assise sur ma jupe, comme il sied à une
jeune fille bien élevée.
Au premier virage, je me soulève pour dégager ma jupe et lui
permettre de voler autour de moi, dévoilant parfois ma culotte.
André prends soin de rester derrière moi, ce qui me fait sourire.
Parfois je pédale en danseuse, sans autre raison vraiment évidente
que de lui offrir un gentil spectacle. Je suis sur qu'il est rouge
et excité par la vue de mes fesses qui doivent ressortir du tissus
au fur et à mesure que je pédale. Une bâtisse que je connais bien
apparaît.
— Tu vois, cette grange ? C’est là qu’on va. Viens, on va
planquer les vélos là-bas derrière.
On rentre. Il y a là de la paille, des vieilles machines agricoles,
quelques outils, et une échelle qui Souvenir de vacance monte à
l’étage où reste un peu de foin.Je grimpe à l'échelle offrant sans
vergogne une vue en contre plongée qui ne doit pas laisser André
indifférent. Du moins je l'espère.
Ce ne sont plus les cuisses de petite fille qu'il entrevoyais il y a
quelques années lorsque nous grimpions aux arbres, mais des cuisses
de femme, et le petit ruban de culotte cache maintenant bien autre
chose qu’autrefois… Il s'engage derrière moi, le cœur un peu
battant.
Nous sommes maintenant dans la grange, debout l’un en face de
l’autre. Et maintenant ? Il faut que j'ose…
— Déshabille moi!!!.
— …?
— Allez, vas-y, n’aie pas peur !
Il déboutonne mon chemisier, un peu tremblant et maladroit, il fait
glisser un bras, puis l’autre. Je suis en soutien-gorge devant lui,
une brûlure me monte au joues. Mon ventre palpite. Il reste devant
moi pantelant et hébété
— Continue.
Il hésite un instant, sans doute entre continuer par la jupe ou par
le soutien-gorge. Il trouve la fermeture Éclair de la jupe, l’ouvre,
fais glisser le vêtement aux chevilles. Il se racle la gorge. Me
retrouver en sous vêtement devant lui me rend toute chose.
— Tourne toi, me demande t-il.
Je me retourne, il dégrafe le soutien-gorge, en évitant de toucher
ma peau avec ses doigts, dommage...
Comme si ce contact devait l’électrocuter. Je me retourne à nouveau
face à lui.
— Alors ?
Il fait glisser les bretelles sur mes épaules, dégage les bonnets et
découvre mes seins, tout blancs, avec des aréoles gonflées, les
pointes durcit. Il regarde hypnotisé. Il y a pas de doute je lui
fais un effet bœuf. C'est bien mieux que la première fois. Le fait
qu'il participe...
— Continue, souffle-t-elle.
Il s'agenouille devant moi et descends ma culotte autour de mes
cuisses, trop vite, sans ménagement. Il faudra que je lui apprenne à
être plus doux et de faire cela de façon... plus suave… Il est
maintenant nez à nez - si je puis dire - avec le triangle de mes
poils, endroit sûrement mystérieux et rêvé. Il ne bouge plus,
fasciné. Je me recule d’un pas.
— Regarde.
Son regard interloqué mais avide, me fait devenir toute chaude,
comme si une fièvre s'était emparé de moi. Je sens mon bas ventre
s'humidifier. Je me tourne lentement sur moi-même pour lui faire
profiter de tous les angles : le profil montrant le galbe de mes
seins et mes fesses, le dos qui révèle la forme du corps : des
épaules juste assez larges, un buste qui va s’amincissant jusqu’à la
fine taille. Et puis la chute de rein, la rondeur du derrière, les
fesses, avec ce sillon qui semble cacher pudiquement quelque trésor…
Mes cuisses, qui ont le pouvoir de protéger et interdire ou au
contraire dévoiler et offrir… Et, devant, ces seins pour lesquels on
imagine mille caresses et mille douceurs, la taille, le ventre et sa
fin, en bas, avec ce triangle presque trivial de poils, dernier
rempart contre l’inaccessible.
Je nue, pour lui seul. J'offre ce corps à son regard, . Il bande.
Son érection a travers le tissu est à la mesure du cadeau que je lui
fait. Ah... Cher cousin....
— À moi maintenant.
Je ne reste pas en reste et entreprend de le déshabiller à son tour.
Sans hésiter, elle je retire sa chemise... son short. Il reste
immobile ne croyant pas ce qui lui arrive. Je marque un temps devant
son slip bien déformé par une monstrueuse érection. Je commence à le
descendre, en faisant bien attention de ne rien accrocher , je ne
voudrais pas lui faire mal. Je marque un nouveau et bref temps
d’arrêt devant l’objet qui se libère du sous-vêtement. Il est plus
impressionnant qu'hier matin.
Une voiture arrive à ce moment. Nous nous cachons nus dans la paille
et ne faisons pas pas de bruit afin de ne pas être découvert. Un
couple entre riant fort. Je reconnais mon frère et sa copine. Ils
font l'amour tout habillé devant nos yeux ou plutôt nos oreilles.
André et moi évitons de nous regarder. Le couple repart au bout d'un
quart d'heure.
Nous restons là… congestionnés, mais déconcertés. Nous nous
regardons. Avec son slip autour des cuisses, il est ridicule. En
plus il a débandé.Nous faisons semblant d’en rire, mais la scène
non vue a quand même été excitante, et son reste d’érection
reprend de la vigueur devant ma nudité.
— Viens, lui dis-je, il faut y aller. Si on est en retard
pour le repas, ça va faire des histoires.
— Tu ne peux pas me laisser comme ça, me dit il à l’oreille.
Prends-le dans ta main.
Je tend la main, mais à peine, vais-je enfin. Non... Pas encore
— Non, je n’ose pas.
— Si, prends-le, je t’en prie!
— Je ne sais pas faire!
— Prends-le, je vais t’aider.
Ma main s'avance. Je lui effleure le sexe. Touche la peau, comme
c'est doux, on dirait pas. Mes doigt entoure le membre gonflé et
commence à serrer doucement. Il entoure ma main avec la sienne
pour me guider, reste un long moment sans bouger, et il entame un
va-et-vient. Je retire ma main. Je ne sais si finalement je veux
aller plus loin.
— Non ! je ne veux pas!
— Si, prends-là. Reviens !
Il reprends ma main, parviens doucement à vaincre ma résistance,
et dispose à nouveau mes doigts autour de sa verge, enserrés par
sa propre main. Il reprends le va-et-vient. Cette fois, je me
laisse faire et, bientôt, n'ai plus besoin d’être guidée. Mon
mouvement est moins hésitant, prend de la fermeté et de l’ampleur,
jusqu’à ce que de longs jets de sperme giclent et se perdent dans
le foin.
— C’est donc ça, me dis-je…
Le début de mon éducation est faite. J'ai eu un peu peur au début.
Mai la vue de son visage s’épanouissant et son sourire ravi m'a
donné confiance. Et puis pas de risque de tomber enceinte Sophie me
l'a bien expliqué. C'est pas comme ça qu'on fait des bébés.
Aujourd'hui j'aurai appris à branler un garçon et avec succès vu
tout le sperme qui a jailli. Peut être que je suis doué. En tout cas
je sais maintenant ce qu'est une éjaculation, j'en ai vu une de mes
yeux....
Mais ça m'a pas donné autant de plaisir que lorsque je me caresse.
La prochaine fois ce sera son tour...
|