As I was riding, wearing only my shorts and my little top, I saw another bike appearing in the distance. It was driven by a man, pedalling fast and strong in my direction. I was to cross his path and my heart began to beat faster while I imagined what he saw behind his sunglasses.

I felt his gaze upon me, my free little tits under the pink top with laced straps, my shorts with the round widening stain of my pussy juices since I took my panties off. I didn’t let myself deviate from my trajectory and looked straight ahead when he passed me at high speed.

I was sure he had seen me, he knew about me, about my bouncing teenage chest and my wet genitalia. I listened closely to the sounds of his bike in my back, he wasn’t pedalling anymore, he was wavering, pondering the possibilities I offered him. He was middle-aged, with a toned, tanned, athletic body, the kind that would have sent my girl friends over the edge, the kind you don’t say no to when he puts his mind to it.

I let the anxiety take over, the fear made me accelerate in the pathway. I didn’t hear anything anymore, I didn’t want him to find me if he decided to come this way. I pushed on the pedals, took a curb, then a second, looked straight ahead of me, found a clearing in the woods, a hiding place for my bike and me, and stayed there, behind a tree and bushes, my heart beating fast, looking cautiously at the pathway. Nothing. He had gone his way with the memory of this young girl in the woods.

I relaxed a little, breathed deeply, looked around at this part of the wood. Behind the trees there was an old shack, built in stone, covered with ivy and blackberry bushess. I left my bike hidden and came closer to what seemed to be a shed for hunters, with its roof made of corrugated sheets, its only door and only window, one table and two wooden stools inside. I entered.

The wall was decorated with last year’s calendar, meaning it was occupied from time to time. The illustration for July was a blonde woman, with massive breasts, opening her legs to show her lush pubic garden over her wide open labia. I stayed there to watch it, fascinated, my lust coming back to the surface. I didn’t look away when I took my top off and rubbed my already hard and erect nipples. I unbuttoned my shorts and let them slide to the ground, only keeping my sneakers. Naked in front of the July woman, I danced a little, caressing my body, inviting her to join me, to discover me. I imagined her lips, her hands on my stomach, on my thighs, on my ass cheeks, and I lost my thoughts between her supple and smooth boobs.

I put a foot on one of the stools and parted my labia to expose myself to her. I rubbed my clitoris with a circular movement, I offered myself to the picture of her, a finger entered my tight vagina and slid inside, slowly at first, then faster and faster. My eyes were on her and I made myself come hard, splattering cum juices on my hand, out of breath, shivering from the pleasure I had just given myself.

I came back to my senses and looked at all my clothes, underwear included : I was ashamed by how filthy they seemed, but I had to return home. The top was still ok, but the bottom was dripping wet and I waited twenty minutes before I dared to come out of the shed in my stained shorts and my soaked panties. I got on my bike squeezing my thighs and went home, fearing that someone could notice me, contracting all my muscles on the saddle, exciting me more than it shoud have.

***

Je vis dans un virage apparaître un autre vélo, sur lequel un homme pédalait vite en venant vers moi. J’allais le croiser, mon coeur battait fort, imaginant ce qu’il voyait derrière ses lunettes teintées. Je sentis son regard sur moi, sur mes seins nus sous le top rose à fine bretelles, sur mon short qu’une tache de mouille ornait maintenant que j’avais retiré ma culotte, mais je ne déviai pas et ne le regardai pas quand il me dépassa à grande vitesse.

J’étais sûre qu’il m’avait vue, qu’il savait, qu’il avait repéré les mouvements libres de ma poitrine adolescente et la délimitation humide de mon sexe. Je guettai dans mon dos le bruit du vélo, il était en roue libre, il hésitait ? C’était un homme mûr, athlétique, au corps bronzé, qui aurait fait rêver mes copines, mais auquel on ne peut pas résister s’il a décidé de s’en prendre à une fille. La peur prit le dessus, l’angoisse me fit rouler comme une folle.

Je n’entendais plus rien, je voulais qu’il ne me retrouve pas s’il décidait de revenir en arrière. Je poussai fort sur les pédales et parvins au premier virage, puis au deuxième, sans regarder derrière moi, je vis une éclaircie et une cachette sur le côté, je m’y précipitai, cachai mon vélo et m’accroupis derrière un arbre et un fourré. J’attendis, le coeur battant, en jetant des coups d’oeil prudents à travers la végétation. Mais il n’y eut rien, il avait continué son chemin avec cette apparition étrange.

Je repris mes esprits, me détendis, et regardai autour de moi. Caché dans le bois se trouvait un cabanon en pierre, couvert de ronces et de lierre. Je laissai mon vélo. C’était un abri de chasseur, qui avait un toit de tôle, une porte et une fenêtre, et une table et deux tabourets en bois à l’intérieur. J’entrai.

Au mur, un calendrier de l’année m’indiqua que le lieu était occupé de temps en temps. À la page de juillet, une femme blonde, à la poitrine énorme, écartait les cuisses pour exhiber une toison pubienne au-dessus de grandes lèvres bien ouvertes. Je restai devant, fascinée, et mes désirs remontèrent à la surface. Sans la quitter des yeux, je retirai mon haut et caressai mes petits seins aux bouts érigés et durs. Je déboutonnai mon short et le fis glisser à terre, ne gardant que mes tennis. Nue devant la femme de papier, je dansai, passant les mains le long de mes formes naissantes, sentant monter le désir qu’elle vienne à moi, me découvrir. C’étaient ses lèvres, ses mains sur mon ventre, mes cuisses, mes fesses, et je me perdais en pensée entre ses seins moëlleux et souples.

Je posai un pied sur le tabouret et écartai de deux doigts mes lèvres pour les lui montrer. Je titillai mon clitoris en un mouvement circulaire, je m’offrai à son image, un doigt pénétra mon vagin encore étroit et y coulissa, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Sans la quitter des yeux, je me fis jouir vite et fort, m’éclaboussant les doigts de mouille, tremblant de plaisir, essoufflée.

Une fois revenue à moi, je regardai l’état de mes vêtements et dessous. C’était navrant et honteux, mais je devais rentrer. Le haut était présentable, mais le bas était trempé et il me fallut un bon quart d’heure pour oser ressortir de la cabane dans ma culotte inondée et mon short taché. Je remontai sur mon vélo en serrant les cuisses et rentrai crispée d’être remarquée, la contraction de mes muscles sur la selle causant plus d’excitation qu’il n’aurait fallu.

to be continued/à suivre...