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ANNIE
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Je n'avais toujours pas ouvert l'anus de Marie-Madeleine mais ses visites régulières et ses couinements m'offrirent une nouvelle opportunité. Ma voisine du rdc, Annie, est une "mémère", 64 ans, look blouse et chaussons, un corps modelé par les enfants et la nourriture pour devenir proche du tonneau, rien d'attractif.
Toujours prompte à bavarder, cette fois elle fermait sa fenêtre à mon approche, son mari lisant le journal. c'est en ouvrant ma porte qu'elle apparut sur mon palier. Elle mit son doigt sur ses lèvres pour avoir du silence, aucun son n'est sorti de ma bouche, je ne voyais plus son doigt boudiné mais mon sexe à la place et j'ai bandé très dur. Sitôt la porte close, nous nous embrassés et nous n'avions plus de vêtements
en s'allongeant sur le lit. Malgré mes efforts et son excitation, c'était un doigt maximum, j'ai donc utilisé du lubrifiant et mis deux doigts puis je l'ai prise d'un coup, sans finesse, je l'ai besogné comme une bête. Je n'avais pas mis de capote, je le fis pour l'enculer mais même si j'étais rentré comme dans du beurre, elle était contre et ne suçait pas non plus alors je l'ai prise de nouveau, encore plus fort jusqu'au remplissage de sa chatte enfin dilatée.
Ce n'était pas une super baise mais elle avait apprécié et j'avais les couilles en panne sèche, je l'ai donc rendu à "pépère" pour qu'elle lui prépare son repas...
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Posted on : Jan 9, 2017
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